Haute Joaillerie

Moët & Chandon, Mercier, Dom Pérignon, Ardbeg, Belvedere, Château d’Yquem etc. Mode et maroquinerie : Louis Vuitton, Kenzo, Givenchy, Celine etc. Parfums et cosmétiques : Christian Dior, Givenchy, Kenzo etc. Montres et joailleries : TAG Heuer, Chaumet, Montres Christian Dior etc Distribution : Séphora, DFS, la Samaritaine, le Bon Marché etc. Médias : La Tribune, Investir, Radio Classique etc. KENZO Kenzo est une marque de prêt-à-porter et de parfum

président 56 Annexes 2 L’invitation 57 Résumé managérial Dans le cadre de nos études nous devions réaliser un projet de groupe en répondant aux critères suivants : choisir une marque de luxe, appartenant aussi bien à la haute couture, au prêt-à-porter, à la joaillerie, aux vins et spiritueux, à la parfumerie et cosmétiques, la cristallerie et art de la table, que la décoration d’intérieur, et lancer une gamme inexistante au sein de la marque, puis de choisir un marché sur lequel nous réaliserons

Allérés, on comprend que le luxe se distingue en trois catégories qu’il est important d’assimiler pour pouvoir saisir les enjeux de l’évolution du secteur. - Tout d’abord, le luxe dit « inaccessible ». C’est celui des objets rares, chers, et uniques. La haute couture est un bon exemple de cette typologie car les pièces sont produites en un seul exemplaire et sont extrêmement coûteuses. ! '! - Seconde classe, le luxe « intermédiaire ». Il comprend les « grandes marques ». Il s’agit d’une production

défini comme le « luxe des sensations et des plaisirs » (parfums, vins et spiritueux, gastronomie…) celui du luxe intermédiaire qui correspond aux secteurs traditionnels du luxe (maroquinerie, horlogerie, joaillerie…) celui du luxe inaccessible ou « super luxe » (haute couture, haute joaillerie, sur mesure…). Au niveau du luxe inaccessible, l’intensité et la pression concurrentielles sont limitées, la concurrence est plutôt de forme oligopolistique voire monopolistique. Sur ce segment, les concurrents

les produits de luxe : la soie, les pierres précieuses, les parfums… A partir du 19ème siècle, le luxe devient marchand : des marques de luxe voient le jour et certains noms de marques s’imposent dans la haute couture (chanel), la parfumerie (Guerlain), l’orfèvrerie (Baume et Mercier) et la joaillerie (Boucheron)… Après la crise des années trente et les pénuries des années quarante, les consommateurs deviennent fortement demandeurs de beaux objets luxueux. C’est à partir de la seconde moitié du 20ème

Recommandations……………….P16 VI. Conclusion……………………....P17 VII. Bibliographie………………...….P18 1 I. Introduction Yves Saint Laurent est une grande marque française de luxe. Elle est représentée dans les secteurs du prêt-à-porter de haute couture, de la parfumerie, du cosmétique et de la joaillerie. C’est en Juillet 1961 que Monsieur Yves SAINT LAURENT décidé de fonder sa propre maison de couture en association avec Pierre BERGÉ et trois autres collaborateurs de la maison Christian Dior. Yves SAINT LAURENT sort

Dior est un concept créatif du luxe qui répond à ses propres critères et valeurs. Elle utilise un mode de stratégie de management spécifique reprenant le modèle pyramidale d’extension verticale. C’est-à-dire que la marque part du cercle de la haute couture, la griffe, vers le bas avec la vente de parfums et accessoires. L’opulence relative de chaque produit destinés à une vente plus massive, souligne un défaut de créativité, à contrario des produits au sommet. Rares si ce n’est unique, ils sont

y est assimilée. • La qualité du produit : elle n’est pas une exclusivité des marques de luxe. Il est vrai que ce secteur se distingue autant par la qualité des matières utilisées, que par la minutie des processus de création (horlogerie, haute couture). Néanmoins, bien que la qualité soit une condition nécessaire, elle n’est en aucun cas une condition suffisante de ce secteur. • La rareté : Un produit qui ne serait pas rare ne pourrait être considéré comme un produit de luxe ; en

faire oublier les grands enjeux technologiques du XXe siècle. Le développement industriel est désormais prioritaire et preuve en est faite par Pompidou lui-même : " Chère vieille France ! La bonne cuisine ! Les Folies-Bergères ! Le Gai-Paris ! La Haute-Couture ( ....) ! C'est terminé. La France a commencé et largement entamé une révolution industrielle ". Les années 70 furent des années plus sages, des années de recentrage. La mode est assez conformiste, rien de choquant et rien d'excentrique. Ces

DESS "Management des industries du Luxe" Promotion Cartier Cours de Management stratégique des industries du Luxe De Monsieur Nicolas Dahan Analyse du secteur de LA HAUTE COUTURE ET DU PRET-A-PORTER DE LUXE - Mars 2002 - Auteurs : Emmanuelle Boyer – Christophe Durastanti – Mika Emoto LA HAUTE-COUTURE ET LE PRET A PORTER DE LUXE DESS Luxe 2002 Introduction Le vêtement avait à l’origine une fonction purement utilitaire. A partir du 13 siècle, apparaissent les premiers