Guépéou

contre la révolution et contre la nation soviétique. Permet de justifier aux yeux de l'opinion les éliminations des opposants. -surveillance de toutes les activités politiques. Mise en place d'une police politique, la Tcheka créée en 1918, puis la Guépéou en 1922 puis en NKVD en 1934. Plus d'un million de personne y travaillaient dans 30's. Climat de suspicion et de terreur. -mise en place d'un système concentrationnaire, qui remonte à 1918 avec le Goulag (organisme qui gère les camps de travail

pour éliminer ses opposants aussi bien ceux en dehors du Parti, que dedans, et que la bourgeoisie. La propagande désigne des boucs émissaires et justifie la répression ; les activités politiques sont surveillées ; par la Tcheka devient en 1922 la Guépéou qui devient NKVD en 1934. Il règne un climat général de suspicion et de terreur. Le goulag, organisme gérant le travail forcé est créé dès 1918. Les ennemis politiques sont massivement déportés durant les années 1930. 15 millions de soviétiques seront

jusqu’à une conclusion différente ! Dans l’Europe des années trente, l’internement des apatrides devient une constante et un certain nombre de pays occidentaux, sous prétexte de « sécurité nationale », entretiennent des relations avec la Gestapo ou la Guépéou au point qu’Arendt parle d’une « politique étrangère de la police ». Autant d’éléments qui expliquent la collaboration harmonieuse de certaines polices occidentales avec les nazis à partir de la guerre ! La « minorité » par excellence sont les Juifs

qui sont accusés de comploter contre la révolution mais aussi contre la nation soviétique. Il devient alors légitime d'éliminer ces opposants. Surveillance constante des activités politiques. On crée une police spéciale, la Tcheka, remplacé par la Guépéou en 1922 qui a été transplanté par le NKED en 1934. Cela crée un climat de terreur et de suspicion. La mise en place d'un système concentrationel dès 1918 autour des Goulag qui est l'organisme chargé de la gestion de ces camps sans l'union soviétique

politique des boucs émissaires). Elle permet de justifier aux yeux de l’opinion la suppression des opposants. la surveillance des activités politiques et pour l’organiser il y a la mise en place d’une police (TCHEKA en 1918 transformée en 1922 en GUEPEOU et enfin en 1934 en NKVD). Plus d’un million de personne travaillé pour cette police politique. Cette police comprend des indicateurs qui font régner un climat de suspicion et de terreur. La mise en place d’un système concentrationnaire : il

« libéralisation du régime » : l’héritage est partiellement rétablit notamment quant aux maisons d’habitation. On voit aussi une croissance des revenus et des biens de consommation. Même du point de vue de la police politique : la Tchéka est remplacé par la Guépéou, qui dans un premier temps à des pouvoirs limités. 3. Les résultats Aspects négatifs : La liberté éco a favorisé la création et l’enrichissement de certaines classes sociales de commerçants, de moyenne bourgeoisie (terme générique pour

Soviets Spartakiste S.P.D. S.S. 56 Séquence 6 – HG11 © Cned – Académie en ligne T Tcheka nom de la police politique soviétique en décembre 1917. Elle est dissoute en 1922 pour céder la place à une organisation du même type, la guépéou. type de dictature qui cherche à changer l’Homme en supprimant toute différence entre vie publique et vie privée. Le totalitarisme tente de contrôler les citoyens dans tous les aspects de leur vie. Pour cela, les régimes totalitaires créent diverses

supérieures. Elle a pour conséquence de provoquer la chute des effectifs du parti qui exercée par une police spéciale Tcheka qui a vu le jour en 1918 et qui va se passe de 3,5millions en 1933 à moins de deux millions en 1938. En deux ans 1,5 transformer en Guépéou et qui devient en 1934 la NKVD. Cette police politique millions sont arrêtés, 700000 seront exécutés au terme de procès expéditifs. emploie à la fin des années 30 plus d’un million de personnes et ce sans compter la masse des indicateurs. Le résultat

le roman les Cloches de Bâle. Ces deux ouvrages font de cette année une charnière dans la production d'Aragon. D'une certaine façon, Hourra l'Oural prolonge le recueil précédent, Persécuté Persécuteur, qui s'achevait sur le fameux vers " Vive le Guépéou ". Rappeler que ce dernier recueil avait été publié en 1931 aux Éditions surréalistes conduit à insister sur une certaine continuité formelle entre l'avant et l'après de la rupture. Hourra l'Oural peut même être lu comme un ultime avatar de la poésie

contre la révolution et contre la nation soviétique. Permet de justifier aux yeux de l'opinion les éliminations des opposants. ð Surveillance de toutes les activités politiques. Mise en place d'une police politique, la Tcheka créée en 1918, puis la Guépéou en 1922 puis en NKVD en 1934. Plus d'un million de personne y travaillaient dans 30's. Climat de suspicion et de terreur. ð Mise en place d'un système concentrationnaire, qui remonte à 1918 avec le Goulag (organisme qui gère les camps de travail