Haine et Passion

divin c’est l’impassible. Achille ne domine rien, il subit tout. Briséis, Agamemnon, Patrocle, Hector, la vie déchaîne en lui, de ces quatre points cardinaux de son horizon sentimental, une tempête d’amour ou de haine après l’autre. Son âme est comme un vaste ciel jamais serein où la passion amasse et fait éclater d’incessants orages. » André Bonnard Dissertation Littéraire Lecture de Barrico, Homère, Iliade Achille, fils de Pélée roi de Pythie et de Thétis nymphe marine. D’un côté un homme

mais surtout de la force de la passion de Phedre. C'est en particulier cette incroyable passion qui m'a touché dans cette œuvre. Je suis restée sous le choc de ces passions interdites: l'amour désespère d'une femme pour son beau fils, l'amour caché d'un homme pour la fille des ennemis héréditaires de son père. Je fais part maintenant, d'une citation de Phedre, qui m'a interpellé et beaucoup fait réfléchir, extraite de la scène de l'aveu « J'ai pris la vie en haine et ma flamme en horreur » (vers

Commmentaire composé Andromaque de Racine Racine est un poète tragique du 17ème siècle qui tout au long de sa vie a peint la passion comme une force fatale qui détruit celui qui en est possédé. Dans sa tragédie Andromaque, Racine nous présente les passions fatales de plusieurs personnages inspirés de la mythologie grecque. Ces personnages sont notemment Pyrrhus qui est destiné à Hermione mais qui aime Andromaque alors que celle-ci n'éprouve rien à l'égard de Pyrrhus ou encore Oreste

Le passage présenté se situe à la fin de la scène 5 de l’acte II, qui voit Phèdre et Hippolyte se rencontrer suite à l’annonce de la mort de Thésée. Hippolyte vient de déclarer sa flamme à son amour, Aricie, et Phèdre dans l’extrait lui avoue sa passion. L’extrait constitue l’aveu terrible de Phèdre par une tirade, et marque un rebondissement dans le drame de la pièce. (présentation de l’extraitcruel » est employé trois fois v. 671 v. 681 v. 684. → Phèdre essaye de trouver des excuses sans y arriver

modernité => PB de la modernité % au lien social : + les individus deviennent autonomes et interdépendants à la fois, + ils risquent de se replier sur leurs intérêts => Double rôle de la société : intégration (interdépendance) et régulation des «  passions individuelles » (désirs, préférences…) cadrés par les normes sociales à travers les institutions sociales. Weber institue une nouvelle discipline : => la sociologie en tant que science compréhensible qui dégage des liens entre les phénomènes

Ce monologue tragique est souligné par l’expression d’une passion douloureuse. Tout d’abord, Hermione ressent passion mais aussi en colère. En effet, tout au long du texte, Hermione change plusieurs fois d’avis sur ses sentiments. Elle utilise une série d’exclamations comme «le cruel !» qui confirme la haine puis il y a un retournement exprimer par «mon lâche cœur s’intéresse pour lui» (vers 12), ou l’amour est donc encore présent. Puis à nouveau, elle exprime la fermeté de sa résolution «ne révoquons

d’Hermione, ses doutent, ses angoisses. Elle est partagée entre la haine et l’amour. Hermione exprime clairement la haine qu’elle ressent à l’égard de Pyrrhus, qu’elle qualifie par le pronom personnel « Il ». Elle le décrit comme un être « cruel », « sans pitié », « ingrat », « perfide ». Elle désire sa mort : « Qu’il périsse ! »  « Qu’il meure » en parlant d’un ton désapprobateur. Les champs lexicaux de la mort et de la haine reflètent cette détestation qu’éprouve Hermione : « dévore », « hais »

La passion est-elle une erreur ? Qu’es que la passion ? C’est un mouvement violent, impétueux, de l’être vers ce qu’il désire. C’est aussi une admiration envers quelque chose. Tenir une affection avec un hobby par exemple. Ce que l'âme subit, ce qu'elle reçoit passivement. L’erreur s’est une action de se tromper, faute commise en croyant vrai ce qui est faux ou inversement. La passion peut-elle allée trop long et commettre une erreur ? Oui, par passion on est prêt à tout et en commettre des

a aussi l'amour , l'affection que l'on éprouve pour les membres de sa famille , ses amis ou encore pour un animal.Il y a l'amour avec un grand A qui se traduit par de l'attirance physique , par des affinitées , des points communs. Puis il y a la passion qui est le sentiment le plus fort que l'on puisse éprouver et qui est incontrôlable.Ces sentiments sont le plus souvent incompréhensibles pourtant l'homme passe souvent le plus clair de son temps à essayer de les comprendre et à les contrôler car

fut pourtant d’elle qu'il s'inspira pour I'intrigue, les personnages, la disposition des scènes, la composition des tirades, jusqu'à imiter souvent ses formules ou à reprendre les mêmes rimes. Cependant, il assombrit la perspective, en aggravant la haine des deux frères, et surtout en faisant de Créon un fourbe machiavélique. Il améliora la conception dramatique, en renouvelant à chaque acte les raisons d'espérer et de craindre, et en retardant jusqu'à la fin de I'acte IV l'entrevue décisive des deux