Gutton

différenciation, l’adolescent s’exempte et s’excepte de la relation. Si l'adolescent fait symptôme, par son insoumission même, il en devient étrange, pour son environnement. Il doit aussi se débattre avec le réel du corps pubère, le pubertaire de Gutton où la morsure du signifiant n'a pas prise d'emblée, si ce n'est qu'au prix d'un long et parfois douloureux travail de symbolisation, appelé par cet auteur adolescens. La pensée du négatif: L’opposition comme modalité de subjectivation nous apparaît

domicile est la grande nouveauté de ce XVIIIe siècle. Des hospices minuscules et des bureaux de charité créés par des legs ou des souscriptions gèrent un nouveau type de secours dont l'activité principale repose sur la distribution de nourriture (Gutton, 1974). 135 135 Le bureau de charité 1893 136 137 

car les chauves- souris utilisent leurs bouches pour émettre des ultra-sons. L’aide de la nature a certaines limites et ici c’est pour l’émission de l’onde à partir d’un radar. C’est n’est que le 20 juillet 1934, que des chercheurs français, Henri Gutton et Maurice Ponte, déposent le brevet (n°788795) pour « un appareil de détection » à ondes décimétriques, le radar. Le radar émet l’onde grâce à un oscillateur permanent, un amplificateur et un modulateur. L’oscillateur permet de générer l’onde, l’amplificateur

étranger: . Si l'adolescent fait symptôme pour son environnement, par son insoumission, il devient un corps étranger avant tout pour l'entourage bien plus que pour lui même. Tandis qu'il se débat avec le réel du corps pubère, le pubertaire de Gutton où la morsure du signifiant n'a pas prise d'emblée si ce n'est qu'au prix d'un long et parfois douloureux travail de symbolisation, appelé par cet auteur adolescens.. Le corps lui-même devient un lieu privilégié où va s'exercer une maîtrise d'autant

sexualité infantile et valide la mise en place des constructions fantasmatiques devant l’irruption de la sexualité et de la jouissance. L’adolescence ne parachève pas la sexualité infantile. Un reste du corps-enfant subsiste et insiste, qui, ajoutait P. Gutton, peut encore demeurer dans une position de séduction par rapport au traumatisme de la puberté. L’œuvre adolescente serait donc bien plus complexe qu’une simple résolution de l’infantile. La génitalité pubertaire se pose en épreuve de “déclaration

surtout afin de protéger l’enfant. Mais nous pouvons nous demander, en outre, si la durée de cette procédure aujourd’hui influence le trafic d’enfants à l’étranger, qui est le lieu privilégié des adoptions. BIBLIOGRAPHIE - GUTTON, J. P., 1993, L’adoption, Publisud. - TRILLAT B., 1995, L’adoption essai sur les institutions, Presse universitaire de Lyon. - LANCHON A., 2004, L’adoption des ados en parlent, La Martinière SA. - MECARY C., 2006, L’adoption, Presse universitaire

suivent la même direction. Parmi eux, Rassial définit l’adolescence comme le moment, logique, de l’après-coup du stade du miroir, appropriation partielle du regard et de la voix de la mère qui a reconnu, jadis, dans le miroir, ce que l’enfant a vu6. Gutton pour sa part souligne que dans la scène pubertaire l’infantile n’y est ni oublié ni remémoré, mais répété7. Bergès lui aussi envisage l’adolescence comme la période de la vie où se rejoue, avec les mêmes cartes, la partie de la toute petite enfance8

obsessionnelles par exemple), évocateur (cas de la perversion sexuelle). Objet médium malléable : Le jeu/le jouet sur lequel on peut transférer/faire jouer ce qu’on veut. Permet le transfert d’affect, la théâtralisation des affects. Gutton : Il donne une proposition de stades de développement du jeu chez l’enfant. Le jeu symbolique chez l’enfant : Il existe 3 catégories de jeu selon Piaget : Le jeu d’exercice : Exercice sensori-moteur comportant des mouvements

suivent la même direction. Parmi eux, Rassial définit l’adolescence comme le moment, logique, de l’après-coup du stade du miroir, appropriation partielle du regard et de la voix de la mère qui a reconnu, jadis, dans le miroir, ce que l’enfant a vu6. Gutton pour sa part souligne que dans la scène pubertaire l’infantile n’y est ni oublié ni remémoré, mais répété7. Bergès lui aussi envisage l’adolescence comme la période de la vie où se rejoue, avec les mêmes cartes, la partie de la toute petite enfance8

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