Hegel Et Le Déterminisme

une histoire ? Selon Hegel à l'origine de l'histoire humaine il y a le besoin ressenti par chaque conscience hu- maine d'être reconnue par une autre conscience, besoin qui ne peut trouver de réponse que dans le conflit et l'opposition des consciences. C'est ce processus qui est décrit par Hegel dans un texte extrait de la phénoménologie de l'esprit qui se nomme la dialectique du maître et de l'esclave. 5.3.2.1 La dialectique du maître et de l'esclave Dans ce texte Hegel nous décrit la situation

déterminé par son environnement social et plus généralement par la société. En effet, selon Pierre Bourdieu, il y a reproduction sociale, ce qui veut dire que l’homme n’a pas choisi d’être qui il est et il devra connaître les caractéristiques de ses déterminismes sociaux pour apprendre à se forger son identité individuelle et par-delà devenir soi-même. De plus, la société actuelle tend à uniformiser les individus, il est donc difficile de s’affirmer en tant qu’individu différencié d’une certaine masse

inconscient d'instincts, de désirs qui le déterminent à engager sa réflexion dans telle ou telle direction. Si tout ce que je fais à un sens, je ne suis pas réellement libre car cela suppose d'être l'auteur de ses actes en connaissance des causes. Selon Hegel, pour être responsable, il faut savoir ce que l’on fait, Lorsque nous sommes conscients, cela engendre la responsabilité de nos actes. Donc nous n'en sommes pas réellement responsables. On en conclut que sans conscience il n'y a pas de responsabilité

recommencer, l'individu se soumet à ses appétits, à ses besoins, à la nécessité d'une nature: se nourrir. La division du travail, la répartition des tâches, puis la décomposition des tâches en éléments simples, singe le mécanisme naturel, le déterminisme, un enchaînement de causes et d'effets avec pour conséquence de confisquer à l'individu le pouvoir d'inventer. La première figure du travail aliéné c'est qu'il est inventé par un autre, avec l'exclusion de l'initiative, de l'imagination, de l'usage

et définitive car elle se heurte a deux limites : - limites de faits : l’autre peut toujours simuler ou dissimuler - limites de droits : la prétendue connaissance de l’autre peut être illégitime car c’est le réduire a l’état de chose (déterminismes aveugles). On ne respecte donc pas son identité personnelle, on lui attribue une identité figée. Il y a donc un risque d’aliénation de soi (devenir étranger a soi même) ou d’effet Pygmallion : on se conforme a l’image que l’on a de nous. En philosophie

Élève d'Habermas Relance la théorie critique (car Habermas s'en était éloigné, il en était à signer un livre avec le pape). Lecteur de Hegel A écrit « La lutte pour la reconnaissance » en 1992 et « La réification » en 2007 réification = réunification D'après lui, on peut avoir différents types de reconnaissance. Il reprend Hegel là-dessus : D'après Hegel, il y a 3 niveaux de reconnaissance : reconnaissance affective (fait d'être aimé, intégrité physique). On peut acquérir la capacité à

à l’idéalisme absolu de Hegel, pour lequel la réalité est progressivement investie et orientée par l’Esprit à l’œuvre dans l’Histoire, Marx oppose son "matérialisme dialectique", qui cherche à définir, plus subtilement que les matérialistes antérieurs, des relations réciproques entre situations matérielles et productions spirituelles. Plus près de nous, au XIXe siècle, Marx et Engels dénoncent la conception idéaliste de l’esprit, illustrée à leur époque par Hegel, comme principe premier.

permet d'expliquer la façon dont le monde fonctionne. Point de vue déterministe ... Cause Effet/cause... Point de vue de la liberté Cause première Effet/Cause ... Problème: Ces deux point de vues s'excluent mutuellement, la thèse du déterminisme qui stipule que tout évènement est l'effet nécessaire à une cause qui la détermine et l'explique (principe des sciences) qui exclu la thèse de la liberté qui laisse supposer des évènements qui sont le produit de décisions contingentes. Dieu

Introduction.I- Hegel, La raison dans l'histoire : l'histoire au sens 1) a un sens. C'est le philosophe qui retranscrit ce sens à travers l'histoire philosophique.A- les différentes manière d'écrire l' histoire.B- histoire philosophique (philosophie de l'histoire) :II- N'est-ce pas pour nous que l'histoire a un sens ?A- Kant : Idée d'une histoire universelle au point de vue cosmopolitique : le sens de l'histoire est seulement un besoin de la réflexion.B-Analyse du statut du fait historique.Conclusion

Y-a-t-il un sens de l'histoire ? page créée le 17/08/2003 |  | | |Introduction. |liens associés | |I- Hegel, La raison dans l'histoire : l'histoire au sens 1) a un sens. C'est le philosophe |[pic][pic][pic] | |qui retranscrit ce sens à travers l'histoire philosophique. | | |A- les différentes