Hautbois

mort ; Tourterelles plaintives, Gémissez de mon sort. Quittez, roses nouvelles, Vos riantes couleurs, Et vous, échos fidèles, Répétez mes douleurs. Le rossignol sauvage Venait du fond des bois Suspendant son ramage Écouter son hautbois. Les vents alors paisibles Murmuraient doucement, Et les ruisseaux sensibles Coulaient plus lentement. Tyrcis le vrai modèle Des bergers amoureux, Discret, tendre et fidèle Rendait mes jours heureux. Avec des violettes Il tressait

souffrance du personnage. « B » joué au hautbois et représentant Yseult et l’idée du désir. Wagner choisit une ligne ascendante pour symboliser cette ardeur. Structure Présenté 3 fois dans un mouvement général ascendant Leitmotiv du regard joué initialement par le pupitre des violoncelles ; son caractère exprime – jeu entre les motifs le désir sensuel. Il est ensuite développé de manière lyrique car sa mélodie a beaucoup – reprise du thème par le d’ampleur. hautbois solo Motif de la délivrance dans

“parfums” fait référence à l’odorat, “couleurs” au sens de la vue et “sons” à l'ouïe; à la ligne 9 “parfum frais” met en relation l’odorat (parfum) et le toucher (frais); à la ligne 10 “doux comme les hautbois” met en relation le toucher et le goût (doux…même si en français “doux” se dit “sucré”) et l'ouïe (hautbois); à la ligne 10 “verts comme les prairies” fait référence à la vue (verts); à la ligne 13 “ambre, le musc, le benjoin et l’encens” font référence à l’odorat et sont aussi une personnification

esclaves ou des affranchis : jusqu’à l’Empire, s’exhiber en public sera considéré comme infamant. Sauf pour les mimes. - Il n’y a pas d’actrices : les rôles féminins sont tenus par des hommes. Les figurants sont nombreux. Sur scène, un joueur de hautbois (tibia) accompagne le jeu. - Les accessoires sont plus perfectionnés que dans le théâtre grec : il existe un rideau de scène qui descend sous la scène par un système mécanique complexe : au début de la pièce, on ne lève pas le rideau, on le baisse

de Candide et de ce qui voit aussi (l.14 à 17). Les axes d’analyses sont la guerre et la peur. DEVELOPPEMENT : « Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer.» Voltaire pour prouver que la guerre est totalement stupide autant sur le fond que sur la forme, va dire

situation et des accumulations de malheurs. Citations "Le travail éloigne de nous trois grands maux : l'ennui, le vice et le besoin."  "Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons, formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer." - "Ô Pangloss! s’écria Candide, tu n’avais pas deviné cette abomination; c’en est fait, il faudra qu’à la fin je renonce à ton optimisme." — "Qu’est-ce qu’optimisme

leste, brillant, ordonné » ( ligne 1 ) associés à l'intensif « si » de la première phrase. En savoir plus sur Une guerre sur un fond musical : l'harmonie auditive est suggérée par des instruments de musique associés au canon : « trompettes, fifres, hautbois, tambour » / « canon ». ( ligne 2 et 3 ). AXE 1Une vision particulière de la guerre 1.La guerre comme un spectacle 2.Justification de la guerre par diverses considérations. 3.Minimisation du caractère meurtrier de la guerre. AXE 2 : REALITE LA

d’abord la guerre sous son plus beau jour. Il s’agit d’une fanfare, d’un spectacle qui créé une harmonie visuelle et musicale : « Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées » ; « Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours ». C’est aussi un remède qui permet de se débarrasser des parasites qui infectent la terre : « coquins » ; « infectaient ». Tout ceci est censé justifier le massacre. Cependant, l’auteur estompe cet éclat apparent de la guerre

l’ironie afin de mettre en place sa satire de la guerre. Tout d’abord, la guerre est montrée comme un spectacle exceptionnel : « le théâtre de la guerre », on relève une accumulation et un champ lexical de la musique « les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours » qui insiste sur cette notion de spectacle. L’antithèse « harmonie –enfer » et l’accumulation « Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. » accentuée par « si » montrent l’ironie de l’auteur

(vers 8). Le commun des hommes ne voit pas le vers 8. Baudelaire a une volonté didactique puisqu’il illustre/définit immédiatement après le vers 8 ces correspondances. « les parfums » sont assimilés au son, au touché et à la vue, l’ouie et le gout. hautbois: ouie / vue: verts Toutes ces sensations correspondent à la pureté Les correspondances donnent accès à la connaissance de ces mystères car elles operent une demarche intuitive et analogique et non rationelle et logique. Elles permettent de dépasser