Henri Bergson Lart

C'est à dire en ayant ses raisons pour être plus libre. Mais justement, les raisons que l'on peut avoir d'agir et qui augmentent la liberté sont-elles toujours raisonnable. C'est ce que dit Bergson : n'est-on pas d'autant plus libre qu'on agit poussé par des raisons, contraires aux raisons. C'est là ce que Bergson, dans l'évolution créatrice. En effet, comme le dit Pascal : « le coeur a ses raisons que la raison ne connaît pas. ». III quel est l'acte le plus libre ? Il arrive, en effet que l'acte

I - QUELLE ANALYSE POUR CE SUJET ? Ce texte de Bergson vise à formuler un jugement nuancé sur le machinisme. Son thème porte sur les avantages et désavantages comparés de la machine et de l'outil, du point de vue de l'épanouissement humain. Le problème posé dans le texte est le suivant : n'y a-t-il pas, contrairement aux idées reçues, une supériorité, de ce point de vue, de la machine sur l'outil ? La thèse de Bergson est que cette supériorité est bien réelle, parce que le machinisme

ni fixe, puisque ma conscience est sans cesse ouverte sur les autres et qu'elle intègre de nouvelles expériences. L'exemple des sentiments le montre bien : l'amour à l'égard d'une personne évolue et connaît d'incessantes variations (cf. analyse de Bergson). Conclusion Je peux être différent du portrait que me renvoie mon propre jugement, surtout si je crois posséder une identité fixe et définitive à tout point de vue, alors qu'il n'en est rien. 5. Les bons outils a) Les auteurs et les œuvres

Le philosophe français Henri Bergson a affirmé dans son essai sur la signification du comique paru en 1899 que le rire est fait pour humilier, Peut-on partagez son point de vue ? Ou au contraire le remettre en cause ? Nous mettrons tout d’abord en avant les arguments qui peuvent justifier la théorie de Bergson puis nous ajouterons par la suite dans quelles autres mesures le rire peut il être utilisé ou provoqué. Dans son essai, Henri Bergson considère le rire comme une punition de la société envers

Depuis toujours l'animal intrigue l'Homme, car c'est un être vivant qui d'après Descartes est démunie des toutes consciences. Or dans ce texte Bergson admet l'existence d'une conscience animale. Mais alors, en quoi consisterai celle-ci ? Cette conscience animale a-t-elle les mêmes fonctions que celle propre à l'humain ? Dès la première ligne du texte le philosophe admet que l'animal peut avoir une conscience cependant radicalement différente de celle de l'Homme. Il s'explique ensuite en disant

Les deux versants de la conscience Le terme « conscience » est d’un usage courant : prendre conscience d’une situation, réagir en toute conscience, perdre conscience, avoir bonne ou mauvaise conscience, etc. Ces expressions révèlent la polysémie du mot, où convergent deux acceptions : l’une est morale (affi rmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. Origine des valeurs morales ? La conscience morale implique la présence

est sûr, absolument sûr, d'avoir produit une oeuvre viable et durable, celui-là n'a plus que faire de l'éloge et se sent au-dessus de la gloire, parce qu'il est créateur, parce qu'il le sait, et parce que la joie qu'il éprouve est une joie divine. BERGSON L'Energie spirituelle, 1e Partie ("la conscience & la vie") éd. Alcan, p. 24-25

la salle – les heures passent, naturelles, rapides, exquises… » « Le Vaudeville, comme le reste, est une chose intéressante. La preuve, c’est qu’il n’y a pas beaucoup de vaudevillistes. Feydeau est le maître. » Tristan Bernard (1866-1947) Henri Bergson (1859-1941) évoque le théâtre de Feydeau en écrivant « qu’il est, lui aussi, une mousse à base de sel. Comme la mousse, il pétille. C’est de la gaîté. Le philosophe qui en ramasse pour en goûter y trouvera d’ailleurs quelquefois, pour une petite

consciences. Le présent du présent passe par l’intuit°. Pour conclure sur ce texte, il faut dire qu’à chaque fois que l’on veut définir le tps, on parle de nous, des facultés de notre conscience. II] Temps vécu et temps scientifique. Texte de Bergson. | Durée= tps vécu par la conscience. Le tps des mathématiciens est représenté par une ligne donc transformé en espace. Une ligne faite d’une succéss° de tps. C’est une rpz° qui ne va pas car c’est une rpz° immobile de ce qui par essence est censé

de continuer à faire vivre ce qui n'est plus. L'homme a une emprise sur son passé grâce à la capacité de ne pas oublier, matérialisée par ex, des rites: flamme, mémorial de la Shoah... (Mémoire: intégrale, diff. de souvenir: immédiat, présent) Bergson dit que dans cette mémoire, la conscience puise ce qui lui est utile pour agir à un instant T. Nietzsche dit: "Il faut oublier pour vivre". L'oubli est une défense du moi (contre) le passé: lieu du remors et de la culpabilité. -L'Histoire est la