Hésitation

à un événement en apparence surnaturel. »(Introduction à la littérature fantastique, Paris, Le Seuil, Poétique, 1970, p. 29) « Le fantastique est fondé essentiellement sur une hésitation du lecteur - un lecteur qui s'identifie au personnage principal - quant à la nature d'un événement étrange. Cette hésitation peut se résoudre soit pour ce qu'on admet que l'événement appartient à la réalité; soit pour ce qu'on décide qu'il est le fruit de l'imagination ou le résultat d'une illusion; autrement

biographie et une autobiographie. En effet, dans la première partie, il évoque, dans un portrait enquête, sa mère Hortense Juliet, qu’il n’a jamais connue. Celle dont pourtant il raconte la douloureuse histoire, celle dont il retrace ses pensées, ses hésitations et ses doutes, à partir de témoignages de personnes qui l’ont connue. Le dialogue avec une morte permet à l’auteur de ressusciter celle qui lui a donné la vie. C’est un moyen pour lui de faire connaissance avec elle. C’est d’ailleurs ce qui fait

un moment d'hésitation entre une explication rationnelle et une explication surnaturelle. Le mot explication est donc essentiel dans l'analyse au fait qu'il différencie le rationnelle au surnaturel. Les relations entres ces trois mots (doute, hésitation, incertitude) sont les difficultés que peut avoir un écrivain qui souhaite écrire du fantastique en effet comme le plus souvent les récits fantastiques sont écrit à le première personne; le narrateur est témoin de faits inexplicables, est ainsi

problématique, il est en effet essentiel de savoir si ce que l’on utilise est nocif ou non. Pendant toute la durée de notre TPE, j’ai pris le temps de rédiger le « Carnet de Bord ». III) Vos hésitations Notre principale hésitation fût la recherche du sujet et de la problématique. Nous avons également eu quelques hésitations lors du TPE, en particulier une fois la phase de collecte d’information terminé. À ce stade-là nous avons dû faire du « tri » dans nos informations, issues principalement d’Internet

un monologue délibératif. Je vais m’intéressé à cette délibération, à la façon dont Hermione prend sa décision. Je me pencherai d’abord sur la manière dont Hermione justifie son acte, et par là, se conforte dans ses idées, puis aux marques de son hésitation. Enfin, j’étudierai en détail la prise de décision de la jeune femme. I. La Justification des actes d’Hermione. - Vers 7,8 et 10 => Questions rhétoriques, réponses évidentes ⇒ Pour la décision passée d’Hermione -

qui accorde au juge le pouvoir d'annuler les clauses abusives. Cependant, ce pouvoir accordé au juge ne fait pas l'unanimité puisqu'il suscite des débats doctrinaux et de nombreuses hésitations surtout autour de l'absence de décret sur la loi du 10 janvier 1978. B- Apparition de débats doctrinaux et des hésitations: l'absence de décret Après la publication de la première loi Scrivener du 10 janvier 1978, la question s'est posée rapidement de savoir si le juge avait le pouvoir d'annuler une clause

face à un monologue délibératif. Nous allons nous intéressé à cette délibération, à la façon dont Hermione prend sa décision. Nous verrons la manière dont Hermione justifie son acte, et par là, se conforte dans ses idées, puis aux marques de son hésitation. I. La Justification des actes d’Hermione. Nous pouvons constater au Vers 7; 8 et 10 les questions rhétoriques, réponses évidentes Hermione emploi un Vocabulaire Sentimental au vers 8 et 9« gémissement », « soupirs »

l’autre. Or c’est aussi pour la même raison que je suppose qu’il n’a point conscience. Remarquez que ce qui se fait par l’homme sans hésitation, sans doute de soi, sans blâme de soi, est aussi sans conscience. Conscience suppose arrêt, scrupule, division ou conflit entre soi et soi. Il arrive que, dans les terreurs paniques, l’homme est emporté comme une chose. Sans hésitation, sans délibération, sans égard d’aucune sorte. Il ne sait plus alors ce qu’il fait. Mais observez les actions habituelles tant

lex. de la parole "dire", "évoquer","parler"... → parole élément essentiel de la scène. H.1. nbx phrases impératives «Dis-moi», «Essaie quand même...» + «je t'adjure» Nombreux "..." → H.1: incompréhension → H.2: hésitation et difficulté à dire Pour un oui pour un non Nathalie Sarraute Présentation de l'auteur 1900 → 1999 Présentation de l'œuvre Publication en 1982 2 personnages & amis se retrouvent →l'un interroge l'autre sur une distance qui s'est installée

doutes et les hésitations de Tchen, entraîné par l’alternance de rythme lent puis rapide. La phrase nominale « Pris ou non, exécuté ou non, peu importait » représente d’ailleurs une forte accélération de rythme. Le doute de Tchen est flagrant : « ces mains hésitantes », « le rasoir était plus sûr, mais Tchen sentait qu’il ne pourrait jamais s’en servir ». Enfin, l’utilisation du conditionnel indique que rien n’est joué : « Frapperait-il ? » « Tenterait-il ? ». Toutes ces hésitations mettent en valeur