Hegel La Vengeance Se Distingue

Rousseau dans cette citation : « un raisonnement a beau me prouver que je ne suis pas libre, le sentiment intérieur, plus fort que tous ces arguments, les dément sans cesse ». C’est l’Homme lui même qui a instauré cette notion de la liberté (ce qui le distingue sur ce point des animaux). Descartes aussi, érige la conscience comme fondement de toute certitude. Elle est ce qu’il y a de plus certain au monde. Il écrit, dans les Méditations métaphysiques : « je pense, donc je suis » d’où on peut extrapoler

mal par le pardon chrétien se dresse sur ce lieu où furent exterminés tant d’enfants, d’hommes et de femmes, fit scandale. D’où le problème : le crime contre l’humanité est-il un crime qui puisse légitimement se pardonner ou bien faut-il dire avec Hegel que tout est pardonnable sauf le crime contre l’esprit c’est-à-dire contre la faculté de pardonner ? Au fond la question est, ici, de savoir si le pardon peut avoir un sens, comme d’ailleurs la justice, là où des hommes se sont exclus du champ où ces

Alain (Émile Chartier) (1868-1951) (1939) Idées Introduction à la philosophie PLATON – DESCARTES – HEGEL - COMTE Un document produit en version numérique par Gemma Paquet, bénévole, professeure à la retraite du Cégep de Chicoutimi Courriel: mgpaquet@videotron.ca Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

la prédestination. Connaître son destin grâce à l’Oracle de Delphes. Pythie (prêtresse). Les prêtres traduisaient. La maladie : punition des dieux, cause surnaturelle. CHANGEMENT : science de l’histoire, chercher des causes aux guerres (plus une vengeance divine). Historien grecque : Hérodote (484-424 A.J.C.) : Science de la médecine (Hippocrate, île de Cos, 460 A.J.C). Expliquer la maladie et la santé de manière naturelle. Socrate. P. 81 Avant Socrate (470-399 A.J.C.), on parle de présocratiques

sondages et la faiblesse d'un authentique débat public. Dans ce texte, Alain s'interroge sur le rapport que nous entretenons avec l'opinion. Il distingue dans un premier temps deux attitudes, l'une passive et l'autre active, puis s'attache à montrer comment tout individu se laisse contraindre par le poids du plus grand nombre. Vous pourrez ici distinguer les notions d'unanimité et d'universalité, mais surtout mener une analyse sur la question de la foule. Au fond c'est la peur de ne pas penser comme

désir de vengeance. Ces passions semblent inoffensives dans les sociétés libérales et démocratiques, la mentalité collective tendant à être dominée par le scepticisme et le relativisme des valeurs. Néanmoins, l’auteur constate l’interaction entre la résurgence des passions fanatiques, -sous la forme du terrorisme, - et d’autre part la peur et la haine qu’elles provoquent dans les sociétés occidentales, pouvant générer la censure et l’intolérance. Deux formes de fanatisme sont à distinguer : un fanatisme

possibilités d’un langage collectif : elle trahit la singularité de l’individu, dont la vérité est donc ailleurs. 4. Conscience, temps et intentionnalité [pic]  D’autres auteurs ont conçu la conscience en termes plus philosophiques que psychologiques. Hegel affirme ainsi qu’elle est identique au savoir, et Schopenhauer qu’elle "consiste dans la connaissance" - cette dernière pouvant être immédiate ou synthétique (comme l’affirmait déjà Kant : le moi résulte de la synthèse de ses représentations). [pic]  Chez

maux. Leibniz propose de distinguer le mal physique, moral et métaphysique. Le mal physique est d’abord la souffrance, venant du fait que nous sommes des êtres qui sont relatifs aux autres et au monde, qui ne peuvent se suffire à eux-mêmes, des êtres vulnérables. Nous souffrons parce que nous avons un corps : « avoir un corps, c’est être capable d’être à la merci des autres. » Le mal moral est un mal qui survient avec une action, une intention, avec conscience. Hegel dira qu’Œdipe n’est coupable

son statut de victime ou de coupable par une requalification claire de la faute pour qu’il puisse y avoir réintégration de l’un et de l’autre dans la société. Cette « reconnaissance » de chacun donnait lieu, d’autre part, à un développement sur Hegel et l’idée que c’est parce que l’homme est libre d’agir que la société lui doit de le punir quand il enfreint les règles, que c’est le seul moyen de reconnaître sa liberté et sa dignité et donc, dans un Etat où la peine de mort n’existe plus,

commandement et d’obéissance. L’instance qui commande, ici le devoir, doit être dans une position « transcendante » par rapport à celui qui obéit ; elle doit s’imposer à lui et en aucun cas se confondre avec lui. Ce n’est qu’ainsi que le devoir peut se distinguer des simples tendances et désirs pour jouer le rôle de norme de l’action. Il faut préciser que la « transcendance » du devoir ne signifie pas pour autant séparation puisque cette relation peut se jouer au sein d’un seul et même individu divisé en