Gusdorf

d'homme, Paris, Laffont, 1975. Gingras, P.E., Le Nouveau Régime pédagogique, Montréal, C.A.D.R.E., mars 1973. Goblut, E., La Barrière et le niveau, Paris, P.U.F., 1967. Gorz, A., Critique de la division du travail, Paris, Seuil, 1973. Gusdorf, G., Pourquoi des professeurs ?, Paris, Payot, 1966. Harsey, A.H., Educational Priority, E.P.A., Problems and Policies, London, Her Majesty's Stationary Office, 1972. Henripin, M., Ross, V., Les Parents dans l'école, ministère de l'Éducation

d’avant-garde, passe doucement de son âge classique à son âge des Lumières. La culture occidentale file un 18ème siècle de stabilité politique et d’homogénéité intellectuelle, dans la paix desquelles s’opère une véritable explosion de la conscience (Gusdorf G., 1976). Deux événements retentissants surviennent au bout du siècle : la révolution américaine en 1776, et la révolution française en 1789. Fau-il mettre en relation, peut-être en synergie, l’Europe des idées, du développement industrielle,

elle devienne un refus qui nous permet de nous consoler et de garder l’espoir face aux difficultés de l’existence. L’interrogation métaphysique est incontournable vue les problèmes de notre temps. C’est d’ailleurs pour cette raison que Georges Gusdorf écrit : « le temps présent semble fournir la preuve d’une préoccupation métaphysique particulièrement vraie. Loin d’affirmer la déchéance de celle-ci il faudrait souligner que la métaphysique s’est universalisée et qu’elle a acquise une sorte de

, La cedh, puf, coll. « Que sais-je ? », 7e éd., 2008, p. 30. [13] S. Rials , « Ouverture : généalogie des droits de l’homme », Droits, n° 2puf, 1985, p. 4-12. [14] L. Jaume , Qu’est-ce que l’esprit européen ?, Flammarion, 2010, p. 35. [15] G. Gusdorf , « La France, pays des droits de l’homme », Droits, n° 8puf, 1988, p. 25. [16] A. Cassese , « Les droits de l’homme sont-ils véritablement universels ? », rudh, 1989, p. 14 . Adde : P. Tavernier , « L’onu et l’affirmation de l’universalité des droits

Gestion des resources humaines. Mises en situation. Exercices pratiques. Cas. SaintLaurent/Montréal : ERPI/Presses HEC, 1992. Gurd, Bruce. «The Importance and Role of Management Case Studies», The Management Case Study Journal, I, 1 (July 2001). Gusdorf, Georges. Pourquoi des professeurs? Paris : Payot, 1963. 247 p. (Petite bibliothèque Payot; 305). Hunt, Orlagh, Dennis Tourish, Owen D. W. Hargie. «The Communication Experiences of Education Managers: Identifying Strengths, Weaknesses and Critical

cedh, puf, coll. « Que sais-je ? », 7e éd., 2008, p. 30. [13] S. Rials , « Ouverture : généalogie des droits de l’homme », Droits, n° 2puf, 1985, p. 4-12. [14] L. Jaume , Qu’est-ce que l’esprit européen ?, Flammarion, 2010, p. 35. [15] G. Gusdorf , « La France, pays des droits de l’homme », Droits, n° 8puf, 1988, p. 25. [16] A. Cassese , « Les droits de l’homme sont-ils véritablement universels ? », rudh, 1989, p. 14 . Adde : P. Tavernier , « L’onu et l’affirmation de l’universalité

les formes diverses de cette expression. Mais elle tend à juger cette diversité. Elle qualifera ou elle disqualifiera telle ou telle attitude. Elle blâmera ou elle prescrira. En somme, elle réalise une sorte de stylistique de nos comportements. G. GUSDORF, Traité de l'existence morale, Paris, Armand Colin, 1949, p.7. [pic][Avec adj. déterminatif] Morale fondamentale ou générale ou théorique. Partie de cette science qui traite des principes généraux régissant la conduite humaine. Morale appliquée ou

les droits proclamés sont ceux de l'homme et du citoyen et non ceux des seuls citoyens français par conséquent « ils valent pour tout être humain »81(*) Allant dans ce sens le professeur Michel Levinet reprend la formulation du philosophe Georges Gusdorf en disant « de même que l'Eternel a dicté sa loi à Moise au sommet de Sinaï, les législateurs Français posent souverainement du haut de leur empyrée les conditions de toute législation valable, leur message ne s'adresse pas à une nation, il s'agit

religieuse. Ou bien, voir dans le mythe l’équivalent de l’instinct : l’autorité de la  tradition figeant la communauté africaine dans un immobilisme fait de  comportements répétitifs aurait valeur d’instinct social sublimé. Dans les deux  cas, nous dit G. GUSDORF, « la conduite se déploie dans un cadre unitaire et  monolithique ». Le « primitif » ‐ voilà bien le mot ! – s’englue dans une suite de  stéréotypes qui le rend inapte à l’adaptation, si bien que pour passer du mythe à  la philosophie (occidentale bien sûr) une véritable mutation s’impose

Galilée, Kepler, Newton. D’emblée, la philosophie des Lumières acquièrent une dimension politique et place le droit au centre des motivations. En exaltant la raison, l’Homme des Lumières est convaincu de pouvoir améliorer le Monde. C’est ce qu’écrit Gusdorf[71] «  la philosophie n’est plus dans la philosophie. » La philosophie a excédé le champ philosophique classique. §1. Nature et raison des Lumières A. Lumière, Lumières La philosophie met avant le pouvoir de l’Homme sur