Hans Bellmer

Introduction : Hans Kelsen, célèbre philosophe du droit américain du 20e siècle d’origine autrichienne, a contribué à la rédaction de la Constitution autrichienne en 1920. Durant la même année, il commença la rédaction de Théorie pure du droit, un de ses plus grands ouvrages. On l’estime alors comme le fondateur de l’école « normativiste ». Il s’inscrit donc dans le courant positiviste juridique qui consiste à dire que tout le droit est contenu dans des règles qui ont été édicté par l’Etat conformément

finalité) - matériel (renvoie au contenu/la matière relative à l'organisation du pouvoir, la garantie des droits) Benjamin Constant: «Une Constitution est la garantie des libertés d'un peuple.» - formel (la pyramide des normes inspirée par Hans Kelsen Si on se fonde seulement sur le critère formel, que l'on ne prend pas en compte le critère matériel, on met alors ce qu'on veut dans la Constitution. I. Les formes d'une Constitution: 1. La Constitution coutumière: La notion de

le droit positif 3) Le droit positif ensemble règles de conduite liées à la vie en société --> finalité = justice ex : rehausser tranche imposition à Etat estime juste, pr tous application des règles justes ou injustes si valablement élaborée Hans Kelsen : théorie pure du droit à débarrassé de tt sentiment de justice rejette analyse (côté juste ou injuste) de la règle doctrine dominante (changement rythmes sco pr tous) mais sentiment justice ê évincé (si règle aberrante

théorie générale de l’état, la loi, expression de la volonté générale. 4) travail, spécialités : juriste positiviste, universitaire et constitutionnaliste français. - Thème du document : - Problématique (s) : - Résumé : - Auteur: 1) identité : Hans Kelsen (1881-1973) 2) époque : XXème siècle. 3) œuvre ou théorie principale : théorie pure du droit 4) travail, spécialités : juriste austro-américain, fondateur du normativisme et du principe de la pyramide des normes. - Thème du document :

ce qui n’est ni vrai ni faux. Ne pas porter atteinte à la liberté des opinions. → Séparation entre le savant et le politique = règle d’or de Max WEBER (sociologue allemand). Cette séparation entraîne l’individu dans une sorte de schizophrénie. Hans KELSEN reprend la théorie de la séparation entre science (connaissance) et politique (volonté) en l’appliquant au droit. Il y a une différence entre la norme : devoir-être (“sollen”) et la proposition : être (“sein”). Il existe 2 grandes philosophies

11 mois alors que celle des USA n’a pas été modifié depuis 1787. Mais l’Europe était un continent instable et était sujet à de nombreuses guerres. La Constitution est un ensemble commun aux états mais dans sa seule dimension matérielle. Théorie: Hans Kelsen a une conception spécifique de l’Etat. Pour lui, il est assimilable à l’ordre juridique. Autrement dit, l’Etat c’est le droit. Il est à l’origine de la théorie de l’Etat de droit. L’ordre juridique serait un ensemble de normes hiérarchisées

contrôlent la conformité de traités internationaux. Pour beaucoup de textes comportent des dispositions contraires aux droits et libertés inclus dans la constitution, ils sont valides mais non conformes. => Distinction entre validité et conformité Hans Kelsen invention hiérarchie des normes Herbert Lionel Adolphus Hart Professeur à Oxford The Concept of Law Ronald Dworkin élève de Hart Taking rights seriously (puf) (Prendre les Droits au sérieux) Une question de principe Définition du droit :

récent. Ds txt  lien projet scientifique et dev d’une tech très puissance. Projet d’une connaissance sci du réel. Mvt qui explose à cette époque. Sci permet de faire de nvl tech et nvl tech permet d’accelerer co scientifiques. Texte : Hans Jonas 1903-1993 élève de Heidegger. Le principe responsabilité. Réfléchi sur le pb de la tech en s’interrogeant sur la capacité qu’aurait civilisation tech de notre époque de mettre en danger l’humanité future. Thème-notions : Thème la technique

positiviste » (on ne reconnaît que l’existence du droit positif) : le juste est le légal et rien d’autre. Est juste ce qui est permis par la loi et injuste ce qui est interdit par la loi. Cette thèse du positivisme juridique est défendue par le philosophe Hans Kelsen dans son ouvrage intitulé Théorie pure du droit (1934). Si le juste est seulement définit par la loi, il n’y a donc jamais de loi injuste et c’est une absurdité d’imaginer une telle chose car supposer l’existence d’une loi injuste c’est imaginer

sujets. En fait foi la définition de la loi comme d’une communis rei publicae sponsio (D. I, III,1), et, réciproquement, la vision de la convention comme d’un acte qui tient lieu de loi à ceux qui l’ont faite (Code Nap., art. 1134). La conception de Hans Kelsen, qui voit l’ordre juridique comme un système à marches successives, nous offre une vision raffinée de cette symétrie entre la règle étatique et la règle individuelle. Le pouvoir de créer la norme privée a un nom : autonomie. Cette expression