Grotesques

Macbeth, Othello. Leur poésie est triste, sombre et pensive, sur un mode méditatif. Apparition de la comédie ; la religion : le Christianisme : on a deux vies à vivre => dualité de l’♂ + mise à distance de l’♂ et Dieu => naissance mélancolie et grotesque. 2- Les grandes caractéristiques du drame Le drame se veut en rupture totale avec les autres genres de l’époque, à savoir la tragédie et la comédie… Cela signifie que le classicisme est rejeté… a) Le refus des règles classiques

justifié ? 4. Quels livres sont évoqués dans cet extrait ? Expliquez comment le narrateur se moque des références qu’il propose. Mise au point avec les élèves sur la structure du chapitre. I – Un comique obscène 1.1 ) Un imaginaire grotesque qui insiste sur les parties inférieures du corps On peut noter l’importance donnée au corps et aux basses parties de celui-ci. Les noms sont des caractérisations métonymiques des personnages : Grandgousier (grand gosier), Gargamelle, Gargantua

dissertation Gargantua 1G2Gargantua , œuvre du 16ème siècle rédigé par François Rabelais, est une œuvre semblable à Pantagruel, relatant l’éducation et les différents faits de Gargantua, l’œuvre est composée d’un enchainement de choses grotesques suivie par une richesse lexicale reflétant tout le savoir de son auteur. Tout au long de l’histoire, Gargantua reçoit une formation mais une question peut alors se poser, Rabelais qui dans Gargantua

|brancard bariolé, procession|Caramentran, cris chants, |parodie, masques, |(rire, grotesque, processions | |bûcher) : rire, parodies, |parodique, grotesque |danses, parodie |travestissements, défilé, |parodiques) | |grotesque | | |joie, danses, grotesque | | |Libération du collectif et de |Acclamation, procession

UBU ROI, Alfred Jarry p284 285 Nous allons suivre un plan en trois parties (quelle surprise): d’abord, nous nous intéresserons au personnage-type de tyran, le Père Ubu; nous étudierons ensuite le comique grotesque du passage pour croiser dans une dernière partie les deux axes et mettre en évidence l’argumentation indirecte au service de la satire. I Le personnage-type du tyran 1.1. La violence Père Ubu, le tyran-type, est d’abord un personnage violent. Notre extrait montre le massacre des Nobles

comparaison « Comme d’un cercueil vert… » vers1, du groupe nominal allongé par une expansion du nom « une tête de femme … ». De plus la position en rejet interne du verbe et la virgule qui lui suit marquent une pause qui met en valeur ce gros plan grotesque sur la tête sortant de l’eau. L’adverbe de temps « puis » en début de strophe 2 indique un semblant d’action, et l’énumération des parties du corps émergents se poursuit : « le col gras et gris, les larges omoplates » v5 et le rejet au vers 5-6 de

son handicap, devant un large public. Toute cette pièce varie entre grotesque et sublime. Cyrano est lui-même à la fois un personnage sublime et grotesque. Il est sublime dans ses tirades, son langage, son esprit et son courage, comme par exemple dans la scène 4, de l’acte I (la ballade et le duel) , et grotesque dans son physique avec la proéminence de son nez. La tirade du nez est un parfait exemple de ce couple grotesque-sublime : le nez est mis au centre, sublimé par le langage, tous les

en particulier Ariane qui idéalise tellement l’amour qu’elle ne supportera pas de vivre dans la banalité du quotidien. Problématiques possible : -En quoi ce texte représente-t-il un amour grotesque ? -La raison de l’amour donnée par le texte est-elle uniquement péjorative ? -Comment cette scène grotesque devient-elle touchante ? Plan : I-Le désire de perfection d’Ariane: Dans un premier temps nous nous interrogerons sur le désir d’Ariane à être parfaite avec : Tout d’abord 1-La

Est-ce justifié ? 4.      Quels livres sont évoqués dans cet extrait ? Expliquez comment le narrateur se moque des références qu’il propose. Mise au point avec les élèves sur la structure du chapitre. I – Un comique obscène 1.1 ) Un imaginaire grotesque qui insiste sur les parties inférieures du corps On peut noter l’importance donnée au corps et aux basses parties de celui-ci. Les noms sont des caractérisations métonymiques des personnages : Grandgousier (grand gosier), Gargamelle, Gargantua (vorace)

fait de lui un des maitres du rire. On trouve chez lui tous les degrés du comique : les farces les plus lourdes, héritées du Moyen Age, la gauloiserie poussée jusqu'à la grossièreté, les jeux de mots, calembours et traits d'esprit, la caricature grotesque, la comédie d'intrigue, la parodie, et jusqu'à la comédie de caractère la plus fine. Dans Gargantua quelle est donc la fonction que donne Rabelais au rire? Nous répondrons à cette question en voyant dans un premier temps l'humour par l'histoire