Hayek Capitalisme

rapidement et la croissance sera amoindrie. Les emplois risquent d'être moins nombreux. La redistribution rend les entreprises moins productives. Cette redistribution ne rapporte rien, elle est improductive. Cet argent aurait pu servir autrement. Hayek, économiste américain néoclassique, fait partie de ceux qui pensent qu'il ne faut pas redistribuer l'argent (document 1) et chacun doit assumer les aléas de la vie économique. L'entreprise non rentable fait faillite et les moyens de production peuvent

l’homme, on oublie les classes sociales et on raisonne en terme d’utilité. Ceci abouti à l’apologie de l’éco de marché. - Ecole de Lausanne : Walras et Pareto - Ecole de Cambridge : Jevons, Pigou, Marshall - Ecole de Vienne : Boëhm Bawerk, Von Mises, Hayek. Les contemporains: les néo libéraux. - Les monétaristes : Friedmann, reprend la théorie quantitative, attaque l’inflation, face au keynésianisme. Il préconise des politiques monétaires restrictives. - Les théoriciens de l’offre : Arthur LAFFER

fragmentation Globalisation = Mondialisation ? Pas de débat dans la langue l’anglaise Plus de débat en français : la distinction Mondialisation = processus d'extension des marchés (qua trinh mo rong cua thi truong). C’est la généralisation du capitalisme (du marché) à l’échelle du monde (après la chute de Berlin notamment) Globalisation = processus intensif de réorganisation des marchés (qua trinh gia tang cua thi truong ). On met l’accent sur la libéralisation des marchés plus que sur leur extension

générale des sociétés à technologie encore faible. Cependant, l’ampleur des crises dépendait bien souvent des rapports sociaux donc de la répartition de la production. *L’industrie : elle a très largement affranchi les rythmes naturels mais le capitalisme est soumis à une autre périodisation en cycles. A) De l’observation et de la conceptualisation des crises périodiques du XIX° siècle et de la première moitié du XX° à la mise en évidence de cycles économiques a) Crises et fluctuations

vision la plus achevée de la théorie de l’entrepreneur. Il insiste sur le rôle de l’entrepreneur dans l’innovation et dans la construction d’une société. Son œuvre économique la plus importante est la théorie de l’évolution économique. Pour lui le capitalisme progresse grâce aux initiatives de l’entrepreneur. L’entrepreneur exploite les découvertes pour faire des innovations. La qualité d’entrepreneur est très large, ce n’est pas le patron de l’entreprise qui a des idées nouvelles, c’est le salarié.

marché pour les produits de grande consommation. La création de sociétés anonymes par actions, dont les détenteurs, collectivement propriétaires, délèguent généralement la gestion à des managers, constitue l'innovation qui fait écho à la notion de capitalisme. La propriété collective est régie par des règles juridiques précises. Elle est transmissible par vente d'actions, qu'il s'agisse de ventes au jour le jour sur le marché boursier ou de ventes dans le cadre de procédures exceptionnelles appelées

travailleur est exploité car il doit fournir un travail supérieur à cette somme). C’est-à-dire qu’il va créer par son travail plus de valeur que le capitaliste n’en a dépensé dans son salaire  le travail a généré une plus-value qui est accaparés par le capitalisme  c’est l’exploitation. Dans l’analyse keynésienne, pas de véritable théorie de la répartition ou de détermination du salaire, mais on considère par extension : Le salaire provient d’une négociation menée entre les salariés sur le niveau d’un

système capitaliste et le système socialiste. 2.1. L’apologie du capitalisme naissant L’analyse du capitalisme se fonde principalement sur deux postulats : la non intervention de l’Etat dans le mécanisme du marché et la loi de l’offre (la loi de débouché de SAY), qui montre le rôle moteur de l’entrepreneur (la capitaliste) dans le bon fonctionnement du marché. Deux écoles font principalement l’objet de l’apologie du capitalisme : l’école classique et l’école néoclassique. a. L’école classique

l’individualisme. Il existe deux grandes méthodes d’analyse :  Les classiques (Smith, Ricardo, Marx,…) ; 19ème siècles : première fois qu’une pensée économique voit le jour, les auteurs sont contemporains de la Révolution industrielle (essor du capitalisme industrielle), c’est première fois de l’histoire qu‘il y a des grandes périodes de croissance économique continu, ils sont témoins aussi de grave crise. Ils s’intéressent au processus d’accumulation des richesses :  La nature de la richesse (quantité

Friedrich Hayek et la Liberté « La route de la servitude » est un ouvrage de philosophie publié originalement en 1944 par Friedrich Hayek, au Royaume-Uni. Hayek est né en 1899 à Viennes, et décédé en 1992, ce qui fait de lui un autrichien d’origine. C’est un philosophe et un économiste qui gagne d’ailleurs le prix Nobel de l’économie en 1974 pour ses travaux pionniers dans la théorie de la monnaie et des fluctuations économiques et pour son analyse de l'interdépendance des phénomènes économique