Hélène Cixous

attendant Godot, ou Ionesco, Le Roi se meurt ou Koltès, Dans la solitude des champs de coton ou Roberto Zucco, ou Lagarce, Juste la fin du monde. Groupement de textes extraits du manuel : – Genet, Les Bonnes, p. 152 – Beckett, Fin de partie, p. 128 – Cixous, Tambours sur la digue, p. 121 – Koltès, Roberto Zucco, p. 130 • Objet d’étude : langage des corps, langage des objets Œuvre intégrale : Ionesco, Rhinocéros ou Reza, Art. Groupement de textes extraits du manuel : – Shakespeare : Hamlet, p. 53 – Corneille

c’est alors qu’elle va l’y encourager afin de soutirer au chinois sa fortune. Par ailleurs, Hélène Lagonelle qui a le même âge que « la fille du fleuve » garde encore sa virginité mais elle ne subit pas le test de virginité. Il faut dire que ses parents s’inquiètent de ce qu’elle ne la perde avant le mariage voilà pourquoi ils cherchent à tout prix à la marier : « Elle ne sait pas qu’elle est très belle, Hélène L. Ses parents ne savent pas quoi en faire, Ils cherchent à la marier au plus vite »50. Elle

terrorist bombings in New York City and Washington, D.C. indicate that escape is no longer an option. 11Chapter One: Creolizing Feminism In the poem which begins her influential 1975 lyrical essay, “Sorties: Out and Out: Attacks / Ways Out / Forays,” Hèléne Cixous highlights a patriarchy’s need to position women within a coupled hierarchy, where superiority is achieved and maintained through constructed difference: Where is she? Activity / Passivity Sun / Moon Culture / Nature Day / Night Father / Mother

Portée théorique du Débat de folie et d’amour de Louise Labé » in Saggi e ricerche di letteratura francese XVI, 1977. Daniel MARTIN, « Les Elégies de Louise Labé - le faix d’amour et le faix de l’écriture » in Etudes Littéraires 27, 2, automne 1994. Hélène MOREAU, « Errant par les chants de Pétrarque : les sonnets de Louise Labé »  &        = : &  +! in Il Rinascimento a Lione, Pubblicazioni delle Facolta di Lettere e Filisofia, volume secondo, Edizioni dell’Ateneo

audacieux. Le rôle capital que joue le mouvement CoBrA tient autant aux personnes qu'aux idées défendues : spontanéité sans frein dans l'art, d'où rejet de l'abstraction pure et du « réalisme socialiste », refus de la spécialisation. Alechinsky et Hélène Cixous : « En-mouvement des êtres, des figures, des suites dans les prédelles, en-mouvement d’Alechinsky dans sa pra que picturale – sa découverte de l’usage de l’acrylique, l’estam- page. En-mouvement du Nord au Sud, d’un atelier à l’autre, d’une lumière

Sienne, frère F.S.G., «L’évolution du sentiment de la nature dans la littérature française (des origines au Parnasse inclusivement)», mémoire de maîtrise, 1941, 114 p. Dir. : Arthur Sideleau. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1941 v.007. Berréhar, Marie-Hélène, «Le peuple dans l’œuvre de François-Xavier Garneau et de Jules Michelet», mémoire de maîtrise, 1992, 86 p. Dir. : Gilles Marcotte. Cote : UdeM D. Thèses PQ 35 U54 1993 v.008; UdeM L.S.H. PQ 35 U54 1993 v.008; Microfilm; CÉTUQ. Berthaux, Christian

d’être, de leur choix, ce qui leur plaît. » Corinne Chaponnière (sociologue genevoise), revue Femmes suisses, 1982. 3) « Il faudrait que la femme dise d’abord, qu’elle commence à dire et qu’elle ne se laisse pas dire qu’elle n’a rien à dire ! » Hélène Cixous, écrivaine française. 4) « Et les femmes ? Côté lamentations, on sait et on répète : dans un monde patriarcal, elles sont, plus que quiconque, sans identité. Pas de lieu en ce lieu. » Brigitte Pelzer, Cahiers du Grif, 1975. 5) « Je pense que ni

que certaines femmes ont des difficultés dans leur relations familiales et leur intégration sociale. Or, on peut sentir un soupçon de volonté de la part de la femme pour sortir de sa condition. Mais au fait que veut la femme? A cette question Hélène Cixous répond: “Pour moi, la question qu‟en effet la femme se pose, parce que justement il y a si peu de place pour son désir dans la société qu‟elle finit à force de ne plus savoir qu‟en faire, à ne plus savoir ou le mettre, où si elle en a un recouvre

famille et ne revint plus jamais auprès d’elle». Ayant été un enfant malheureux, il aurait décrit les peurs de l’enfance. On peut encore signaler les écrits de : - J.-P. Bauer, “Le marchand de sable”, dans “Études freudiennes”, no 3-4 (1970) ; - Hélène Cixous, “La fiction et ses fantômes”, dans “Poétique”, no 10 (1972) ; - Sarah Kofman, “Le double e(s)t le diable”, dans “Quatre romans analytiques” (1973). Ces auteurs ont montré, par exemple, que la relation de Nathanaël avec le père est ambiguë ;

d’Hoffmann, Der unheimliche Gast a été intitulé en français soit Le spectre fiancé soit Ce sinistre visiteur. Chaque langue est une certaine manière, caractéristique d’une culture, de « découper » le réel. Faut-il, pour autant, soupçonner, comme Hélène Cixous, dans le titre français, une « façon de défense », voire de refoulement d’un « type d’effroi » trop menaçant, et l’associer à « la pensée française », éprise, depuis au moins Descartes, d’une conscience transparente à elle-même, et alors, toujours