Hegel Esthetique Prise Conscience De Soi

mystère du monde. La conscience, l’inconscient « La conscience est toujours conscience de quelque chose ». Husserl Plan du cours : Introduction 1) La conscience morale : Augustin et Rousseau 2) La conscience et le cogito cartésien 3) La conscience dialectique chez Hegel 4) La conscience comme mémoire chez Bergson 5) L’inconscient dans la psychanalyse freudienne 6) L’inconscient après Freud : Jung et Maslow Conclusion 1) La conscience morale : Augustin (334-430) et

et ce que nous voyons, et comment nous le voyons, dépend des arts qui nous ont influencé »Art  : quelque chose qui montre, l’artiste c’est celui qui force le processus émotionnel. C’est beau à objet d’une émotion esthétique. Etonnement peut être un facteur de l’art => émerveillement comme Paul Cézanne : Pomme et Biscuit , 1880 : « je voudrais étonner Paris avec une Pomme ». Mais on peut aussi s’émerveiller tous les soirs en regardant le

dans la mesure où il est il est doué de conscience. C’est pourquoi nous avons tendance à penser que la connaissance de soi est une évidence. « Passant ma vie avec moi-même, je dois me connaître » affirme d’ailleurs Rousseau, grand philosophe du 18éme siècle, dans sa première lettre à M. de Malesherbes. Pourtant, la conscience permet seulement à l’Homme de savoir qu’il est un sujet : savoir que je suis est-ce savoir qui je suis ? Avoir conscience de soi suffit-il pour avoir une connaissance

dire que c’est par le travail qu’on acquiert son humanité, puis qu’il permet la réalisation de soi, et qu’il est spécifiquement humain. Marx : le travail n’est pas instinctif et animal, mais il est le résultat d’un projet conscient et volontaire. Hegel : le travail impose à l’homme la médiation du temps (il n’est pas satisfait immédiatement) et de l’outil, et il lui permet donc de s’extraire de son existence immédiate. Il est donc un moyen de maîtrise de la nature mais aussi d’objectivation de soi :

SUJET : DES DISTINCTIONS NECESSAIRES 1. UNE CHOSE MENTALE • le flux interne et le for intérieur : c’est moi et moi seul qui parle, livre mon sentiment. La vie psychique et la vie psychologique comme fait de conscience. Mais où est la conscience ? • mind et brain des compétences cognitives, des mécanismes, des opérations mentales : le cerveau comme machine à apprendre sur la base d’informations bio- chimiques, un calcul de représentations et de transformations

F. KAUSCH3 COURS : 1) Mêler art et pouvoir / esthétique et politiqueBibliographie : - Walter Benjamin « l’œuvre d'art à l'époque de la reproductibilité technique » 1939 Gallimard Œuvres, III (→ 3ème volume) PR LA RENTREE 2) Politique : cours sur la punition et le châtiment 3) Les sciences humaines à partir de Rousseau, entre autres.Concernant les lectures : travail « non scolaire » → toujours un livre ouvertINTRODUCTION sur le texte de Benjamin Avec le photographe Walker Evans

En effet , le contenu constitue un élément fixe , stable qui donne prise a une organisation conceptuelle . Mais une théorie sur l’art doit rester esthétique et ne doit pas séparer le fond et la forme pour revêtir . Les progrès de l’art et de son épanouissement doivent laisser apparaître un contenu , indissociable de l’histoire d une civilisation , dont l’art est précisément l’expression esthétique . L’art est donc la conscience d’une civilisation immédiatement perceptible par les sens . Toutes

toutes les transgression au nom du respect et du desinteret de l'art? Peut on naitre artiste? INTRODUCTION A en croire ses origines, l'art traduirait l'habilité a mieux faire, a rendre subtiles et harmonieux les rapports entre l'homme et sa conscience, entre l'homme et le monde? Il y a donc un savoir être, un savoir faire qui se dégage des entrailles de l'art. Savoir produire de beaux discours, savoir sourire, savoir marcher, savoir manger, savoir aimer.. sont des manifestations matérielles de

Attention à ne pas le confondre avec l'âme, qui elle, représente nos sentiments et notre pensée. L'homme est composé d'un esprit, d'une âme et d'un corps. L'âme et l'esprit cohabitent dans le corps. L'esprit est ce que l'homme est vraiment, ce qu'il a conscience d'être. L'âme guide l'esprit et donne vie au corps. Le corps est l'habitacle de l'esprit dans le monde physique. Il nous permet de faire des choix et donc, c'est ce qui nous rend autonome. Dieu ne lui dicte pas les choix. L'esprit, en faisant ses

qui est harmonieux (sumetron), c'est-à-dire tout ce dont les parties ne sont pas associées de manière effrayante ou ridicule. Ce qui est beau procure du plaisir à qui le regarde ou le touche, un plaisir esthétique ou érotique (Philèbe, 46b- 47b)[1]. Dans Le Banquet, Pausanias remarque : « Prise en elle-même, une action n'est ni belle ni honteuse. Par exemple, ce que, pour l'heure, nous sommes en train de faire, boire, chanter, converser, rien de tout cela n'est en soi une belle action ; mais c'est