Henri VII

poursuit sous celui de Grégoire VII. Grégoire VII, pape entre 1073-1085, est l’un des souverains pontifes les plus importants de l’histoire. Il succède à Alexandre II en 1073. Il entame dès lors une réforme essentielle nommée réforme grégorienne. La priorité est donnée au rétablissement d’une vie digne dans le Clergé. Il prend ainsi des mesures contre le nicolaïsme et la simonie. Les oppositions à l’institution, les croyances jugées hérétiques, sont réprimées. Grégoire VII interdit également l’investiture

officiel, droit canonique) Auteur : Probablement le Pape Grégoire VII, ou tout du moins initié par lui Grégoire VII (1073-1085) principal acteur de la réforme grégorienne lutte contre le nicolaïsme : célibat ecclésiastique lutte contre la simonie : achat et vente de biens spirituels en particulierles charges ecclésiastiques et le sacrement-> conflit avec Philippe 1er lutte contre l'investiture -> conflit avec Henri IV Destinataire : les personnes cultivées, noblesse + clergé, mais

fut sans doute la réfutation qu’il a écrit sur le « honteux traité de Troyes ». Ce traité passé entre Charles VI et le roi d’Angleterre Henri V, fut démantelé par un certains nombres de juristes et de légistes. Ainsi Jean Juvénal des Ursins a écrit lui aussi une thèse pour démontrer que le royaume de France devait revenir au fils du roi, c'est-à-dire a Charles VII. Ce texte s’inscrit donc dans un contexte très particulier qui est celui de la guerre de Cent Ans. Il est donc argumentatif, se basant

successeur était purement et simplement désigné par l’Eglise, et prêtait foi et hommage au seigneur. On en arrive à un stade où les ecclésiastiques paraissent détenir leurs prérogatives du Roi, du seigneur. La restauration grégorienne Grégoire VII a été l’artisan de la réforme de l’Eglise. Ce courant a été facilité par la réforme du clergé régulier, due à l’abbaye de Cluny. L’étude de la réforme grégorienne Entre 1049 et 1059, la papauté va d’abord s’employer à affirmer la primauté du

ordre cisterciens de Robert de Molesme en 1098 et qui se finit aux alentours de 1198 date d’élection du pape Innocent III- marque l’avènement d’une reprise de l’Eglise. Le terme de réforme apparait concrètement dès le XIème siècle avec le Pape Grégoire VII. Le Moyen Age central est qualifié de très chrétien et la religion chrétienne prédomine en Europe. Mais cette période est caractérisée par un amoindrissement des pouvoirs des souverains en raison de l’émiettement des pouvoirs que provoque la féodalité

Grégoire VII (1073-1086), qui donne son nom à la réforme, des réformes sont tentées pour « moraliser » le clergé et libérer l'Eglise de la tutelle des laïcs. Victor II (1055-1057) nomme plusieurs archevêques pour régler la question des abus. L'excommunication, les traités polémiques, les conciles locaux, la déposition sont autant de moyens pour lutter contre la dépravation des moeurs. Grégoire VII (1073-1085) Les partisans de la réforme déjà entamée élisent Hildebrand, devenu Grégoire VII (1073)

à la misère par la suppression de ses émoluments. Tout porte à croire qu'elle meurt dans le plus grand dénuement. Certains romanciers verront aussi en Jeanne d'Arc, une fille cachée d'Odette, du même coup demi-sœur de Charles VII de France.  Charles VII 7 Charles VII de France, dit Charles le Victorieux ou encore Charles le Bien Servi fut roi de France de 1422 à 1461.. Son nom reste principalement attaché à l'épopée de Jeanne d'Arc, qui lui permit de renverser une situation compromise et

et oblige les Français à renoncer définitivement au Milanais. Une fois libéré, François 1er dénonce ce traité entraînant une nouvelle guerre avec Charles Quint. Effrayés par la puissance de Charles Quint, Henry VIII, Venise, Milan et le Pape Clément VII s'allient à François 1er. 1527 : Pour se venger de l'alliance du Pape avec François 1er, Charles Quint envoie son armée dirigée par le duc de Bourbon détruire Rome. Le duc de Bourbon est tué lors de l'assaut mais la ville est entièrement saccagée

Guillaume Budé. Il y reste une quinzaine d'années avant que, ses études humanistes soient mal vues des hautes autorités de son ordre et il se doit de demander à quitter les franciscains pour rejoindre le monastère bénédictin de Maillezais au pape Clément VII en 1525. La suite immédiate de sa vie est quelque peu obscure. On sait qu'il devient prêtre séculier, puis on le retrouve en 1530 obtenant son baccalauréat en médecine à l'université de Montpellier.  En 1532, il s'installe à Lyon pour pratiquer la

l’action » mais se protège d’avance de l’envahissement de l’Eglise ; il intervient au Concile de Francfort. Par la Constitution de 824, Lothaire crée la ratification impériale quant à l’élection du Pape ce qui sera restauré par Otton Ier en 963. Avec Henri III, le choix du Pape est soumis à l’Empereur. Ainsi, l’autorité de l’Eglise, qui est, selon J Picq le point de départ du prototype d’Etat crée par l’Eglise, n’a pas fait consensus puisque les empereurs se sont battus pour garder leur autonomie. Dans