Hezbollah

avant d’envoyer des militaires dans le cadre de la mission élargie de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (FINUL), du fait des hostilités qui se sont déroulées entre Israël et le Liban en juillet-août 2006 à la suite de l’attaque du Hezbollah en Israël du 12 juillet 2006108. La France voulait des précisions quant au mandat donné aux Casques bleus sur la base de la résolution 1701, mandat particulièrement large intégrant implicitement différentes approches de la légitime défense109. Ce

worldwide spread of Wahabbi fundamentalism, the build-up of Hezbollah, and the coming of age of al Qaeda. Note too that al Qaeda terrorists in the 1990s relied upon help from state sponsors such as Sudan, Afghanistan, and Pakistan – nations that aren’t exactly known for their oil wealth or robust economies. Producer states do use oil revenues to fund ideological extremism, and Saudi financing of madrassas and Iranian financing of Hezbollah are good examples. But given the importance of those undertakings

le statu quo, mais par la suite, on peut dire que la paix entre Israël et l’Egypte sera une conséquence de cette guerre de 1967 (paradoxal). 1982 et 2006 : Guerres du Liban. D’un côté, Israël, de l’autre les Palestiniens du Liban (1982) et le Hezbollah (2006). Occupation du sud Liban par Israël (1982-2000), échec de l’offensive de 2006. Conséquence : affaiblissement du Liban. Pas de grand conflit étatique depuis 1973. Les processus de paix Il y a 2 processus de paix qui ont aboutit : avec

Première Urgence s’est fait interpeller, au passage de leur véhicule, aux cris de « Vive Chirac ». L’action diplomatique menée par le chef de l’État aux côtés des Américains, pour tenter de trouver une issue aux combats qui opposaient Israël aux hezbollahs, avait été très appréciée par les populations du sud-Liban. Pour les ONG, en Irak, le dilemme est clair : y aller au risque de paraître accompagner le dispositif de guerre anglo-américain, ou s’abstenir d’intervenir au risque de refuser d’apporter

communautés : Kurdes, Tigres tamouls au Sri Lanka… Dans un 2e temps, on assiste à un terrorisme transnat d’origine MO qui à 2 tendances : Laïque qui perdure avec le mouvement palestinien – la tendance religieuse qui devient dominante à terme (GIA, Hezbollah, Al Qaida…). Islamisme radical devenant la composante la plus importante du terrorisme. Il y a également un terrorisme d’extrême droite (US) ; terrorisme sectaire (Ex Aum au Japon) ; terrorisme individuelle (Yuna Bomber : terrorisme écologique…)

dans la mondialisation (ex : TF1, Suez, Société Générale, MMA). La montée des difficultés : -La vague de terrorisme qui sévit à Paris en février-mars et septembre 1986 et revendiqué par le CSPPA (revendications des pays arabes et couverture de Hezbollah). D’autre part, l’Action directe (groupe armé anarchiste) assassine Georges Besse, PDG de Renault et autres tentatives d’assassinat jusqu’à l’arrestation des dirigeants. La lutte contre le terrorisme devient alors une des priorités du gouvernement

également la raison pour laquelle la Syrie a préféré faire preuve de retenue plutôt que de réagir au bombardement d’un réacteur à Deir Ez-Zor en septembre 2007. Leur guerre contre Israël, les Assad préfèrent et préféreront toujours la mener via le Hezbollah [au Liban]. Des milliers de terroristes seront tués sur le sol libanais, tandis que des centaines de soldats et de civils israéliens perdront la vie. Mais, bien entendu, aucun soldat syrien ne tombera. Les Assad ne tolérant aucune forme d’opposition

comme légitime le contrôle de la Mecque par les Saoud. Cette rivalité entre Téhéran et Riyadh s’exprime dans les alliances que nouent ces deux pays au Moyen-Orient : ils soutiennent généralement des factions contraires. Au Liban, l’Iran soutient le Hezbollah et l’Arabie Saoudite mise sur le courant du futur de Saad Hariri. A Gaza, Téhéran se tourne vers le Hamas et les saoudiens vers l’autorité Palestinienne. Même au Yémen, Téhéran serait plus sympathique envers les Houthis alors que Riyadh soutient

à face : les forces gouvernementales (l’armée de Bachar El Assad), les rebelles (antigouvernementaux), les Djihadistes (des opportunistes du conflit) et des puissances internationales (Russie / Iran / Mouvement au Liban d’un parti Islamiste le Hezbollah). Donc une guerre civile dans laquelle s’invite des forces étrangères pour des questions religieuses. Le monde musulman se divise principalement en 2 courants religieux : Les Sunnites Les Chiites La Syrie est un pays dans une situation particulière

diamants   sur   chaque  diamant  pour  éviter  la  prolifération  des  diamants  de  sang.     Le  cas  des  mouvements  terroristes,  des  mouvements  nationalistes  (Hamas,  Hezbollah).     • Etude  de  cas  :  les  travaux  de  Mark  Duffield,  Global  Governance  and  New  Wars  :  The   Merging  of  Development  and  Security   Les   Etats   latino-­‐américains