Gwynplaine

Victor Hugo. Premièrement, cela nous paraissait évident de choisir un masque pour ce texte où le visage de Gwynplaine est assimilé à un” masque mort”. De plus, on peut voir que ces masques ont un aspect très brut, par leurs matériaux (du carton notamment), qui est sur le premier déchiré sur les bords. Cet aspect brut et aussi sa fragilité donc, peuvent faire penser aux personnage de Gwynplaine qui peut d’abord paraître ridicule, un visage dont on se moque, où on y projette le rire possède en réalité

XVIIe siècle comme Nicolas Poussin. Dans l’Homme qui rit, Hugo a placé les aventures de Gwynplaine dans la société anglaise du XVIIe siècle. * Ce rattachement au réel s’opère surtoutMais le réel est parfois déformé. * Pourtant le lecteur s’étonne de certaines déformation. Nicolas Poussin s’écarte beaucoup de ce que nous savons de ce peintre. De même le lecteur a du mal à croire à l’existence de Gwynplaine et à son succès en tant qu'acteur comique. * Nous remarquons également dans ces portraits

là où il nous donne une leçon de tolérance, à la suite d’une rencontre avec un enfant différent. Un monstre d’époque classique nous est présenté dans un second texte, « l’homme qui rit, portrait de Gwynplaine » de Victor Hugo texte dans lequel il dénonce la cruauté des hommes face à Gwynplaine enfant à qui on à taillé un sourire perpétuel. Finalement un monstre moderne nous est présenté par Robert Merle dans la mort est mon métier, interrogatoire de Rudolph Lang extrait dans lequel le chef

nous pouvons distinguer que dans « L'Homme qui rit » de 1869 les deux types d'argumentations y sont mêlés car Gwynplaine n'est qu'un personnage fictif inventé par Hugo mais en même temps il réalise une plaidoirie, donc une argumentation directe, dans laquelle il dénonce grâce à son histoire l'aveuglement des Lords sur la misère du peuple. De plus, nous pouvons remarquer que Gwynplaine est en quelque sorte le porte parole d' Hugo car il fait parfois allusion à son exil à Guernesey. Nous pouvons

assez foncé. 7En carré. 8Avec de larges bords. La nature avait été prodigue de ses bienfaits envers Gwynplaine. Elle lui avait donné une bouche s’ouvrant jusqu’aux oreilles, des oreilles se repliant jusque sur les yeux, un nez informe fait pour l’oscillation des lunettes de grimacier, et un visage qu’on ne pouvait regarder sans rire. Nous venons de le dire, la nature avait comblé Gwynplaine de ses dons. Mais était-ce la nature ? Ne l’avait-on pas aidée ? Deux yeux pareils à des jours de souffrance

représentant elle une beauté physique. L'opposition des deux beautés est donc flagrante, mais fait la force de cette histoire d'amour, car elle ne fait pas partie des histoires d'amour stéréotypées. De la même manière, dans un autre roman d'Hugo, Gwynplaine (L'homme qui rit, 1869) est un personnage hideux et détruit physiquement par des Comprachicos (des acheteurs d'enfants). Enfant, il a été mutilé « on lui avait fendu la bouche, débridé les lèvres, dénudé les gencives, distendu les oreilles, décloisonné

aventures de Gwynplaine dans la société anglaise du XVIIe siècle. Les auteurs doivent alors choisir des détails vestimentaires, des coutumes, des comportements datés mais cohérents. Ce rattachement au réel s’opère surtout dans la psychologie. Il est important que le lecteur puisse se reconnaître dans les personnages du récit, voire s’identifier à eux. Nicolas Poussin présente l’enthousiasme et le jugement hâtif de la jeunesse ; Frenhofer, l’assurance et la rigueur de l’âge avancé. Gwynplaine émeut profondément

Texte 2 L'action se déroule en Angleterre, à la n du xviie siècle. Enfant, Gwynplaine a été enlevé par des voleurs qui l'ont atrocement déguré pour en faire un monstre de foire : ses joues ont été incisées de la bouche aux oreilles, de façon à donner l'illusion d'un sourire permanent. Devenu adulte, il se produit dans une troupe de comédiens. Quoi qu'il en fût, Gwynplaine était admirablement réussi. Gwynplaine était un don fait par la providence à la tristesse des hommes. Par quelle providence

frère siamois grâce aux lignes 7 et 8 : «Il était attaché et collé à un autre enfant sans tête». Il n’apparaît pas comme un monstre, mais comme on peut le voir aux lignes 12 à 15 comme une création de Dieu. Dans le dernier extrait de Victor Hugo, Gwynplaine est décrit comme un homme au visage monstrueux. On peut le voir a la ligne 57 : « Cet homme était effroyable. » et a la ligne 60 « insupportable a voir et impossible a regarder. » Le champ lexical du rire est présent , comme a la ligne 1 : « en

cas nous souhaitons être mis à l'écart de la sorte et rejetté de la société. Puis, cela n'encourage aucunement le lecteur à s'évader vers un monde plus beau et féerique. C'est notamment le cas dans L'homme qui rit de Victor Hugo où le pauvre Gwynplaine est un ancien noble enlevé par des voleurs qui l'ont défiguré afin d'en faire un monstre de foire. On peut qu'être effrayé par le monde extérieur après une telle lecture. En définitive, ces romans auraient tendance à décourager le lecteur et