Hémoglobine

phénylcétonurie III) Le phénotype drépanocytose - phénotype macroscopique : infarctus de différents organes, fatigue, pâleur… - phénotype cellulaire : Hématie drépanocytaire falciforme. - phénotype moléculaire : hémoglobine modifié → transformée en fibres en cas d’hypoxie hémoglobine adulte = 2 chaînes α et 2 chaînes β ↓ ↓ 141 AA 146 AA HbA = 2α + 2β 6èm acide animé de βA de HbA = GLU 6èm acide animé de βA de HbS = VAL Allèle : séquence de nucléotides porté

« ça ne vaut plus le coût de continuer ainsi indéfiniment ». J’essaye de le remotiver mais moi-même je m’interroge alors sur l’efficacité de ces transfusions. En effet lorsqu’un contrôle de l’hémoglobine est fait après celles-ci, il ne révèle une hémoglobine qu’à 7,9 g/ 100 ml. Je questionne donc une infirmière et le médecin qui me dit qu’il n’y a que les transfusions qui « permettent de le maintenir ». Dans le cas présent, il n’est pas question de remettre en cause le bien-fondé de ces transfusions

gènes obtenus coderont pour des protéines différents mais avec les mêmes fonction Si le nombre de mutations accumulé est important, les gènes coderont pour des protéines différentes mais avec des fonctions également différentes. Par exemple, les hémoglobines et la mioglobines sont deux protéines issues du même gène ancestral, la séparation se serait faite plus tôt, actuellement elles n'ont plus la même fonction. Les familles multigeniques proviendraient donc d'un gène ancestral commun qui aurait

ou polyurie : personne qui urine souvent. Amaigrissement (10 kg en l'espace d'un mois). La polyphagie : besoin de manger tout le temps. Hyperglycémie : glycémie constamment > 2g/L. Glycosurie : présence de sucre et d'acétone dans le sang. Hémoglobine glycolysée à 10%.     Le diabète insulino-dépendant peut se révéler lors d'un coma acido-cétosique. Aspects cliniques du diabète de type 2 (non insulino-dépendant) Le diabète non insulino-dépendant peut être totalement asymptomatique. Le diabète

HTA et rétention hydrosodée précoce ; – Syndrome tubulo-interstitiel : protéinurie tubulaire, parfois leucocyturie, HTA et rétention hydrosodée tardive, acidose métabolique hyperchlorémique ; – Protéinurie anormale : chaîne légère, myoglobine, hémoglobine. • Des lésions glomérulaire, interstitielle ou vasculaire peuvent coexister :  – car la maladie atteint rapidement plusieurs segments des néphrons (par exemple, hyalinose par réduction néphronique) ; – ou au stade terminal de toutes néphropathies

transaminases, thrombopénie Surveillance bio: Pas de surveillance ttt préventif Curatif : heparinemie 0,2-0,4UI/ml, Anti Xa : 0,5-1UI/ml, dosage plaquette : 150000 – 400000/mm3 (thrombopénie (hémorragie)/ Thrombocytose (thrombose) NFS : hémoglobine : 12-16 (f)/14-18 (h) : recherche anémie ; hématocrite :(40-52(h)/37-46 (f) recherche hémodilution Dépistage saignement, hématome, Complication locale point de l’injection Traitement héparine non fractionnée (HNF) Anticoagulant d’action immédiate

phosphates (schéma, rôles) http://fr.wikipedia.org/wiki/Voie_des_pentoses_phosphates -4) insuline http://fr.wikipedia.org/wiki/Insuline + p26-27 -5) effet PH sur les enzymes http://www.chups.jussieu.fr/polys/biochimie/EEbioch/POLY.Chp.8.html -6) Hémoglobine http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9moglobine + p32 - 7) agglutination avec drépanocytose, quel test (électrofocalisation native) p35 - 8) hélice alpha http://fr.wikipedia.org/wiki/H%C3%A9lice_alpha + p16 - 9) collagène p27-28-29 - 10) donnez

Antécédents 4 380 000 /mm3 13,1 g/dL 90 µm3 39,4 % 29,9 pg 32,3 g/dL 13,4 11 970 /mm3 64,9 % 7 769 /mm3 3,4 % 407 /mm3 0,5 % 60 /mm3 24,5 % 2 933 /mm3 6,7 % 802 /mm3 285 000 /mm3 9,5 µm3 16,0 (4 000 000 - 5 000 000) Impédancemétrie (12 - 16) Hémoglobine Volume Globulaire Moyen Hématocrite T.C.M.H. C.C.M.H. Index de Distribution des Hématies LEUCOCYTES Cytochimie-Cytométrie de flux (80 - 95) (30 - 45) (27 - 34) (32 - 36) (10 - 16) (4 000 - 10 000) Polynucléaires neutrophiles Soit Polynucléaires

L'oxygène est un élément indispensable à l'organisme, il intervient dans le métabolisme et catabolisme cellulaire et permet la production d'énergie sous forme d'ATP. | Ici ce sont les normes normal, je n'ai pas vu les normes de la patiente : Hémoglobine chez notre patiente : 9,6 g /100ml donc pas assez hématocrite : 32 % PaO2                         90 – 100 mg / mHg PaCO2                      35 – 45 mg / mHg Saturation en O2        95 – 100 % | Surveillance des paramètres vitaux

coderont pour des protéines différents mais avec les mêmes fonction * Si le nombre de mutations accumulé est important, les gènes coderont pour des protéines différentes mais avec des fonctions également différentes. Par exemple, les hémoglobines et la mioglobines sont deux protéines issues du même gène ancestral, la séparation se serait faite plus tôt, actuellement elles n'ont plus la même fonction. Les familles multigeniques proviendraient donc d'un gène ancestral commun qui aurait