Hezbollah

par internet En fait une multitude de mouvements souvent hostiles les uns aux autres, une nébuleuse avec des rivalités internes nombreuses. b) Le terrorisme instrument du jihad : 1. L’arme de l’attentat suicide. 1.1. Le terrorisme anti-juif Le Hezbollah libanais est créé en 82 La méthode de l’attentat suicide est alors transposée en Cisjordanie et à Gaza par l’intermédiaire du Hamas et du Jihad islamique, et il est tourné contre les Juifs. La lutte palestinienne se transforme en jihad avec la seconde

l’étranger, notamment sa dernière visite en Italie. Il a créé en 1995 une agence de conseil en communication, Riwal, dont une filiale, Riwal Syria, aide à l’implantation des entreprises françaises en Syrie. Il cultive d’ardentes amitiés avec le Hezbollah et soutient le régime de Bachar El-Hassad. Il a d’ailleurs créé cet été le site infosyria.fr, organe de « réinformation » au profit du régime syrien. Il a œuvré au rapprochement de Dieudonné avec Jean-Marie Le Pen. On l’a vu à quelques « apéros saucisson-pinard

vision de Khomeyni à travers la création d’écoles, de camps militaires pouvant leur permettre de combattre l’ennemi. Dans ces camps, ils forment des jeunes de 12 à 15 dans la tradition chiite. C’est dans ces camps qu’est né le parti de Dieu (le Hezbollah) . Ces groupes procéderont à des attaques contre les americains ennemi premier de Khomeyni. Ces attentats avaient pour but de chasser les americains qui étaient au Liban. Au-delà de ces actes, Khomeyni pousse la population libanaise à proclamer la

Golan. L’opération Paix en Galilée est lancée qui vise à chasser l’OLP, c’est un échec et Israël se retire en 1983. L’OLP va devoir quitter le Liban en 1982 et intervention de la communauté internationale qui elle-même se solde par l’attaque du Hezbollah chiite sur des immeubles à Beyrouth tue de nombreux soldats : les occidentaux se retirent. La guerre se poursuit jusqu’en 1984 dans la montagne du Chouf = succession de clans confessionnels qui s’allient et se défont dès lors. Accords de Tahef

un fait acquis. En outre, les troupes françaises sont maintenant une cible potentielle au Liban, ce qui pourrait facilement déclencher de vives réactions si les initiatives américaines concernant l’Iran sont perçues comme la cause des attaques du Hezbollah contre les troupes françaises. Pour ce qui est de l’Afghanistan, la détérioration continue de la situation sécuritaire dans la majeure partie du pays à l’heure où l’ISAF étend son mandat pourrait bien être annonciatrice des prochaines frictions francoaméricaines

se revendique du mouvement wahhabite, le même que l’Arabie Saoudite. Ce choix d’une alliance avec les Frères s’est fait juste après le «  printemps arabe » Auparavant le Qatar préférait s’aligner sur la politique syrienne, iranienne et celle du Hezbollah. L’alliance avec la confrérie s’est confirmée lorsque l’émir du Qatar est allé au Caire pour injecter 2 milliards de dollars dans la Banque Centrale. Ainsi, la politique des Frères musulmans et de leurs différentes branches nationales n’est pas

encore très fortement armée à cette époque, des Phalanges chrétiennes, du Mouvement National Libanais.... C'est sous ce prétexte que les interventions extérieures se précisent, notamment avec la Syrie et Israël qui entrent au Liban. En 1982, le Hezbollah est créé sous l'influence de l'Iran et de la Syrie, en réponse à l'occupation israélienne qui occupe une bonne part du sud du Liban. IV. La guerre fraîche (1975-1985) A./ Les raisons du regain des tensions o Difficultés

exporter la révolution islamique à travers le monde puisqu'elle se veut libératrice des peuples démunis qui sont sous le joug de tyrans dominateurs (cf aide de l'Iran au Liban en 1982 avec le déploiement des gardiens de la révolution pour aider le Hezbollah à s'organiser). L'Iran crée ainsi un réseau de soutiens à certains mouvements tels les mouvements chiites en Irak, le Bahreïn en Arabie Saoudite, en Afghanistan. La guerre du Golfe de 1991 aura aussi motivé l'Iran à tisser des liens avec le Hamas

libanaise, démarrée en 1976, pour s’immiscer dans les affaires de son petit voisin et réussit en fin de compte, en 1990, à s’imposer au Liban par les accords de Taëf et à y rester jusqu’à l’assassinat de Rafic Hariri en 2004 et aux manifestations du Hezbollah qui obtinrent son retrait. L’Iran enfin, qui fit sa révolution islamique d’août 1978 à janvier 1979 et qui, dès lors, sous la direction de l’ayatollah Khomeiny au pouvoir à partir du 1 er février 1979, entreprit de s’attaquer à l’hégémonie américaine

quelques heures seulement après la réunion du président Barack Obama, avec son équipe de sécurité nationale. Pour Kerry, la campagne militaire contre Damas, qui ne dépasserait pas quarante-huit heures, serait «un message envoyé à l’Iran et au Hezbollah» principaux soutiens de Damas. Le responsable américain s’est engagé à ce que son pays ne refasse pas l’expérience de la guerre contre l’Irak où de fausses informations et de fausses preuves sur des armes PHOTO : DR W Washington et