Hesbeen Soignant

SOIN À L’ÉPUISEMENT PROFESSIONNEL PROMOTION 2006 - 2009 REMERCIEMENTS Tout au long de mes années de formation, j’ai côtoyé de nombreux professionnels qui m’ont transmis une partie de leur savoir, qui m’ont aidé à réfléchir sur ma pratique soignante, et qui ont veillé au bon déroulement de ma formation. Je tiens à les en remercier. Merci aux cadres de service ainsi qu’aux professionnels de santé qui m’ont accordé du temps et qui m’ont permis de réaliser mes entretiens. Ma reconnaissance va

RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES |Titre |Le travail émotionnel des soignants à l'hôpital. : Le corps au cœur de l'interaction soignant-soigné | |Auteur(s) |MERCADIER Catherine | |Note sur l’auteur |Catherine MERCADIER a obtenu son diplôme d’Etat en soins infirmiers en 1979. Elle a travaillé dans divers | | |secteurs, de la réanimation chirurgie

Validation de l’U.E. 6.1 semestre 1 Nom, Prénom Promotion Nom, Prénom de l’auteur : HESBEEN Walter Titre de l’ouvrage : PENSER LE SOIN EN READAPTATION Edition : Paris, Seli Arslan, 2012 Nombre de pages : 160 Mots clés : avenir , normalité,spécialisation, autonomie, dépendance, agir. Walter Hesbeen, infirmier et docteur en santé publique, est Lauréat de la fondation Van Goethem-Brichant pour la réadaptation. Auteur de plusieurs livre, il

prédilection : - les plaies - l’hygiène et l’asepsie - la relation soignant soigné Ces trois concepts sont ici associés au milieu libéral, dont le stage me suscita la vocation d’appréhender ce type de soins à l’avenir. Je tiens d’emblée à préciser que ce mémoire ne vise pas à évaluer les soins de celles et ceux dont le travail m’a, au contraire, inspiré dévouement et compétences. Il vise à me positionner comme soignant vis à vis de situations qui m’interrogent. Et, si je suis convaincu que

Ce à quoi, Walter Hesbeen répond que ni l’art ni la science ne devrait être mit en opposition mais plutôt en complémentarité. Il dit alors que vouloir que l’art infirmier ne soit que de la science est aussi inexact que de qualifier l’infirmier d’artisan. Le philosophe Jean-François Malherbe intervient ensuite sur la qualification de scientifique. Il dit que le scientifique se base sur fait et donc ‘’ au corps que les personnes ont’’. Et que, à l’inverse, le thérapeute ou soignant se base sur des

Fiche de lecture L'auteur est Walter Hesbeen, c'est un infirmier et docteur en santé publique de l'université catholique de Louvain. Il a été directeur des services hospitaliers du centre neurologique William Lennox en Belgique puis professeur à l'école national de santé publique à Rennes et responsable de l'unité de recherche et de développement l'école La source en Suisse. Actuellement il est responsable du GEFERS (Groupe francophone d'Etudes et de Formations en Ethique de la Relation de

son sens en définissant deux notions principales qui sont faire des soins et le prendre soin. Il associe la dimension humaine du soignant et du soigné pour un meilleur apport de qualité dans le soin. A travers son ouvrage, la nécessité d'améliorer les services hospitaliers paraît flagrante. De part les témoignages et la réalité du vécut quotidien à l'hôpital, Mr Hesbeen propose une réflexion approfondie nécessaire à l'évolution de l'organisation des hôpitaux. Dans sa notion du soin, on y voit

FICHE DE LECTURE n° 1 Titre de l’article : Dialogue et soins Nom et Prénom de l’auteur : Walter HESBEEN Support : SOINS n° 727 Parution : juillet / août 2008 Pages 23 à 26 RESUME Le dialogue n’est pas semblable au discours. Celui-ci fait parti intégrante du soin et marque l’intérêt que l’on peut avoir envers la personne grâce à un échange verbal ou non. Pour nous, le dialogue se base sur deux convictions : chaque humain est un être singulier et il en est de même pour sa santé

à l’égard d’autrui et les soins qu’on lui donne et permet d’appréhender une dimension de la vie humaine, mais il manque encore cruellement de reconnaissance et reste quelque peu invisible. Afin de prodiguer des soins de manière holistique, le soignant devra pourtant non seulement faire preuve de technicité à l’égard du patient, mais également intégrer le « care » et adopter une attitude empathique vis-à-vis de la personne rencontrée. Nous aborderons dans un premier temps l’évolution du concept

Tout au long de son séjour, j’ai pu participer à la prise en soin de Mme D de manière active et ai pu remarquer des différences de comportements et de ressentis de sa part, selon l’infirmière en poste. En effet, lorsqu’elle se sent entourée de soignants « enjoués et à l’écoute », Mme D fait preuve de volontariat dans ses actes de la vie quotidienne et durant son travail en kinésithérapie. Elle arrive à dépasser ses limites motrices, ne manifeste que très peu de douleurs et exprime l’envie de se