Historien

général honoraire Jean-Philippe Camborde, historien Bruno Centorame, historien Vincent Chabault, doctorant en sociologie ENS/EHESS Guy Chemla, professeur à l'université Paris IV Eric Dubois, antiquaire Lucile Dupuis, historienne d’art Eric Duthoo, délégué pour la Région Centre, Ligue Urbaine et Rurale Delphine Gauguet, historienne d’art Rodolphe Gouget, doctorant en sociologie Paris V/ GEPECS Christian Hottin, conservateur du patrimoine Sandrine Lesage, historienne d’art Jean Damien Levau, archiviste Cedric

telles que la physique ou l’analyse économique; en effet, l’histoire est connaissance d’événements, c’est-à-dire de faits, alors que la science est connaissance des lois qui régissent les faits. La physique établit la loi de la chute des corps; si un historien s’occupait de corps qui tombent, ce serait pour raconter des chutes. Il en ressort que l’opposition qu’on établit trop souvent entre les faits historiques, qui seraient «ce que jamais on ne verra deux fois», et les faits physiques, qui se répéteraient

signés et mettent fin à la guerre. C'est le temps de l'exil pour les Français d'Algérie – les « pieds-noirs » – et les Algériens combattant du côté de la France – les « harkis ». Sur chaque rive de la Méditerranée, comment s'organise le travail des historiens sur les mémoires de la guerre d'Algérie ? Comment leurs recherches, souvent difficiles (car les archives se sont ouvertes progressivement mais certaines ne le sont toujours pas), ont-elles été diffusées dans l'opinion publique ? 1. En Algérie

dans le sens de notre hypothèse, mais à côté des éléments de rupture nous essaierons aussi de présenter les éléments de permanences et de continuités.Comment étudier l’international ? De l’histoire diplomatique au « constructivisme »Le fait que les historiens s’intéressent aux relations entre les pays n’est pas nouveau. Bien avant l’avènement de l’histoire scientifique -dans la deuxième moitié du XIXe siècle -hagiographes et historiographes ont consigné à la fois la geste des souverains dans leur État

déportés : →Résistants , communistes . Parlait très peut des juifs pourtant déportés ( camps de concentration ≠ camps d’éxtermination) II- L’historien interroge les differentes mémoires ( 1960-1990) A) C’est la mémoire juive que les historiens interrogent d’abord 1) La formation des identités juives a) Un évènement internationale contribue à cette identité -Eichmann s’échappe pour allez en Argentine pendant 15ans afin d’y avoir une vie tranquille Il est ensuite arreter et conduit

Vierge 103Questionnaire Podcast 1/ De quoi cela parle-t-il ? (n'oubliez pas d'introduire le nom de la personne interrogée) Dans ce podcast, Hervé Mazurel, historien du corps, des sensibilités et des imaginaires, co-auteur avec Alain Corbin de l'ouvrage "Histoire des sensibilités", et Xavier Maudit, historien et présentateur radio français, ils traire de la manière dont l'humain a traité la sensibilité et les attirances à travers l'histoire. C’est un sujet de psychanalyse, c’est la psyché ( «

1. Le poète se fait historien L’adresse initiale « O toy historien » Cette adresse, au v.115, fait de l’interlocuteur de Ronsard un historien, et de ses destinataires les lecteurs futurs. Ronsard s’adresse à l’historien à la 2ème personne du singulier. Mais il destine son texte à « nos enfants » v. 117 > Ce texte s’adresse à un historien et se destine à l’Histoire. L’allusion à l’Histoire L’allusion à l’Histoire est récurrente dans le texte, surtout dans les premières strophes : champ lexical

sous différentes modalités, dans les sociétés, les groupes sociaux ou les individus, façonnée par les subjectivités et les enjeux propres à chacun de ses porteurs. En regard, l’histoire serait le déroulement des événements tels que rapporté par les historiens selon des critères scientifiques. Mais cette distinction n’est pas sans poser problème tant l’historien est lui-même inséré dans les enjeux de mémoire, qu’il soit partie prenante de leur définition ou bien pris à témoin par les porteurs d’identité

JACQUOT FANNY – UE 13 CULTURE DE L’ARCHITECTURE MODERNE SYNTHESE DE LECTURE Le Bauhaus « Le Bauhaus catalyse tout un courant. » Michel Ragon (1924,… ; français), historien d’art du XXème siècle dans son Histoire mondiale de l’architecture et de l’urbanisme moderne, définit cette « maison de la construction » (1919-1932), née directement du travail d’Henry Van de Velde, comme la réunion de l’Ecole des arts décoratifs et l’Ecole des Beaux Arts de Weimar en une seule institution. Gropius,

après avoir défini quelles étaient les pratiques des historiens et leur part d’objectivité, il fallait expliquer si ces derniers devaient prendre ou pas partie dans l’histoire et pourquoi. Le risque de ce sujet venait principalement de l’impasse sur la notion scientifique des historiens. Machiavel ou encore Paul Venne étaient les principaux auteurs à mettre en avant, mais vous pouviez aussi bien faire des citations d’ouvrages de grands historiens.»   Commentaire de texte : un passage de "L’éducation