Hegel Et Le Déterminisme

dogmatisme Dans L'éthique , ses propositions sont peu sujette à l'interprétation ( elles écartent l’ambiguïté, elles sont univoques ). Le projet de Spinoza est philosophique mais sa méthode pose problème car de type dogmatique et mathématique. Hegel se montre dogmatique également. La raison humaine est toute puissante si elle se met à l'école des mathématiques, si elle se purifie de tous ces préjugés ( elle peut donc tout résoudre ). Le scepticisme C'est une attitude mais aussi une école

sujet de ce qui se passe en lui ou en dehors de lui. maître : Du latin magister, «celui qui est plus » (sous-entendu « que les autres »), « le maître ». Personne qui exerce une autorité, une domination (notamment sur un esclave), un pouvoir. Chez Hegel, la conscience qui, dans la lutte à mort qui l'oppose à une autre conscience, préfère la liberté à la vie et s'affirme dans l'indépendance à l'égard d'autrui (dialectique du maître et de l'esclave). Chez Nietzsche, l'homme vaillant et sans scrupule

suffire à eux-mêmes, des êtres vulnérables. Nous souffrons parce que nous avons un corps : « avoir un corps, c’est être capable d’être à la merci des autres. » Le mal moral est un mal qui survient avec une action, une intention, avec conscience. Hegel dira qu’Œdipe n’est coupable parce que le mal n’existe que s’il y a volonté d’enfreindre la loi. Descartes distingue ainsi l’erreur de la faute. Comment savoir si le mal est commis délibérément ? Quelle différence existe-t-il entre le pervers, le méchant

pas sûr… Voyez la pensée d’Alain à ce sujet. En revanche on peut se demander s’il n’y a pas de pires maux pour l’homme que la guerre ? Imaginer la réponse que donneraient à cette question des individus aussi différents que De Gaulle, Trotski ou Hegel. La perte de la liberté et le déshonneur national, la misère du prolétariat, l’assoupissement de l’activité dans le ronronnement des habitudes sont, à chaque fois, pensés comme les pires des maux pour l’humanité. Et par-là même s’ouvre la brèche qui

d’insolubles contradictions. Présence conjointe d’une rupture et d’un lien causal entre les deux niveaux d’engendrement du phénomène, ce que nous avons pu inscrire dans le couple continuité/discontinuité, effets non proportionnels à leurs causes, déterminisme des règles d’engendrement contre imprédictibilité du résultat, irréductibilité du tout par rapport aux parties qui le constituent néanmoins, les différents paradoxes constitutifs de l’émergence semblent ainsi résister à la logique traditionnelle

de fission nucléaire est indispensable avant la fabrication et l’utilisation de machines utilisant cette énergie. L’esprit humain peut être considéré comme un objet dont on peut connaître toutes les propriétés si l’on parvient selon la formule de Hegel à en connaître « tous les mouvements, toutes les nuances de sentiments» Pareille connaissance si elle n’entrainerait pas de facto une maîtrise en serait un préalable nécessaire Si l’on connaît ou que l’on croit connaître les causes qui nous poussent

lois qu’il s’agit de mettre au jour. Ces lois sont d’ordre économique et social. Il ne veut, pour expliquer les événements, recourir à aucun principe transcendant ou inobservable (tels « la main invisible » de Smith ou « la ruse de la Raison » de Hegel ou encore la providence divine) mais se contenter des seuls faits, qui sont de l’ordre du matériel et donc sont objet de l’expérience. Telle est la démarche du matérialisme historique. Il prétend à la scientificité de sa théorie : il s’agit donc

moi-même, à me regarder comme d’en haut, par elle je mène, selon le mot de Hegel, une « double existence ». Je suis en effet, comme le reste des choses, partie prenante de l’ordre général du monde. J’existe donc en tant que chose parmi les choses. Mais je suis capable de me dire que je suis cette chose qui est là parmi les choses, de telle sorte que j’existe également pour moi-même. Les choses ne sont qu’en elle-même, dit Hegel, elles ne sont que de l’en-soi, elles ne sont qu’en soi. Il entend par là

j’existe mais a titre de sujet pensant, « je pense, je suis ». Quatre conséquences : - logique méthodique : le cogito nous donne la première expérience de vérité absolue, donc il sert de point de départ à la reconstruction de nos connaissances, Hegel dit « avec la conscience de soi nous sommes entrés dans la terre natale de la vérité » - le dualisme : La chose qui pense distinctement du corps mais étroitement unis. Le dualisme cartésien affirme l’existence de deux substances : la matière et l’esprit

/ subjectif – Obligation / contrainte – Persuader / convaincre – Principe / conséquence – En théorie / en pratique – Universel / général / particulier / singulier Auteurs avec exemples de problématiques sur la notion de liberté qui s’oppose au déterminisme Les auteurs au programme sont pour l’Antiquité et le Moyen-Âge : Platon (l’homme est-il libre de choisir qui il est ?); Aristote (la matière est-elle un obstacle à la liberté ?) ; Épicure ; Lucrèce ; Épictète ; Marc-Aurèle (la liberté est-elle