Hautbois

Qui d’Iran borde le puits sombre ?Ou le fruit du tuba, de cet arbre si grand,Qu’un cheval au galop met, toujours en courant,Cent ans à sortir de son ombre ? Veux-tu, pour me sourire, un bel oiseau des bois,Qui chante avec un chant plus doux que le hautbois,Plus éclatant que les cymbales ?Que veux-tu ? fleur, beau fruit, ou l’oiseau merveilleux ?- Ami, dit l’enfant grec, dit l’enfant aux yeux bleus,Je veux de la poudre et des balles. Victor Hugo, Les Orientales 1828 L’EvadéIl a dévalé la collineSes

mais une « boucherie héroïque ». Pour finir nous pouvons constater que le champ lexical de la musique est présent dans ce passage car Voltaire montre le champ de bataille comme un spectacle comme lorsqu'il conte: «  Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons formaient une harmonie », tous ces éléments au caractère festifs non en réalité rien à faire sur un champ de bataille. Grâce à cette ironie Voltaire critique la guerre de façon détournée. 2-En quoi consiste la critique

tout est beau, c’est comme si la guerre était un spectacle, tout y est bien présenté, organisé, tout semble parfait. Même la musique y est présente, « les trompettes » qui annoncent le commencement de la bataille accompagnée « des tambours », « des hautbois, des fifres » ainsi que « les canons » qui sont normalement des armes, fond aussi partit de l’orchestre, ils donnent le tempo et c’est parti, les soldats sont renversés comme des pions, les armes tueuses froment un crescendo, d’abord les canons qui

par son énergie entraînante. Le compositeur demande, dans la partition que ce rythme soit joué, tout le long, d'une manière incisive et énoncé avec beaucoup de clarté. Les cordes cordes(violons etc. ) et les bois aigus (flûtes, clarinettes, hautbois etc. cordes%20bois.mp3) semblent évoquer ce qui est aérien, les walkyries chevauchent le vent, elles sont d'origine divines et sont donc par définition des êtres supérieurs, au dessus des simples mortels à l'image du surhomme Nietzschéen imaginé

diversifiées.Les axes de lecture A. La dénonciation de la guerreLe narrateur présente d'abord la guerre comme un spectacle, on constate l'emploi:Des adjectifs élogieux: beau, brillant, leste..;Du champ lexical de la musique: la trompette, les fifres, les hautbois, les tambours, harmonieDu champ lexical de la guerre: canons, baïonnette, mousqueteries.1. Une guerre absurde et illogique:Les axes de lecture A. La dénonciation de la

l’esthétique est mise en avant : "leste" ; "beau" ; "ordonné". La guerre s’apparente à une œuvre d’art. Les armes ( "canons", "mousqueterie" ... ) sont dissimulées derrière l’atmosphère. Les autres éléments prennent toute la place : "trompettes, fifres, hautbois, tambours", ces accumulations atténuent les armes. La mort elle aussi est atténuée : "coquins" qui montre que leur mort n’est pas grave. Le narrateur refuse de s’apitoyer sur leur mort. "Raison suffisante" : leur mort était normale. Candide fait

rappeler un spectacle et derrière cette hyperbole on peut voir le regard emerveillé de Candide . De plus ce spect cle n’est pas qu’esthetique mais aussi sonore puisque il y a aussi une enumeration des instruments de musique « trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours », « harmonie ». On peut constater que Voltaire utilise un registre profondemment ironique. Par ailleur Voltaire veut montrer les limites de l’optimisme d’aprés la vision naïve de Candide et en decrivant les villages en flamme ainsit

Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Il est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, - Et d'autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l'expansion des choses infinies, Comme l'ambre, le musc, le benjoin et l'encens, Qui chantent les transports de l'esprit et des sens. Charles Baudelaire, Les fleurs

bien ordonné que les deux armées. La guerre nous présente comme un spectacle, comme une chose magnifique. On l’observe à travers les yeux d’un garçon naïfs comme candide. Il parle de la musique et de l’harmonie que les tambours, les frifes et les hautbois créent. A continuation du grand ouvrage de la pièce de théâtre. Il décrit en détail des atrocités, et les horreurs que la guerre cause. Ce que Voltaire veut faire ; c’est de nous ouvrir les yeux à la réalité de la guerre. 3- la cruauté Dans le chapitre

plusieurs termes de la même classe grammaticale Les trompettes , les filtres , les hautbois , les tambours formaient une harmonie telle qu’il n’y en eu jamais en enfer  Cette figure de style a un effet de profusion elle donne une