Hobbes Celui Dont Les Désirs

Leibniz ? Le mal est un défi pour la philosophie parce que cette dernière a bien du mal à en donner une explication. Est-ce l’homme ? ou un Dieu vengeur ? Le mal est-il politique ou historique ? Tient-il de la structure sociale entre les hommes ? Hobbes voit dans le mal une structure tandis que Rousseau accuse la contingence historique… Le mal confronte la philosophie à la question de son origine. Il force la philosophie à cette épreuve de vérité. Qu’est-ce qui pousse l’homme à commettre le mal

parce que j’ai décidé d’y aller (la volonté serait le pouvoir autonome, indéterminé, de faire ou de ne pas faire quelque chose, elle transcenderait toute motivation : Descartes), parce que j’ai envie d’y aller (la volonté serait déterminée par les désirs : Condillac). La volonté englobe donc le désir, elle est gouvernée par un principe rationnel. C’est une faculté de la raison à déterminer notre action suivant des normes (morales ou non) et d'exercer un libre choix. Alors suffirait-il de vouloir pour

Les sentiments 2 3. La religion 3 4. Les idées morales 4 5. L’Etat 4 B. La notion de pouvoir 4 1. Les formes de pouvoir 4 2. Les trois types de domination (Weber) 5 C. Les différents types de régimes politiques 5 1. Le meilleur régime est celui où le philosophe est roi (Platon) 5 2. Les bonnes constitutions sont celles qui visent l’intérêt commun (Aristote) 6 3. Le meilleur régime dépend de circonstances (Montesquieu) 7 II. Le contrat ou la guerre : deux modèles pour penser l’Etat 7 A

historiquement, c’est d’abord la philosophie qui les constitue comme des objets de réflexion théorique. L’économique est une partie de l’éthique, chez Aristote comme chez Thomas d’Aquin. Adam Smith, avant d’être l’auteur de la Richesse des nations, est celui d’une Théorie des Sentiments Moraux. Aujourd’hui, l’économie politique est devenue « science économique ». Il est clair cependant qu’une science économique purement technique laisse échapper la dimension morale et anthropologique de l’économique. Le

La puissance de l'Etat est-elle la condition de l'harmonie sociale ? Platon affirme que " La cité qu'il faut placer au premier rang, la cité dont la constitution et les lois sont les meilleures, est celle où régnera le plus complètement possible dans la vie sociale sous toutes ses formes l'antique maxime d'après laquelle tout doit être réellement commun entre amis", dans son livre Les lois, c'est à dire que pour lui la cité donc l'Etat de nos jours est la glorification sociale et solidaire de

sociales exercées sur l’individu. LE DESIR Désir : construction d’ordre psychologique ou sociale dont la satisfaction n’est pas nécessaire (/besoin d’ordre biologique et physiologique) expression d’un manque, d’une frustration vis-à-vis de qqch que nous aimerions avoir mais que nous n’avons pas. Platon : désir tjrs renaissant : à un désir en succède un autre donc absurde de chercher à satisfaire des désirs (=efforts des Danaïdes qui remplissent des tonneaux sans fond) Epictète (stoïcien) : distinguer

royauté, l’aristocratie et la république », pourtant Aristote de sa part les a qualifiés selon leur finalité ainsi il a désigné comme justes « la monarchie, l’aristocratie et la démocratie ». Les deux ont partagé l’idée que le meilleur gouvernement est celui constitué par les plus vertueux de la cité « La vertu fut une condition indispensable pour exercer le pouvoir ». Quatre vertus sont nécessaires pour Platon: la sagesse (vertu du philosophe), le courage (vertu du guerrier), la tempérance (soumission

Léo Strauss obtint une thèse en philosophie puis émigra aux Etats-Unis où il entreprit une brillante carrière à l’Université de Chicago. Strauss est à l’origine de réflexions poussées sur la crise du spinozisme et la « science du judaïsme », mais celui-ci parviendra à son apogée philosophique lorsqu’il défendra la notion de droit naturel contre les doctrines qui souhaitaient justement s’en débarrasser. Au commencement, les droits naturels de l’homme sont des droits qui viennent du fait que l’être

dans le lieu où il se trouve. De par leur fonction sociale, les lois devraient être respecter, en effet ce sont les règles qui permettent à l'Homme de vivre en société sans laisser ses désirs personnels empiéter trop souvent sur le bien commun. Par conséquent l'Homme peut avoir tendance à vouloir privilégier ses désirs personnels au bien commun et ainsi à enfreindre les lois. C'est pour cela que l’efficacité des lois et l'importance qu'on accorde à leur respect est inévitablement lié aux forces qui

donc de constater que les conflits avec autrui constituent une réalité. l’affrontement est donc dans la nature humaine. Selon Hobbes, à l’état de nature (état fictif, hypothétique dans lequel se trouvent les hommes, abstraction faite de tout pouvoir et de toute loi), les hommes sont gouvernés par le seul instinct de conservation ; ils sont égaux puisqu’ils ont les mêmes désirs, les mêmes droits sur toutes choses, les mêmes moyens d’y parvenir. Cette égalité naturelle se transforme naturellement en rivalité