Gwynplaine Analyse L Homme Qui Rit

toutes les misères humaines. Hugo, épris des contraires, affectionne les laids au cœur tendre, confrontés à la beauté faite femme. Ce sont les couples de Quasimodo et Esméralda, Gwynplaine et Déa, qui démontrent que le monstre est rarement celui qu’il semble être : le masque torturé du bossu de Notre-Dame ou de l’Hommequi-rit cache une grande âme tourmentée. La forme hugolienne, ce n’est pas la perfection de la statuaire grecque, mais la caricature de la beauté elle-même, la grimace souffrante où le

éditeurs successifs se sont employés à classer, ici dans l'ordre chronologique. Hier, 22 février [1846], j'allais à la Chambre des pairs. Il faisait beau et très froid, malgré le soleil et midi. Je vis venir rue de Tournon un homme que deux soldats emmenaient. Cet homme était blond, pâle, maigre, hagard ; trente ans à peu près, un pantalon de grosse toile, les pieds nus et écorchés dans des sabots avec des linges sanglants roulés autour des chevilles pour tenir lieu de bas ; une blouse courte et

caractéristiques chez Jean Valjean déguisé en mr. Madeleine dans les Misérables qui disparaîtra après avoir sauvé Marius pour ne pas troubler le bonheur de Cosette, ici on mesure toute la dimension humaine de Valjean. Ce trait est aussi présent chez Gwynplaine dans l'Homme qui rit, celui-ci, bravant la tempête de neige et tentant de sauver au péril de sa vie un bébé en ayant subi auparavant une torture physique (balafre sur tous le visage correspondant à un sourire). Un héros dois posséder un troisième atout, la

votre récit. 5. Après le départ de Julien, Mme Derville s'approche de Mme de Rênal et la met en garde contre le jeune homme. Imaginez cet épisode. 6. A son réveil, Monsieur Jérôme, le père de Jean Péloueyre, se rend dans la chambre de son fils et découvre le journal que Jean tient depuis son enfance. Un passage retient son attention : Jean, être exclu par sa laideur, raconte et analyse un épisode douloureux de sa vie. Vous rédigerez cet extrait de journal et ferez part des réactions du père à cette

votre récit. 5. Après le départ de Julien, Mme Derville s'approche de Mme de Rênal et la met en garde contre le jeune homme. Imaginez cet épisode. 6. A son réveil, Monsieur Jérôme, le père de Jean Péloueyre, se rend dans la chambre de son fils et découvre le journal que Jean tient depuis son enfance. Un passage retient son attention : Jean, être exclu par sa laideur, raconte et analyse un épisode douloureux de sa vie. Vous rédigerez cet extrait de journal et ferez part des réactions du père à cette

écrivains dépeignent souvent des lieux de manière très précise dans leurs romans. Certains lecteurs ont le sentiment qu’elles sont inutiles : ces descriptions sont-elles seulement du remplissage, surchargent-elles le récit ? Tout au long de notre analyse nous allons donc essayer de déterminer si, la description, apporte-elle quelque chose au roman, et quel impact a-t-elle sur ce dernier. I) 1) (Breton) Certes la description, de part sa définition est une pause dans la narration, elle

dans votre rcit. 5. Aprs le dpart de Julien, Mme Derville sapproche de Mme de Rnal et la met en garde contre le jeune homme. Imaginez cet pisode. 6. A son rveil, Monsieur Jrme, le pre de Jean Ploueyre, se rend dans la chambre de son fils et dcouvre le journal que Jean tient depuis son enfance. Un passage retient son attention Jean, tre exclu par sa laideur, raconte et analyse un pisode douloureux de sa vie. Vous rdigerez cet extrait de journal et ferez part des ractions du pre cette lecture (minimum

  Le terme personnage désigne une personne fictive présente dans une œuvre littéraire. Quelles que soient les formes prises par le roman, le personnage en est le pivot central : il est le moteur de la fiction, et c'est grâce lui que l'on peut analyser la vraisemblance et l’authenticité qu'il faut lui accorder. La beauté de ces personnages s’évalue à la fois sur le plan physique ou morale mais le terme beau s’applique-t-il seulement sur ces deux critères ? Autrement dit , un « beau personnage »

différents types de portraits. Objectifs ⇨ Savoir organiser un portrait ⇨ Repérer les champs lexicaux. ⇨ Connaître les outils de la description. I. Trois monstres, trois portraits. A. Le portrait fixe : portrait de Frankenstein. 1. Analyse du texte. Le professeur Frankenstein passionné par ses études scientifiques réussit après des jours et des nuits de travail à trouver le secret de la génération de la vie. Désireux de créer des être bons et heureux qu’il pourrait sauver de

vision carnavalesque médiévale du monde à l’envers. Là où ailleurs, dans Paris, la loi et l’ordre sont préconisés, dans la Cour des Miracles « où jamais honnête homme n’avait pénétré » (l.2), prévalent le crime et la tromperie – d’où l’appellation ironique qui lui est donnée par antiphrase. Cette description propose une analyse presque sociologique, ethnologique, d’un groupe social, de son fonctionnement, de ses valeurs et de sa culture ; véritable Tour de Babel dont les habitants n’auraient