Hobbes La Condition Naturelle

politique comme produit de la nature : ARISTOTE 1. Le concept politique de sociabilité 2. L’analyse de la société politique C. Les théories contractualistes au fondement des sociétés politiques 1. La première théorie contractualiste : HOBBES 2. La société civile et la naissance du libéralisme : LOCKE 3. ROUSSEAU le second état de nature et la décadence de la société II. L’Etat comme instance nécessaire à la société A. La théorie hégélienne de l’Etat, une critique de la

Selon Rousseau, pour remédier au mal social, il faut trouver une "forme d’association" légitime qui protège la personne tout en préservant sa liberté. Le contrat social satisfait à cette condition puisque par lui, chacun abandonne sa liberté naturelle à la communauté et reçoit en retour "la liberté civile et la propriété de tout ce qu’il possède." Pour Rousseau, le but de l’association n’est pas la sécurité car elle supprime la liberté et c’est cette dernière qu’il faut voir comme principal objectif

principe de liberté induit l'existence de la liberté d'opinion, d'expression, de réunion, de culte et autres. On peut retrouver dans la constitution de 1789 la plupart de ces libertés sous formes de droits inaliénables (ironie due à la définition de Hobbes du contrat social). Les libertés individuelles sont obtenues par naissance elles sont donc universelles pour tout être humain, une égalité donc. L'égalité peut être définie de cette façon : l'égalité est l'absence de toute discrimination entre les

Christophe Béal a su bien mettre en évidence la philosophie naturelle à travers son livre nommé «Hobbes pas à pas» en abordant les différentes théories dont la théorie hobbesienne de la causalité et celle de la nécessité. Effectivement, ce livre s’inspire de grandes idées du philosophe Thomas Hobbes. Alors, j’élaborerai sur ses différentes théories dont celle de la causalité et celle de la nécessité qui prend en considération le concept de liberté. Tout d’abord, pour ce qui est de la théorie de

la liberté. Rousseau considère que l'homme a perdu sa liberté naturelle en vivant en société.  La formule de Rousseau est marquante en ce qu’elle énonce magistralement un paradoxe : l’homme est naturellement libre, il naît libre, mais il est toujours politiquement et socialement asservi. Saisir l’enjeu de cette phrase contraint à la replacer dans son contexte, et à comprendre qu’elle inscrit Rousseau dans la lignée du « droit naturel ». L'homme est celui qui est né de 2 être de l'espèce humaine

dans un but précis. Autrement dit, Kant croit que la nature est comme une intelligence qui a tout orchestré dans un but précis comme si elle avait des projets. Il montre alors qu’elle a doté les animaux d’un instinct performant et de défenses naturelles, efficaces. Au contraire l’homme n’a eu que le minimum vital : il semble physiquement bien faible et vulnérable… On peut même aller jusqu’à dire que, comme tel l’espèce humaine aurait dû ne pas survivre… Cependant l’homme a reçu de la nature

des animaux. Et en second s’il est justifié que certains commandent et d’autres obéissent. Nous semblons avoir choisi l’Etat comme cadre de notre existence, avons-nous eu raison ? La justification naturelle Certains auteurs pensent qu’il est légitime, qu’il se justifie car il est la condition naturelle de l’homme. Un homme n’est un homme que s’il est associé à d’autres hommes à l’intérieur de la relation de commandement/ obéissance. =Aristote « L’homme est un animal politique » (Anthropos polihticon

pour la liberté de l’individu, un obstacle ou une condition nécessaire ? Le problème est ici de savoir pourquoi les hommes ont instauré l’Etat. Cette réponse pourra nous faire prendre conscience de l’importance du rôle de l’Etat ainsi que la nécessité d’instaurer des lois. Nous nous demanderons donc si une société sans lois est pour autant une société libre, puis nous verrons si l’Etat nous empêche d’être libre ou si au contraire il est la condition de notre liberté. Première partie : De nombreux

s’est nos droits et devoirs imposés. Après avoir bien compris les dimensions touchées par la problématique on commence notre analyse. Dans une première partie on étudiera que, même si les lois sont injustes, on doit les obéir parce qu’elles les conditions de vivre en société. Puis, on analysera qu’ils existent, quand même, certains situations où le bon sens est désobéit la loi. On finira avec la mise en doute de l’autorité, qui questionne donc la nature des lois et leur pouvoir. Selon certains

prend pour preuve sa manière de penser, d’agir … Etant donné que l’on obéit à toutes sortes de règles dès lors que nous vivons en société, les personnes ont tendance à agir de façon formatée. Aristote pense justement, que l’homme a une tendance naturelle à s’associer. C’est lui qui déclare : « L’homme est par nature un animal politique ». Sachant que « politique » vient de Polis qui signifie Cité en grec, nous pouvons penser que l’homme est fait pour vivre en société. Pour l’être humain, l’union