Hobbes Traité De L Homme

renvoie au pouvoir que possède tout homme de n’obéir qu’à lui-même, qu’à sa propre volonté, et d’agir uniquement en fonction de ses désirs, indépendamment de toute contrainte ou de toute pression extérieure. En résumé , un homme libre est un homme sans obligation. C'est son propre chef. Tout homme se sent donc libre, tout simplement parce qu’il se croit capable de faire des choix et de prendre des décisions, de petite ou de grande ampleur. Autrement dit, tout homme, lorsqu’il porte un regard réflexif 

Bibliographie de base : ✓ PLATON, La République (*) ✓ ARISTOTE, La Politique (*) ✓ AUGUSTIN D’HIPPONE, La Cité de Dieu (*) ✓ Nicolas MACHIAVEL, Le Prince (*) ✓ Jean BODIN, Les 6 livres de la république ✓ Thomas HOBBES, De Cive et Le Léviathan (*) ✓ Charles de MONTESQUIEU, L’Esprit des lois ✓ Jean Jacques ROUSSEAU : Du Contrat social (*) ✓ John LOCKE, Du gouvernement civil (*) ✓ Baruch de SPINOZA, Tractacus politicus (*) ✓ Emmanuel

politiques et civiles. CHAPITRE II. DES LOIS DE LA NATURE. Avant toutes ces lois, sont celles de la nature, ainsi nommées, parce qu’elles dérivent uniquement de la constitution de notre être. Pour les connoître bien, il faut considérer un homme avant l’établissement des sociétés(14). Les lois de la nature seront celles qu’il recevroit dans un état pareil. Cette loi qui, en imprimant dans nous-mêmes l’idée d’un créateur, nous porte vers lui, est la première des lois naturelles par son

Naturel : Il cherche à appliquer correctement les règles. Il s’apparente davantage à l’approche philosophique. Modèles contractualistes ( Le politique est un processus d’institutionnalisation. Objets politiques ( artefacts issus de contacts (Hobbes, Locke). 3. Hobbes : la souveraineté absolue de l’Etat est le seul rempart au chaos politique des guerres civiles. 4. Rousseau : le contrat social et la volonté générale fondent la démocratie moderne. Économie politique 1. Smith : fondateur

: Ce qui est en nous mais qui a été transmis par l'éducation de notre société. Se cultiver c'est s'efforcer d'accomplir au mieux sa nature d'Homme. Par opposition à un homme , celui qui n'a pas fait cet effort est considéré comme quelqu'un qui est à l'état sauvage. On appelle culture le milieu ou l'élément dans lequel tout homme , en tant qu'être social doit entrer pour devenir pleinement humain. Pour accomplir sa propre nature , il doit se dénaturer. Dénaturation = acculturation. L'acculturation

l'homme qui est appelé à diriger la société et applique pour cela une science : la science politique. Pour Platon, l'homme politique n'est pas soumis aux lois et sait trouver la justice applicable à chaque cas particulier. Cependant, le véritable homme politique n'existe pas dans les sociétés humaines (contrairement à la société des abeilles où la reine est par nature destinée à gouverner les abeilles). Dans les sociétés humaines, les hommes qui gouvernent doivent donc respecter les lois traditionnelles

→ Traité politique qui interroge sur la légitimité du pouvoir politique Droit = Pouvoir reconnu par les autres Prologue : → Lois fondamentales qui doivent déterminer l'autorité politique Lois légitimes – Accosr avec un idéal moral Lois Sures – Assurer la liberté → But de Rousseau est double : Liberté + Sécurité → Rousseau prend les Hommes tels qu'ils sont et non comme ils devraient être comme Platon Chapitre I : → Présente structure du livre état de nature = Homme libre

d’autant plus libre qu’on est de la connaissance d’autrui ? indifférent au jugement d’autrui ? -Puis-je me mettre à la place d’autrui ? -Autrui est-il une limite ou une condition de ma liberté ? -Sans autrui, puis-je être humain ? -Qu’est-ce qu’un homme seul ? -Puis-je me passer d’autrui ? -Peut-on vivre sans les autres ? -L’expérience de la solitude favorise-t-elle la découverte de soi ? http://www.philocours.com/bac/Sujet/ficheautrui.html 02/10/2006 fiche sur Autrui Page 2 sur 5 Les rapports

d’autant plus libre qu’on est de la connaissance d’autrui ? indifférent au jugement d’autrui ? -Puis-je me mettre à la place d’autrui ? -Autrui est-il une limite ou une condition de ma liberté ? -Sans autrui, puis-je être humain ? -Qu’est-ce qu’un homme seul ? -Puis-je me passer d’autrui ? -Peut-on vivre sans les autres ? -L’expérience de la solitude favorise-t-elle la découverte de soi ? http://www.philocours.com/bac/Sujet/ficheautrui.html 02/10/2006 fiche sur Autrui Page 2 sur 5 Les rapports

REPERES ABSOLU/RELATIF Absolu renvoie à l’idée du détachement, de libération (absoudre) et de perfection. L’absolu est donc indépdt, ne comprend aucune limitation. Sens politique : pvr absolu = ne tolère aucun contre-pouvoir. Absolutisme (repsté par Hobbes) = doctrine qui justifie cette conception. Au contraire, Montesquieu en défendant la séparation des pvrs propose un système où la liberté est garantie par des relations de compensation entre ces 3 pvr. Ce qui est relatif se caractérise par une relation