Harmonique

C.I. : 2.2 – Réponse d'un système : 2.2.2 – Signaux tests (entrées typiques) : e(t)=sin(ω.t).u(t) 1 t La sinusoïde: sin(ω.t).u(t) 2π/ω -1 2 – Modélisation et réponses des S.L.C.I. : 2.2 – Réponse d'un système : 2.2.3 – Analyse harmonique – Fonction de transfert : e(t) s(t) Système d n s (t ) d 2 s (t ) ds (t ) d m e(t ) d 2 e(t ) de(t ) an . + ... + a . + a . + a . s ( t ) = b . + ... + b . + b . + b0 .e(t ) 2 1 0 m 2 1 dt n dt

fréquence dite harmonique. Une fréquence est harmonique si elle est un multiple entier de la fréquence fondamentale. Ainsi dans l'exemple ci-dessus l'harmonique 3 a une fréquence qui est égale à trois fois lafréquence fondamentale. On peut alors obtenir avec un analyseur harmonique ce qu'on appelle un spectre de fréquence. Ce graphique permet de déterminer l'intensité de chaque harmonique en fonction de sa fréquence Cette décomposition du son repose sur le principe de l'analyse harmonique et celui

l'espace. Les ondes stationnaires, au contraire, oscillent sans se déplacer. Ainsi, elles ne dépendent plus du seul paramètre z − ct, mais des paramètres d'espace z et de temps t de façon indépendante. Une expression simple d'une onde stationnaire harmonique à une dimension est la suivante : Onde stationnaire on appele la pulsation et le vecteur d'onde À un temps t fixé, une onde stationnaire ressemble à une onde progressive. En revanche, son évolution temporelle est totalement différente

son de la pureté classique, mais qui est conforme à la tradition africaine. L'improvisation Elle consiste en la création spontanée d'une mélodie sur une suite d'accords donnée. Progressivement, l'improvisation s'émancipe sur les plans harmonique et rythmique jusqu'à la revendication de totale liberté du "free jazz". L'improvisation peut être aussi vocale : c'est le "scat", dans lequel les paroles sont remplacées par des syllabes ou onomatopées qui n’ont pas de sens. IV. Evolution

arithmétique pondérée : x = La moyenne géométrique : G = √ n x1 .x2 ...xn ni xi avec n = ni La moyenne géométrique pondérée : G = La moyenne harmonique : 1 H n xn1 .xn2 ...xnn n 1 2 1 xn ] = 1 1 n [ x1 + 1 x2 + ... + Cours de Philippe Frouté 1 Année 2011-2012 Formulaire de Statistiques L2 AEI-AP La moyenne harmonique pondérée : La moyenne quadratique : Q2 = 1 n1 n [ x1 + n2 x2 + ... + nk xn ] 1 2 n [x1 + x2 + ... + x2 ] n 2 1 2 n [x1

préparation : On pourrait dire que c'est la partie « structurante » de son travail : il analyse l’œuvre à diriger afin d’en avoir une grande connaissance et une grande compréhension. Il analyse la structure de la pièce musicale, sa construction harmonique et son essence musicale. Il en retire une sorte d'« axe de lecture », qu'on appelle l'« interprétation ». C'est généralement une vision personnelle, une façon de comprendre le travail d'un autre. Une bonne interprétation se rapproche le plus des

l'énoncé de l'invention et l'analyse harmonique est encore votre point faible.Vous avez seulement considéré la main droite sans tenir compte des basses.En fait, il s'agissait d'accords brisés.Les accompagnements de piano alternent souventune basse/ un accord, mais c'est la même harmonie qui est séparée en 2 (ou parfois en 3).Dans l'analyse des tonalités, il faut aussi toujours regarder la basse.Dans le prochain devoir, avant de remplir le tableau d'analyse harmonique, prenez une feuille de papier et

De plus,sa courbe est irrégulière et montre des harmoniques différentes qui sont aléatoires : ces caractéristiques semblent entraîner une certaine excitation ou énervement chez l’auditeur. Alors que Au contraire, le morceau lent de la chanteuse britannique Adele est progressif, l’intensité augmente petit à petit et est moins important, le rythme est régulier et le tempo plus lent. De plus, la courbe est régulière ce qui montre des harmoniques qui se répètent et une musique « structurée ». Cela

jazz. LES BLUE NOTES DU JAZZ Les réaparitions du système musical pentatonique africain ont donné naissance aux fameuses "blue notes", qui traduit des émotions. Alors que cette musique "primitive" ignorait partie de nos règles mélodiques et harmoniques, elle se révélait par ailleurs d'une sensualité rituelle, qui, exprimant son instinctive vitalité, parvenait à entrainer une envie de bouger et de danser. LE SWING AU CENTRE DU JAZZ La pulsation, le rythme, le "beat" ou plutôt "l'after-beat"

pi/4 0.6 0.5 0.4 |X(jf)| 0.3 0.2 0.1 0 0 1000 2000 3000 4000 5000 Fréquence f 6000 7000 8000 9000 Partie 2 : synthèse des signaux triangulaire et carré 1. Premiere étape: les trois premiers harmoniques  Pour le signal triangulaire 2 1.5 1 s(t) 0.5 0 -0.5 0 0.01 0.02 0.03 Temps t 0.04 0.05 0.06 0.07 1 0.8 0.6 |S(jf)| 0.4 0.2 0 -5000 -4000 -3000 -2000 -1000 0 1000 Fréquence f 2000 3000 4000