Hobbes Pouvoir Commun

Semestre 1 Introduction : Qu’est-ce que le droit ? Tout le monde a une idée de ce qu’est le droit, chacun a sa propre vision. Le droit ce sont des règles matériellement, le droit est quelque chose qui est fixé sans pouvoir épuiser ces effets dans une seule personne. En revanche certaine règle sont générales et intemporelles. La deuxième caractéristique est que ces règles sont sanctionnées ou sanctionnables. Troisièmement ces règles sont des règles de vies sociales elles

politique contemporaine. Contre l’opinion consacrée que j’ai évoquée en commen- çant, Berlin est parvenu à démontrer qu’une dis- tinction bien marquée s’impose entre deux concepts de liberté qui, pour être concurrents, n’en restent pas moins sans commune mesure l’un avec l’autre : l’un qu’il appelle liberté « posi- tive » et l’autre, liberté « négative ». Lorsqu’il parle de la liberté négative, son analyse est très proche de celle que – selon MacCallum et ses nombreux partisans – toute proposition

jours qui traduit une idée ; le droit est l’attribut d’une personne, d’un pouvoir, d’une capacité. C’est la théorie, la conception du droit subjectif (du sujet) le droit / pouvoir. Ce droit-pouvoir dans notre approche moderne découle d’une norme crée par le législateur. Dans notre façon de penser tout les jours le droit est un pouvoir de donné par le législateur. Dans notre façon de penser tout les jours, le doit est un pouvoir donné par les législateurs. Le volontarisme : idée selon laquelle la volonté

philosophique, la liberté représente l’autodétermination et l’autonomie tandis que du point de vue politique et moral la liberté a pour principe d’éviter toute contrainte. Quant à l’état, il représente l’ensemble d’une nation sur laquelle il exerce son pouvoir, et donc sur laquelle il impose une contrainte à travers des lois et des institutions. Ainsi, plusieurs questions se posent. Tout d’abord, l’Etat est-il l’ennemi de la liberté ? Ensuite, en l’absence d’Etat, la liberté pourrait-elle exister ? Et

constitutionnel et institution politique » -Bernard Chantebout « droit constitutionnel et science politique » Dalloz. -Louis Favereu : « droit constitutionnel » Dalloz. Cours du premier semestre : -1°Thématique étatique : l’organisation verticale des pouvoirs et -3°histoire constitutionnel française. Introduction : Le droit constitutionnel est l’ensemble des règles de droit positif de valeur constitutionnel, c’est une matière qui consiste a étudier ses règles du droit positif. Droit constitutionnelscience

(par opposition, j’entends les obstacles au extérieurs au mouvement), et peut être appliqué aux créatures sans raison ou inanimées aussi bien qu’aux créatures raisonnables. Si en effet une chose quelconque est liée ou entourée de manière à ne pas pouvoir se mouvoir, sauf dans un espace déterminé, délimité par l’opposition d’un corps extérieur, on dit que cette chose n’a pas la liberté d’aller plus loin. C’est ainsi qu’on a coutume de dire des créatures vivantes, lorsqu’elles sont emprisonnées ou retenues

complètement libres à l'état de nature, s'imposent eux-mêmes une contrainte légale. En effet, si l'on considère comme Hobbes qu'un homme libre est un être « qui, s'agissant des choses que sa force et son intelligence lui permettent de faire, n'est pas empêché de faire celles qu'il a la volonté de faire », alors la loi l'empêche d'être vraiment libre. On peut évoquer le contrat social chez Hobbes et chez Rousseau, par lequel les hommes renoncent eux-mêmes à leurs libertés individuelles. C'est pourquoi Rousseau

selon des schèmes communs. En ce sens, il est possible de parler de sociétés animales. Pourtant, le plus souvent, le terme de société désigne exclusivement les groupements humains caractérisés par leur dynamisme, leur capacité à changer, à évoluer, à se donner de nouvelles formes et de nouvelles règles, à se doter d’institutions, etc. Lorsque l’on traite de la société, il semble difficile de ne pas faire intervenir la notion d’individu. Les différentes formes de société semblent pouvoir être caractérisées

Doctrine sociale préconisant la mise en commun de tous les biens et l’absence de propriété privée, visant la libération de l’homme et la fin de l’exploitation (déperissement de l’Etat) Voir les philosophies de Platon, Marx/Engels, Fourier Socialisme : Chez Marx, le socialisme est l’état intermédiaire de l’Etat (entre le capitalisme et le communisme), étape caractérisée par la dictature du prolétariat. Le socialisme subordonne l’intérêt des individus à l’intérêt commun. Voir la philosophie de Proudhon

Cour de droit public Première année DOSSIER N°2 : LEGALITE ET LEGITIMITE LA LEGALITE PEUT-ELLE ÊTRE ILLEGITIME ? Définition légalité : Définition légitimité et illégitimité : Qualité d’un pouvoir d’être conforme aux aspirations des gouvernés (notamment sur son origine et sa forme), ce qui lui vaut l’assentiment général et l’obéissance spontanée. La légitimité n’est pas immuable. LA légitimité démocratique est une légitimité fondée sur l’investiture populaire des gouvernants (élection). Enfin