Hobbes Pouvoir Commun

sont les notions sous jacentes à ces mots ? L’Etat du verbe latin stare « être debout » peut se définir comme l’ensemble des structures législatives, exécutives et judiciaires du pouvoir politique chargé d’organiser une société et incarnant la souveraineté. L’Etat ne désigne pas la société en elle-même mais le pouvoir s’exerçant sur les individus. Cette organisation a pour but de permettre aux individus de vivre ensemble de manière harmonieuse. Si l’on considère que l'État doit pour cela chercher

réfractaire et disposé à la vie sociale, ce qu’il nomme « l’insociable sociabilité de l’homme » et non un « homo homini lupus » comme le pense Hobbes. Notre tâche ici consistera essentiellement à explorer les fondements de la pensée aristotélicienne de la sociabilité naturelle de l’homme, puis à examiner les principales théories sur cette problématique notamment avec Hobbes, Rousseau, et Kant, et enfin à objectiver la thèse aristotélicienne dans la perspective de la société contemporaine. I- La sociabilité

Philosophie :La politique Définition de la politique : « l'homme c'est celui qui vit parmi d'autres hommes » H. Arendt. Communauté politique : Polis D’État est l'ensemble des structures de pouvoir politique chargée d'organiser la société. Kant : l'homme est un animal qui a besoin d'un maitre. Le but de l’état est d'assurer la paix civil et la sécurité de tous Définition de la politique et de la justice d'après Platon Pascal : « on ne voit rien de juste ou d'injuste qui change de qualités

HOBBES - La nature humaine 2. Dans ce chapitre, il sera convenable de considérer dans quel état de sécurité cette nature qui est la nôtre nous a placés, et quelle probabilité elle nous a laissée de continuer et de nous préserver contre la violence des uns et des autres. Et, premièrement, si nous considérons combien peu de supériorité il y a quant à la force ou quant à la connaissance entre les hommes d'âge mûr, et avec quelle grande facilité celui qui est le plus faible en force ou en esprit

règlements pour réagir la vie collective. Il ne désigne pas l’ensemble de la société mais le pouvoir s’exerçant au sein de cette société chargée d’organiser cette société. Alors que du point de vue politique elle consiste à faire tout ce que l’on veut tant que nous ne nuisons pas à autrui. Mais est-ce tout le temps le cas? Car en effet l’État représente l’ensemble d’une nation sur laquelle il exerce son pouvoir, à travers les lois et les règles de vie en société. La question se pose de déterminer la

la question demandée. Introduction (partie la plus importante), développement logique qui découle de cette introduction. La question du plan est peu importante. La conclusion n’est pas nécessaire, nous n’avons pas de problèmes à trancher. Il faut pouvoir argumenter sans forcément être d’accord avec les auteurs étudiés. Mardi 11 octobre 2005 La philosophie politique est une forme de rencontre entre les grands textes, les grands auteurs. C’est la rencontre entre la pensée et de l’autre côté

qui est vrai pour un individu devrait l'être pour l'Etat. Or, l'histoire offre des exemples où l'Etat est lui-même passé par-dessus les lois comme s'il avait tout pouvoir: l'affaire Dreyfus, l'emprisonnement du Duc d'Enghein par Napoléon 1er, et les récents scandales politico-financiers (Watergate et l'affaire Karachi). Ces abus de pouvoir sont-ils légitimes? C'est à dire l'Etat a-t-il le droit de passer outre les lois, y compris quand il s'agit de servir les intérêts supérieurs de la nation? La

d'institutions par lesquels l'autorité et le pouvoir sont exercés, il concentre donc une puissance inouïe. L'état c'est l'autorité sur un territoire et sur un peuple. Certains individus sont contre l'état car il leur apparait menaçant et même hostile aux libertés individuelles. En effet l'état impose des règles qui ne permettent pas individus de faire tout ce qu'ils veulent de plus d'autres sont réfractaire à l'idée de confier à une seule institution, le pouvoir et la responsabilité de la gestion des

C’était là une façon de se libérer de toute allégeance envers Rome, traduisant de plus en plus une séparation entre le pouvoir temporel et spirituel (des papes). (a) En France: Louis XIV rejette toutes interventions dans les affaires intérieures de l’Eglise de France. Il prétendait dominer l’Eglise de France, voulant que les évêques français aient le moins de rapport avec le pouvoir de Rome. Cela entraîna un conflit avec le Pape. En 1682, Bossuet précisera la position gallicane dans " la Déclaration

posséder un pouvoir sans limite et que, en contrepartie, les individus devaient pouvoir influer sur les politiques qui les concernaient. Les deux idées centrales étaient celles de liberté individuelle et de protection de la liberté individuelle contre les violations de l’Etat La notion de droits de l'homme a été particulièrement forgée par les philosophes Thomas Hobbes, John Locke, Jean-Jacques Rousseau. * Thomas Hobbes : l'un des maîtres à penser des droits de l'homme. Pour Hobbes il est judicieux