Hobbes L Homme Est Un Loup De L Homme

fonction public la domanialité public… On trouve également les finances publics c’est-à-dire la manière de prélevé l’impôt et de sa distribution. Enfin on trouve un droit international qui va régir soit les relations entre les Etats soit entre un homme est un Etat. Toute ces branches présente de nombreux point de convergences exemple de la peine de mort qui relève du droit pénal mais en même tant la prohibition est constitutionnel. Le contrôle de constitutionnalité de la loi permet cette convergence

constitutionnel. Hobbes (1651 Le Léviathan) dit « dans l’état de nature l’homme est fondamentalement mauvais, c’est une brute abjecte qui en songe qu’ç une chose, s’emparer des biens du voisins. ». Donc la logique c’est qu’en permanence l’homme va avoir le besoin de conquérir par la violence, la force, la ruse les biens d’autrui. Simplement si on part de cette idée on aboutit pas à grand-chose. Sa formule la plus célèbre « Homo lupus ominis est » Ce qui signifie « l’Homme est un loup pour l’homme. »

atteindre la meilleur « place », la meilleure position politique, familiale, économique…, il y a frustration, il n’y a pas assez de bonnes places, tout le monde veut « faire sa place ». Enfin, autrui, c’est le nom philosophique et moral de l’autre homme, pris indépendamment de toute détermination sociale, religieuse ou politique : autrui, peut prendre, en effet, différentes formes ; on parle alors du prochain, du frère, de l’ami, du camarade, de l’adversaire aussi, ou de l’ennemi, du compagnon, du

logique autrui se définit en étant un autre sujet, une autre conscience, il est aussi une pure intériorité qui n’aborde le monde que de son point de vue. De surcroît, cette vision centralisée sur soi peut être renforcée par l’idée de Hobbes selon lequel : l’homme est un loup pour l’homme, c’est dire que les hommes ne peuvent jamais s’entendre ni se comprendre, mais plus que cela l’homme est un ennemi qui guette l’autre, son semblable surtout en état de guerre et de batails où se manifeste la méchanceté

Thomas Hobbes (1642) LE CITOYEN ou les fondements de la politique (DE CIVE) (Traduit de l’anglais en 1649 par Samuel Sorbière, secrétaire de Thomas Hobbes) Un document produit en version numérique par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Courriel: jmt_sociologue@videotron.ca Site web: http://pages.infinit.net/sociojmt Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" Site web: http://www.uqac.uquebec.ca/zone30/Classiques_des_sciences_sociales/index

Chapitre 4 : Autrui Autrui : tout homme par rapport à moi. C'est l'autre, c'est le moi qui n'est pas moi. (Sartre). Lacan a dit qu'il n'y a de semblable, un autre qui sait moi, que parce que le moi est originellement un autre I) Nous ne sommes pas seuls au monde (ou l'intersubjectivité) : devrait-in parler des consciences plutôt que de la conscience ? Les 3 dimensions de la conscience (psychologie, réflexion, morale) nous ont montré 3 formes d'une activité originaire car nous avions reconnu

subviennent à certains besoins de l’homme, mais il n’y a que dans la cité que l’autarcie est atteinte. L’homme, à l’état isolé ne serait qu’un être inachevé, n’ayant pas réalisé ses possibilités. - État de nature et contrat social : Le point de départ de Hobbes, pour penser la société et l’État, est l’individu à l’état de nature. Cet individu est isolé et en perpétuel conflit avec les autres ; leurs rapports ne sont que des rapports de puissance ; leur égalité est une égalité dans la capacité à se nuire

rase : Tout supprimer pour tout reconstruire. Des idées totalement nouvelles apparaissent : La première grande nouveauté est cette politique de la table rase. On veut un nouveau régime, une nouvelle politique, une nouvelle société. On veut créer un homme nouveau, changer les pensées, les comportements. Régénérer la France, les hommes. Construire un nouveau monde comme aux Amériques, une nouvelle société, recommencer l’histoire de l’Humanité, repartir sur de nouvelles bases en suivant l’idée de Jean

qu’ils sont » (Spinoza). De Machiavel à Hobbes, un constat analogue transcende alors les divergences : à l’état de nature, l’homme est dangereux, « loup pour l’homme » car prisonnier de ces lubies. La nature humaine ainsi posée, se fait jour la question fondamentale des moyens de la réfréner. Comment mettre en place une « police » efficace des passions ? A cet édifice que tous estiment vital, chaque penseur apportera sa propre pierre. De l’Etat répressif de Hobbes, qui dresse les contours d’une autorité

se développe en un peu partout. Althusius a dit «  a tous les échelons de la société il est question de contrat ». L’Etat dès l’origine est établi. THOMAS HOBBES est le premier qui parle de l’Etat de nature (l’homme ne vit pas en sté). Mais cet état de nature était invivable Car l’Homme peut être menaçant pour l’autre (« l’Homme est un loup pour l’Homme ») ALORS l’Homme établit une autorité supérieure. Il convient de mettre en place une autorité susceptible de tenir les hommes en respect. MAIS