Hautbois

d'une foule, par son énergie entraînante. Le compositeur demande, dans la partition que ce rythme soit joué, tout le long, d'une manière incisive et énoncé avec beaucoup de clarté. Les cordes (violons etc. ) et les bois aigus (flûtes, clarinettes, hautbois etc.) semblent évoquer ce qui est aérien, les walkyries chevauchent le vent, elles sont d'origine divines et sont donc par définition des êtres supérieurs, au dessus des simples mortels à l'image du surhomme Nietzschéen imaginé par les nazis. Les

une meme expression au debut des phrases. Ex. Je n’écris point d’amour/je n’écris la beauté/je nécris la douceur… (Les regrets-Du Bellay) Énumération: détailler successivement les différentes parties d’un tout ex. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours formaient une harmonie… (Candide-Voltaire) Parallélisme: la reprise d’éléments symmétrique dans un meme énoncé. Ex. Et jamais je ne pleure, et jamais je ne ris (La beauté-Baudelaire) Répétition: utilizer plusieurs fois les memes termes

confondent >> au vers 5, à travers la vue au vers 7: << Vaste comme la nuit et comme la clarté >>, ainsi qu’à travers un troisième sens, celui de l’odorat : << Il est des parfums frais comme des chairs d’enfants, / Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, >>.Au début le poème est flou et privilège la comparaison avec les comme, à sept reprises différentes l’auteur les utilise, ce n’est que vers la suite que Baudelaire réussi à nous emmener d’un monde inconnu à un connu

« beau » « brillant » « bien ordonné », le ton de Voltaire est satirique - La focalisation est interne, c’est un Candide bien naïf qui admire la « beauté » du défilé - Nous retrouvons l’esthétique dans la sensation auditive « trompettes » « fifres » « hautbois » « tambours » : descrescendo,de l’intrument le plus aigu à celui la plus grave. Référence au concert de Lully, on s’entend donc à un beau spectacle de l’armée - Cependant, le rythme est rapidement brisé avec les termes « canons » et « enfer »,

avec des stylo glosse Avec mon rhinocéros on les expulse dans le cosmos Quand je serais mort , personne se souviendra de moi Car je ne parais pas important , mais cela est votre choix Ce n'est pas moi qui jouerais toute ma vie du hautbois ; Autrefois vous mangez des petit pois, Maintenant vous vous considéraient tous comme des hors la lois ! Je suis l’exception de cet lois, Car dans ma tombe j'ai des anchois. Il était une fois …. une légende urbaine . ( Mon cœur est amer

pourrez dire à vos gendarmes que je n’aurai pas d’arme et qu’ils pourront tirer) 3. La musique : Rapport musique/texte.  Caractère : sombre, grave, solennel, sérieux.  Formation instrumentale : petit orchestre (piano, contrebasse, trompette, hautbois, guitare, batterie, cordes). Le choix de l’accompagnement instrumental est très léger (peu d’instruments et dans une nuance piano, mezzo forte). Cela permet de rendre audible le texte qui porte un message important qui doit être compris par tous

ensemble musical et sons préenregistrés en 1995. Élaborée autour des bruits de la ville de New York aux États-Unis, elle est une des œuvres les plus connues du compositeur américain de musique minimaliste. City Life est écrit pour deux flûtes, deux hautbois, deux clarinettes, deux pianos, deux claviers à échantillons, trois ou quatre percussions, un quatuor à cordes et une contrebasse. L'œuvre adopte une forme classique ABCBA chez Reich (un premier et un dernier mouvement rapide, et un mouvement central

("vous pourrez dire à vos gendarmes que je n’aurai pas d’arme et qu’ils pourront tirer") 3.La musique : Rapport musique/texte. Caractère: sombre, grave, solennel, sérieux. Formation instrumentale: petit orchestre (piano, contrebasse, trompette, hautbois, guitare,batterie, cordes). Le choix de l’accompagnement instrumental est très léger (peu d’instruments et dans une nuance piano, mezzo forte). Cela permet de rendre audible le texte qui porte un message important qui doit être compris par tous.

TEXT 9 - LATexte 9: Candide Problématique: Comment Voltaire utilise l’ironie pour critiquer la guerre? 1er mouvement: Une description spectaculaire 2ème mouvement: Brutalité de la scène 3ème mouvement: La fuite de Candide Transition: La scène est perçu du point de vue de candide, il admire la grandeur de la guerre … de loin. Son apprentissage est fait d’admiration et de peut ce qui le rend paradoxale. Le lecteur perçoit donc déjà l’ironie cruelle de cet épisode. Citation Procédés Analyse

de l’adverbe d’intensité « si » et accumulation des adjectifs mélioratifs, groupe quaternaire) montre le décalage entre la naïveté du personnage et la réalité des faits. - La guerre est décrite comme un orchestre (L.2 : Trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours). B. Le narrateur touche la sensibilité du lecteur en présentant un tableau cruel : - Vision hyperréaliste —› horreur, accumulation macabre de détails crus et anatomiques: « cervelles répandues », « bras et jambes coupés » et sans