Hobbes Pouvoir Commun

procréation. Aristote suggère que cette finalité b. L’état de nature comme état de guerre Dans les théories modernes du contrat social, l’état de nature désigne une situation pré politique dans laquelle les hommes vivent sans Etat, sans pouvoir politique et sans organisation sociale.la description d’une telle situation permet de comprendre quels sont les enjeux fondamentaux qui sont à l’œuvre dans la constitution d’une communauté, quelles sont les motivations du contrat social. Il y a plusieurs

L’homme est un être de désir. Hobbes, le fondateur de la philosophie politique, définit le désir comme un effort par lequel nous essayons toujours à rechercher ce qui contribue à la préservation de notre existence. Cela signifie qu’il y aurait nécessairement un conflit entre les individus. Puisque ce conflit est inévitable, il faut avoir ce qu’on appelle l’Etat, un corps politique qui assure le bon fonctionnement de la vie active les hommes entre eux. Mais si l’Etat a un pouvoir d’organisation, il exerce

formes de droits inaliénables (ironie due à la définition de Hobbes du contrat social). Les libertés individuelles sont obtenues par naissance elles sont donc universelles pour tout être humain, une égalité donc. L'égalité peut être définie de cette façon : l'égalité est l'absence de toute discrimination entre les êtres humains, sur le plan de leurs droits. Les droits étant en partie des libertés, elles définissent l'essence de la loi commune et de l'état de nature, ce qui fait référence au contrat

Le projet et l’objectif de Hobbes  Il veut reconstruire les fondements rationnels de la politique. Selon lui, les sens et la raison obéisse aux lois physiques. Il cherche à appliquer les connaissances scientifiques aux domaines moraux et politiques. Il rejette le dualisme de Descartes, car les affaires humaines sont soumisses aux même lois que la nature. Il veut alors reconstruire les fondements rationnels de la politique avec le modèle de géométrique. L’âme c’est la religion (le bien/mal) et

et religieuse semblaient inextricablement nouées. C'est pourtant ce lien étroit que la philosophie moderne a petit à petit défait, en commençant par jeter les bases théoriques d'un État souverain débarrassé de toute tutelle théologique. Machiavel, Hobbes et Spinoza, chacun à sa manière, ont contribué à ce mouvement. I-Le Prince de Machiavel Les premiers frémissements de ce mouvement d'affranchissement de la pensée politique sont déjà perceptibles au 16e siècle chez le philosophe hors norme

17/09/2012 17/09/2012 HISTOIRE DE LA PENSEE POLITIQUE Le concept d’Etat 1er concept : L’absolutisme (Machiavel, Hobbes, Bodin) 2ème concept : Le constitutionnalisme (Kant, Rousseau, Hamilton) La période des absolutistes (XVIème siècle) marque le début de la période qu’on pourrait appeler fondatrice de l’Etat moderne. Ensuite suit la période des constitutionnalistes qui connaît son apogée lorsque de nombreux états connaissent l’anarchie : guerres civiles … Absolutisme : * Eviter

de peuple. Etymologiquement, selon les Serments de Strasbourg ds Henry Chrestomathie, « poblo » signifie « ensemble d'hommes qui habitent un même pays et ont en général des institutions communes; ensemble des sujets vis-à-vis de souverains ». Par peuple, on entend un groupe de citoyens unis par des intérêts communs et des relations d’interdépendance. Cependant il existe une « ambigüité sémantique » autour de la notion de peuple. Le peuple, composé de citoyens de sexe, d’âge, d’origines, de valeurs

progressivement va débarrasser la politique de ces habits religieux. On peut dire qu'en 5 siècle, la politique se sécularise, lentement elle se laïcisé. Il n’y a plus besoin d'avoir une légitimité religieuse pour asseoir son pouvoir. En Europe, tous les monarques exerçaient le pouvoir temporaire au nom de Dieu. Cette histoire a ravivé le concept issu de l'antiquité, la liberté. Nombre d'auteurs avaient expliqué que la liberté était un idéale innaténiable tout simplement parce qu'il s'agissait d'une

premièrement, la permanence du pouvoir. Car l'Etat n'apparaît que lorsque le pouvoir s'institutionnalise, c'est-à-dire lorsque le pouvoir cesse de dépendre d'une seule personne, le chef. C'est ce que veut dire, à sa manière, la formule : " le roi est mort, vive le roi. " Outre la permanence du pouvoir, la notion d'Etat suppose, deuxièmement, la "chose publique." Qu'est-ce que la "chose publique" ? On peut la définir en commençant par remarquer que, si le pouvoir de l’Etat n'appartient pas à son

organisées autour de la relation de commandement à obéissance à laquelle nous soumet la souveraineté étatique. Cette notion d'obligation à un pouvoir politique centralisé est une forme particulière de soumission qui apparaît au XVIe siècle à travers la pensée de Bodin, et se développe plus précisément encore au XVIIe XVIIIe siècles avec les penseurs tels que Hobbes ou Locke en Angleterre. Cette étape de l'histoire occidentale est cruciale dans le processus de transformations de nos institutions politiques