Harmonie imitative

L’Affiche rouge, chanson de Léo |En partant de la chanson de Léo Ferré,|- Le ton. | | | |Ferré, l’affiche elle-même, Strophes |analyser l’affiche, puis le poème ; |- L’harmonie imitative. | | |+ |pour se souvenir, le poème d’Aragon, |étudier la lettre et la comparer au |- Des stances. | | | |et la lettre originale

pittoresque et bourgeois d’Eugène Atget en particulier (1910, album de 58 photographies, Paris, Bibliothèque nationale de France). 3 d’agrément13 sont tout autant tournés vers la personnalisation du logis : « notre intérieur réclame une harmonie, un décor personnels [...].La fantaisie de la maîtresse de maison peut ainsi prendre un essor individuel qui est sa marque, son essence »14. « Les objets les plus modestes, ceux servant même aux usages courants, changent entièrement d’aspect par

se transforme symboliquement en une divinité infernale chargée de torturer le coupable : les Erynies· provocation d'Oreste : "filles d'enfer", "vos mains sont-elles pretes ?"· "Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ?"  => harmonie imitative : allitération en [s], assonances en [i] (avec sonorités dures : p, t, k) => les sonorités du vers suggèrent un bruit particulier correspondant au sifflement des serpents, à des cris, à l'arrivée fracassante des Erynies· progression de la

lettre originale de Michel Manouchian. En partant de la chanson de Léo Ferré, analyser l’affiche, puis le poème ; étudier la lettre et la comparer au poème ; travailler l’orthographe et la syntaxe en corrigeant la lettre. - Le ton. - L’harmonie imitative. - Des stances. - La comparaison. 10 1h - C d’Aragon. Analyser le poème. - La répétition, procédé d’insistance. - L’apostrophe. - la personnification et l’allégorie. - Le lai. 11 2h - La Rose et le Réséda d’Aragon. Analyser le poème

signes contradictoires du passage (ce qui est détruit) et de la permanence (ce qui demeure). Et il s'achève sur l'évocation du vent qui, tel le fleuve, cherche à tout entraîner et dont le souffle puissant secoue» (v. 16>, dans une belle harmonie imitative en [v], [s], [Z], [f]. les plantes sur le rivage (v. 16-17) : Le vent du Rhin secoue sur le bord les osiers Et les roseaux jaseurs et les fleurs nues des vignes · Les images de la permanence Aux images du passage s'opposent celles de la

Alfonse la fin dun repas nocturne en plein air montre du moins au prix de quelle sublimation Chnier tait capable dallier dans un mme lan science et posie, exigence philosophique et extase lyrique, de slever jusqu un lyrisme cosmique digne de cette harmonie des sphres chante par les Anciens. Mais aurait-il vit les cueils de la posie didactique et scientifique _________________________________________________________________________________ Pote des Lumires mais pote enray, tel apparat Chnier dans Herms

. "Emblématique" (Diderot). Langage commun connait aussi exceptions: onomatopées, mot à partir autre. Poésie se risque aux effets d'expressivité sonore. Etymo, scs, figure de style jouent gd rôle.HARMONIE IMITATIVE ET ETYMOLOGIE Harmonie imitative veut suggérer réalité non linguistique par force expressive des sonorités verbales. Etymo permet aux mots de jouer et de s'inventer des parentés à l'infini

aussi austère que possible, car dans cette Cité, on « vise à l'utilité »25. Vient alors l'étude de la manière de chanter le texte poétique, et de la manière de l'accompagner. Pour rester cohérent avec les choix précédents, on ne peut accepter ni une harmonie plaintive, ni molle ; par conséquent, les seuls instruments utiles - et donc acceptés - dans la Cité seront la lyre et la cithare, et aux champs, la syrinx. Avec ces dispositions, « nous avons, sans nous en apercevoir, purifié la cité que, tout à

(clairon ne se rapporte pas spécialement au bruit → éclat du soleil) → vision naïve et amusante de la ville.Vers 22 : "Les plaques les avis à la façon des perroquets criaillent"Allitération en [k], mais aussi en [p] et [r], qui établissent une harmonie imitative : les sons imitent le caquètement du perroquet.2.2) Le monde ancien et éternel La ville en tant que sujet de poésie est associée au monde ancien (vers 1), et à l'Antiquité grecque et Romaine.Apollinaire se détourne de l'inspiration classique

de corail, et qui viennent mourir sur le sable de la Rivière Noire." Cette phrase elliptique, libre elle aussi, suspendue dans le texte, insiste sur l'incessant mouvement de la mer. Les liquides latérales "l" et les virgules reproduisent une harmonie imitative, union des mots et de la nature. La mer est le symbole de la purification, par ses eaux elle lave le corps de ses impurités. Dans son autre roman Désert, Le Clézio, présente Lalla, jeune maghrébine, unique survivante d'une race exterminée