Hegel L Homme Se Constitue Pour Soi

INTRODUCTION : Hegel est un grand philosophe Allemand du 18ème & 19ème siècle ( 1770-1831 ) . Ce dernier, adepte de l’idéalisme absolu, avait fait de l’Histoire une des ses priorités philosophiques. Ainsi il a écrit, entre autres publications de renoms, les « Leçons sur la philosophie de l’histoire » en 1837, mais plus singulièrement « Rien de grand ne s’est fait sans passion ». Cet essai philosophique de Hegel va viser à associer la passion à l’Homme, qui lui-même a conscience de son individualité

"Esthétique" de Hegel - L'acquisition de la conscience «  Cette conscience de lui même l' homme l' acquiert de deux manières: théoriquement, en prenant conscience de ce qu' il est intérieurement de tous les mouvements de son âme, de toutes les nuances de ses sentiments en cherchant a se représenter a lui-même tel qu'il se découvre par la pensée, et a se reconnaître dans cette représentation qu' il offre à ses propres yeux. Mais l’homme est également engagé dans des rapports pratiques avec le monde

anglais [civil society], en allemand [bürgerliche Gesellschaft] et dans les principales langues européennes) a subi vers la fin du 18e siècle une transformation profonde qui donne naissance au concept nouveau (il apparaît de manière expresse chez Hegel) d’une « société civile » distincte de et tendanciellement opposée à l’Etat. Cette transformation lexicale est elle-même l’illustration du passage d’une conception « politique » à une conception « sociale » de la société, passage que traduit, sur le

téléologique sur l’Histoire => grande théorie de l’Histoire en philo => Hegel, Marx, Kant Est-ce que ce sont les Hommes qui font l’Histoire ? (=devenir historique) Oui car seul l’Homme a une Histoire, le seul a intervenir sur devenir historique (contrairement aux animaux) Oui, les Hommes font l’Histoire. Tous les Hommes ? A- Pas tout les hommes, juste les « hommes providanciel » (aucune connotation ironique chez Hegel) = grands hommes qui sont les mieux placées pour intervenir sur devenir

illusoire. Dans l'Antiquité, comme chez les stoïciens pour qui passion est synonyme de déraison, les désirs sont considérés comme des passions qui viennent du corps et que le sage doit maîtriser et dépasser s'il veut accéder à la sérénité qui constitue le bonheur et l'épanouissement de l'âme. L'attachement passionnel à quoi que ce soit est condamné. C’est aussi point de vue chrétien: c'est ce que la passion suppose d'excessif dans le comportement qui est condamné. Elle désigne une emprise trop

pas d'applaudir, et l'on éprouverait tout aussi peu de plaisir que lorsqu'on passe devant l'atelier d'un forgeron. De même, en peinture, qui soutiendrait le spectacle du massacre des Innocents, si le tableau lui causait une entière illusion? Quel homme verrait sans horreur Judith tenant la tête sanglante d'Holopherne? Si l'imitation pouvait et devait être portée jusqu'à l'illusion complète, on frémirait au lieu d'éprouver du plaisir. Si l'illusion était la première partie de la peinture, les premiers

comme homme et citoyen- du-monde (Weltburger) ; l'issue le concerne. Ce n'est donc pas seulement son affaire propre qui va se décider dans ce grand procès ; on y prononcera en vertu de lois (Gesetzen) que, parce qu'il est un esprit rationnel (verniinftiger Geist), il est lui-même capable et autorisé de dicterl. Ce texte n'est pas de Hegel, mais de Schiller. Nous le citons cependant ici parce que, en plus de constituer certainement l'une des principales sources de l'idée formulée par Hegel du

sais pas ce que c’est » mais revendiqua tout de même que sa philosophie était une philosophie de l’existence. Dans cette extrait de l’œuvre, l’auteur met en avant sa thèse à savoir l’existence précède l’essence. Il y définit d’abord l’existence d’un homme et non sa nature humaine: son essence, car selon lui il n’y a aucun dieu pour la concevoir, puis sa propre définition de l’homme, à savoir que l’homme est d’abord un projet qui sera ce qu’il aura voulu être. Puis pour finir Sartre affirme sa notion

UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Rapport de lecture HEGEL ET MARX Question 1: Au début de la section intitulée « L'État de droit » de la Raison dans l'histoire, Hegel critique la conception de l'état de nature utilisée par les théoriciens du contrat social. D'une part, pour Hegel, ces théoriciens ont une conception nébuleuse de l'état de nature qui n'est pas historiquement fondé. Ainsi, l'État de nature n'a jamais existé. D'autre part, même dans l'état de sauvagerie, la société avait des

sentiment tout à fait subjectif qui peut être trompeur. L'identité que tout homme se donne est instable car elle change au gré de ses désirs. Il est donc compliqué de prendre conscience de soi lorsque que celle ci repose sur la prise de conscience d'un autre tandis que nous agissons comme autrui nous voit. Est-ce que l'Autre pourrait donc me permettre d'être certaine de ce que nous sommes ? Pour démontrer sa thèse, Hegel utilise un mode de raisonnement déductif. Il déplace son analyse de la conscience