Génie Folie

de ses dents éclaira la pièce bien plus brillante que ne fit la lune. Je ne voyais que cela et cela me glaça d’effroi. J’eus l’impression qu’il respirait dans ma boite crânienne ce qui eut le don de me rendre folle dans l’obscurité qui sombre à la folie . Mes yeux restais rivés à son regard inexistant et de ce rire qui n’ont entai pas un. Soudain d’un mouvement vif il ou elle se leva avec sa lame au dessus de ma tête d’une posture noble

Pierre-Elie Commentaire – La folie d’oreste Jean Racine est l’un des plus grands dramaturges de son époque. Il marqua le 17eme siècle notamment en 1667 où il dévoila son œuvre Andromaque pur le Roi de France Louis XIV. Ici la dernière scène, sans doute la plus intéressante, nous expose à la foi de façon explicite et implicite la folie d’Oreste. Après avoir assassiné Pyrrhus pour les beaux yeux d’Hermione, celle-ci se suicide par passion envers Pyrrhus, ce qui engendre la folie d’Oreste. Dans un premier

est à la fois le plus beau des sentiments et le plus inquiétant, puisqu’il peut engendrer une vraie plénitude comme il peut tourner à un désastre intérieur. Nous reconnaissons l’amour comme le comble de l’union de la folie et de la sagesse, c’est-à-dire qu’en l’amour sagesse et folie non seulement sont inséparables mais s’entre génèrent l’une l’autre.

comprend très bien ce personnage. La narration est le récit de ses doutes et de ses interrogations. On pourrait n'y voir qu'un simple drame de la jalousie. L’incompréhension dont souffre Castel est du à sa solitude. Le lecteur, témoin extérieur de la folie de Juan Pablo est mal à l'aise face à ce personnage, puisqu'il n'a pas d'autres points de vue que celui du narrateur. Donc on vie sa jalousie et on lui donne raison. Comment Juan Pablo passe-t-il d’un état psychologique à un autre? Juan Pablo

(1603) Acte IV, scène 5 Plan I)La construction du personnage de Ophélia et de son histoire a)La réaction des personnages face à la folie d’Ophélia b)Les causes de la folie de Ophélia c)Une vision tragique et pathétique II)Une folie profonde a)L’incohérence b)L’absence

qui, en soi, ne saurait aboutir qu'à un désastre, quel qu'il soit, étant donné le caractère unilatéral des sentiments amoureux. A l'excellence classique de la langue et le respect des trois unités, s'ajoutent les thématiques de la fureur et de la folie de l'a

premier acte des fausses confidences, Dubois exploite la fabulation pour flatter l’amour propre d’Araminte : il institue cette dernière comme héroïne dans un récit digne d’un roman d’amour; un récit où les réseaux lexicaux de la passion et de la folie, exagérément utilisés pour décrire le sentiment de Dorante envers elle, ainsi que les péripéties, si non mensongers du moins hypertrophiés de cet amour fou, dessinent les contours d’un monde merveilleux qui ne peut que la séduire et la pousser à en

dieux. L'héroïne a "de l'amour toutes les fureurs"; elle est irrésistiblement et atrocement attirée par Hippolyte. L'oxymore "je sentis tout son corps et transir et brûler" permet d'insister sur l'intensité de cette passion. Elle compare l'amour à une folie, responsable du trouble qui s'est élevé dans son "âme éperdue". Cette passion s'exprime même sous forme de manifestations physiques : "je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue". Cependant, elle est consciente que cet amour n'est que factice, qu'il est

d’hallucinations par moments, Maupassant côtoya la folie pendant plusieurs années. C’est d’ailleurs pendant cette époque qu’il publia de nombreux contes abordant des thèmes absurdes parmi lesquels on retrouve «La Chevelure», publié en 1884, qui sera sujette à l’analyse littéraire ci-dessous. Ce conte se déroule dans un asile où un médecin propose au narrateur de faire la lecture du journal qu’un des patients a écrit avant d’être interné pour un cas de folie macabre. Ce fou y décrit comment son obsession

donc la confession d’un homme qui assassina sa femme par jalousie - celle de l’enfermement passionnel ? La perte de l’identité de soi et de l’autre dans la passion ? Mais de quelle passion s’agit-il vraiment ? Dans l’ouvrage d’études réunies La Folie et le Corps2, Michel Simonin, dans son article Aegritudo amoris et res literaria à la Renaissance : réflexions préliminaires, note que la passion amoureuse en tant que telle, identifiée comme «maladie d’amour », a été constatée par les médecins de