Hegel Vengeance

pour sa beauté 3) Ce récit est particulièrement horrible et tragike parce ke ,Clytemneste se fait tuer par son fils ki ressent seulement de la haine a son egard mais dans le fons il a de la pitier mais pour lui c'est une justice , une vengeance pour son père et de lui faire payer tout. Et ce ki est encore plus horrible dans cette histoire c'est k'elle a beau hurlée de douleurs , Oreste n'arrêta pas jusk'a ce k'elle tombe a terre. Il ne ressent aucun remord d'avoir tuer sa mère. Puis il

agressive, il a bien fallu que les sociétés premières aient un minimum d'organisation, « un contrat social », une entente minimal pour éviter leur disparition. Très vite dans un groupe, il y a des litiges, des tensions, or qui dit violence dit envie de vengeance. Ceux qui n'ont pas su canaliser cette violence vont disparaître. Cela implique un cycle sans fin de violence : le triomphe de la loi du plus fort. N. Roulant auteur d' « une anthropologie juridique » et Verdier font passer comme message : « s'il

est annulé. Tout au long du récit, on assiste à la croissance du désespoir d’Antoinette qui a des pensées suicidaires. Par exemple : page 94 : « Je me tuerai, et, avant de mourir, je dirai que c’est de sa faute, voilà tout. C’est le récit d’une vengeance, Antoinette jette les envellopes dans le fleuve, ce qui rend le bal vide, sa mère est triste, elle se sent mal, et cela rend Antoinette un peu plus heureuse. L’auteur nous fait attendre, et introduit dans le livre un léger suspense, qui n’est pas

qui tabassent leurs femmes je pense qu’il faut les enfermer au mettre titre que les violeurs et les meurtriers. JEREM : Mais non après ils auront la haine et qui sait ce qui peut se passer après leurs sortis de prison ils peuvent penser à la vengeance tu ne crois pas ?il faudrait peut être faire des campagnes de prévention. CARO : Non mais tu rigoles tu me fais trop rire ou tu vois que ce genre de chose marche. JEREM : Si tu diffuses des spots à la télé en mettant en scène des situations semblables

marquée par 3 grandes idées. D’abord les idées de vengeance, d’expiation et d’intimidation. Malgré tout il va se produire une évolution très importante. Cette évolution va être le passage d’une justice privée à une justice publique. La justice privée correspond à une époque ou les personnes privées vont jouer un rôle important dans la répression pénale. Peu à peu l’Etat va s’approprier cette répression pénale. I) La justice privée A. La vengeance privée On peut dire que c’est la 1ère forme

culture. En effet, il démontre grâce à son texte, que la vengeance à une limite et que sans elle, l’homme tuerait indéfiniment. Dans une première partie, il explique que notre culture ne nous permet pas de tuer quelqu’un, elle ne le cautionne pas. Ici on peut interpréter le mot «  commandement  »   par le mot loi. Puis dans une deuxième partie Freud explique pourquoi la vengeance serait infini, perpétuel. On a l’impression que ce système de vengeance ne comporte aucune solution autre que l’intelligence

disposer ». Dans « Une vendetta », l’auteur reproduit cette illusion qu’il a de la Corse à travers le mythe de la vengeance corse, mythe entretenu au cours des siècles. Sénèque écrivit d’ailleurs, entre 41 et 48 après Jésus-Christ, à propos de la Corse : « Se venger est la première loi des Corses. » Le père Alphonse Duval, administrateur à Ajaccio entre 1942 et 1945, analyse la vengeance corse, qu’il attribue à la nature vive et irritable des Corses, à l’administration de la justice défectueuse qui

Tu fus encore ». Auguste est la victime, l’offensé. Auguste n’apparaît pas dans son récit, il est la victime, « l’offensé » : « Mon père et les miens ». A cela, Auguste n’oppose que son amour. Son amour est sa vengeance l. 446-447-448 « Je ne me suis vengé qu’en te donnant la vie » Négation restrictive qui insiste. Les qualités de son amour Généreux : Il va au delà de la Justice : « Te restituer ton patrimoine », « je t’enrichis », «

pas" (scène 3). Don Diègue est hors de lui, il doit se venger (scène 4). Il demande à son fils Rodrigue de le venger en combattant le père de Chimène (scène 5). Le dilemme cornélien apparaît avec la conclusion suivante de Rodrigue : "Courons à la vengeance" (scène 6). ACTE IILe comte ne regrette pas son geste et ne craint pas la colère du roi (scène 1). Rodrigue retrouve l'offenseur de son père et réussit à le convaincre de se battre avec lui (scène 2). Chimène, en visite chez l'Infante, craint

11-L'acte maléfique peut être motivé par une bonne cause; 12-Dans le passé, les exécutions publiques des criminels se faisaient les jours de marché ou de fête et constituaient un avertissement au people de manière à le détourner du crime; 13-La vengeance apaise les victimes; 14-On peut prétexter des fins nobles pour dédouaner le mal. 15-La force est souvent la seule réponse à la violence et à la terreur; 16-Macduff à Macbeth:"Alors, rends-toi/ Et vis, couard, pour être un objet à montrer/