Guernica Paragraphe Argumenté

(v. 1 à 5), et la précision de la langue d’autre part (v. 6 à 13) ; Boileau énonce leur indispensable complémentarité. La seconde partie (v. 14 à 25) pourrait être intitulée « éloge de la lenteur », dans la mesure où le théoricien y développe ses arguments en faveur d’un « soin » et d’un « travail » poétiques, qui ne sauraient souffrir ni « hâte », ni improvisation, ni inachèvement. On notera que l’expression de cette lenteur cultivée se fait, dans les vers 18 à 21, par une métaphore filée empruntée

enrichissement constant du vocabulaire. L’élève doit aussi consolider ses connaissances grammaticales et orthographiques pour améliorer son expression et rédiger dans une langue correcte, précise et variée. Tout texte doit respecter la présentation en paragraphes. L’usage du brouillon est systématique, comme dans les classes précédentes. Le professeur apprend à l’élève à maîtriser l’expression de soi. Il l’initie à une écriture complexe combinant expression de soi et récit, ou récit et argumentation

écrite ou orale (comptes rendus, exposés, débats, simulations et jeux de rôle, etc.) [...] Cette démarche fait nécessairement appel à des activités principalement discursives telles que raconter, reformuler, résumer, décrire, expliquer, analyser, argumenter et débattre. Le manuel propose dix chapitres (ou projets) qui invitent l’élève, en fin de parcours, à réinvestir et mettre en œuvre ses compétences : - six projets oraux (prise de parole en continu ou en interaction), - quatre projets écrits

les élèves aient le temps de rassembler quelques idées au préalable. De plus, il serait intéressant, pour que le débat soit productif et équilibré, qu’un élève joue le rôle du régulateur et qu’un autre soit chargé de rédiger une mini-synthèse des arguments échangés.  Ainsi, la classe tendra vers plus d’autonomie dans sa pratique de la langue. Enfin, voici quelques propositions avant la mise en activité à proprement parler : – faire lire la deuxième partie de la rubrique Me comunico ; – faire rappeler

doit se fonder sur des éléments précis comme la position et l’attitude des personnages, le décor, la lumière. On peut demander aux élèves de présenter leur opinion sous la forme d’un commentaire structuré avec une introduction, un développement argumenté et une conclusion afin de les familiariser à l’exercice. Ce travail doit donc se faire en plusieurs temps, au brouillon tout d’abord afin de vérifier que les élèves respectent le plan, puis sur une copie rédigée. Expression n orale 2 Débattre de

personnage n’organise pas de simples fêtes mais « des fêtes à n’en plus finir » et des « sortes de bamboulas ». Ce terme, étymologiquement lié au mot « tambour », donne à ces instants un caractère étonnant et singulier. L’énumération du troisième paragraphe, la gradation, les nombreux pluriels et l’imparfait avec sa valeur répétitive donnent bien l’impression que ces fêtes sont à la fois riches et nombreuses... Enfin, Mme Tim joue un rôle actif. Si elle délègue certaines tâches, c’est bien elle que

cherche un paradoxe entre au moins deux termes du sujet. Tout au long de notre développement il faut essayer de le surmonter. Échanger/communiquer sont des synonymes ? Dans quels domaines de prédilections les hommes échangent-ils ? Chercher des arguments pour et contre. Qu’est ce que la communication ? Qu’est ce qu’échanger ? C’est de quel ordre ? Action de donner et recevoir en retour. Pour qu’il y ai véritablement échange il faut une valeur tout à fait équivalente. D’où le problème que pose le

2 Complétez par l’article indéfini à la forme qui convient et justifiez votre choix. 1. « Nous n’allions pas à l’école. Nous n’avions pas club, pas activités sportives, pas règle, pas amis…» (Le Clézio, L’Africain). 2. Ce ne sont pas arguments convaincants. 3. Je ne loue pas maison mais appartement. 4. Le pauvre homme n’a pas domicile fixe ni famille. 5. On lui a volé son sac. Elle n’a plus papiers. 6. Ce n’est pas accident. 7. Il n’a pas mère ni père. 8. Il ne boit pas

portuaires sont elles aussi améliorées : les docks sont reliés au chemin de fer, sont électrifiés dans les années 1880 et sont adaptés au conditionnement des marchandises les plus diverses comme par exemple les produits agricoles congelés. Texte argumenté Le statut de Londres reflète bien la domination britannique sur le monde entre 1850 et 1914. En effet, celle-ci est avant tout maritime et financière et ces deux activités sont concentrées de manière exceptionnelle dans la capitale de l’Empire britannique

l'extrême-droite — je n'insiste pas ici sur les communistes, j'en ai déjà parlé dans le chapitre 11 et j'y reviendrai plus bas dans ce même chapitre, mais évidemment ils progressaient aussi. Une partie des mouvements que je vais évoquer dans les paragraphes suivants remontaient aux années 1920, voire à l'avant-guerre pour l'Action française, mais ce fut avec la crise qu'ils émergèrent de la marginalité ou (pour certaines ligues, importantes mais peu politisées jusqu'en 1930) se radicalisèrent. Ces