Hegel Esthétique Idée Principale

la plus courte de la pièce. De manière générale, on change de scène lorsqu’un ou plusieurs personnages entrent ou sortent. On parle d’acte ou de scène d’exposition lorsque ceux-ci présentent la situation initiale de la pièce et le caractère des principaux personnages, présents ou absents de la scène. L’espace théâtral On peut généralement distinguer trois types d’espace : L’espace référentiel est le lieu fixé par l’auteur et que la scène doit représenter, grâce aux décors. L’espace scénique

individuellement). On a une vision plutôt déshumanisé du monde humain, on ne se voit pas dans les autres, une telle attitude suppose soit des troubles psychiques soit un mal être vis-à-vis des autres (L’étranger de Camus : description d’un personnage principal qui est étranger au réel, il comment un crime dont il n’est pas conscient. Les indifférents : monologues intérieurs, jamais de communications réelles avec les autres, les autres sont toujours perçus en extériorité. Il n’y a aucune participation affective

permet d’arrêter le temps. L’œuvre permet de transformer le passager en chose éternelle : la réalité, dans l’art, n’est plus soumise au temps. Baudelaire, dans Le peintre de la vie moderne, souligne en ce sens que l’artiste a pour mission principale de convertir le temporel en éternel : TEXTE 16. « L’artiste cherche ce quelque chose qu’on nous permettra d’appeler la MODERNITÉ : car il ne se présente pas de meilleur mot pour exprimer l’idée en question. Il s’agit, pour lui, de dégager de

une partie du réel qui échappe à une science ou à une connaissance déterministe et prédictive (capable de prédire ce qui va arriver). L’idéalisme platonicien Quelques noms : Platon (Grèce; 427-347), Descartes (France, 1569-1650), Hegel (Allemagne, 1770-1831). a) Le dualisme : • La question de départ de Platon est la suivante : qu'est-ce qu'un homme bon, qu'est-ce qu'une vie bonne, une vie réussie ? C'est une question analogue à celle de savoir ce qu'est un bon ingénieur

désigne : • La totalité des œuvres écrites ou orales fondées sur la langue et dont la dimension esthétique les distingue des œuvres scientifiques ou didactiques. Ce sens est attesté vers 1764 ; • Les activités destinées à la production et à l'étude de telles œuvres; sens datant de la première partie du XIXe siècle ; • L'ensemble d’ouvrages publiés concernant un sujet, sans que la dimension esthétique y soit privilégiée (d'après l'allemand Literatur, 1758). Ce sens nous autorise à parler par

mais aussi « maladifs », pathologiques (névroses, psychoses, obsessions) s'expliquent en gros selon le même schéma. L'individu subirait un conflit psychique (dans son âme), conflit parfois extrêmement violent entre les normes conscientes (morales, esthétiques, sociales) et des désirs qui bousculent et négligent ces règles. Ce second groupe de désirs, le sujet les trouverait, s'il en avait conscience, tellement monstrueux, qu'ils ne peuvent parvenir à la conscience que sous une forme voilée, déformée

une synthèse des arts, une union de la poésie, de la musique et de la danse. Ces trois arts sont des pratiques uniformes et constituent un seul et même langage artistique. C'est une spécificité de la culture grecque antique. Le sens du son est le principal sollicité par la musique. Pour la danse c'est le visuel avec une place prépondérante accordée au corps. Pour la poésie, c'est la pratique des mots et de l'esprit qui joue avec les mots en vue d'atteindre un maximum d'éloquence et une bonne connaissance

l’antinaturalisme, l’idée d’un face à face de l’homme et de la nature. (FEH,p. 37) Sur l’ontologie (comme explication du réel à partir de principes ultimes pensés comme des entités fondatrices (réalité de la réalité). (FEH, p. 35- 46) Les deux traits principaux de toute ontologie occidentale : « Elle pense le réel à partir de d’entités ou de catégories ultimes qu’on suppose dotées de propriétés internes stables (une nature, une essence) et formant le fondement du monde phénoménal ; elle pose des structures

critiquer c’est alors douter, prendre du recule pour mieux saisir la complexité de la réalité. Dans ce cadre, pour être philosophe il faut disposer d’un esprit critique car la philosophie se définie dans l’analyse, dans l’existante critique.une idée que confirme SOCRATE : » la philosophie est un examen critique auquel on participe de tout et ne doit pas se soumettre sans s’interroger à l’avance. Par conséquent, être philosophe c’est être réfléchit. Dans cette perspective, philosopher c’est

encore, la plus grande partie de la vie s’écoule chez nous sans qu’il y ait une pareille réflexion – et de même la partie pensante, sensitive et agissante de notre vie, quoiqu’un philosophe ancien puisse trouver quelque chose d’offensant dans cette idée. Pourquoi donc la conscience si, pour tout ce qui est essentiel, elle est superflue ? – Dès lors, si l’on veut écouter ma réponse à cette question et les suppositions, peut-être lointaines, qu’elle me suggère, la finesse et la force de la conscience