Hobbes étant Donné

mettrait à n'en faire qu'à sa tête, bafouant les lois à l'envie ? Nous disons : ce serait l'anarchie, car les lois perdraient justement toute leur valeur de lois. De là à tomber dans un « état de nature » où ne régnerait finalement que ce que Rousseau ou Hobbes nomment « la liberté naturelle », c'est-à-dire le pouvoir de suivre ses seules impulsions sans autres limites que celles de sa force propre, il n'y a qu'un pas. Or là où il n'y a plus de lois instituées et reconnues, et de ce fait, plus d'État, on

contemporaine qui va s'interroger sur les limites de l'Etat. HOBBES : Léviathan : 1651 ; ref au monstre du livre de Job, Bible. C'est un texte qui naît ds l'urgence de la guerre civile en Angleterre qui oppose monarchistes et parlementaristes. C'est un texte qui fixe les pensées politiques jusqu'à Rousseau. C'est le cadre de pensée de toute la philo du contractualisme. Pb de l'obéissance légitime + pb de la représentation politique. Pr Hobbes l'Etat ne représente pas le peuple, il est complètement

au sens sociologique de celui-ci, c’est pourquoi nous allons voir dans un premier temps la relation de domination envers une population sur un territoire donné, qui sont les caractéristiques de l’Etat . Puis nous verrons les organisations au sens sociologique de l’Etat. A. Relation de domination envers une population sur un territoire donné. En vue d’une mise en place d’une communauté unie sous le nom d’Etat, l’homme accepte d’abandonner l’Etat de droit dans lequel il se trouve, puisque dans

et l’injuste. Elles regroupent des droits, des autorisations, mais également des interdits et par conséquent des sanctions. Durkheim a écrit, qu’un homme n’est pas le même isolé qu’entouré. Il prend pour preuve sa manière de penser, d’agir … Etant donné que l’on obéit à toutes sortes de règles dès lors que nous vivons en société, les personnes ont tendance à agir de façon formatée. Aristote pense justement, que l’homme a une tendance naturelle à s’associer. C’est lui qui déclare : « L’homme est

entre droit-liberté et droit-créance. Tout droit subjectif est pris dans le système des droits subjectifs. Cela entraîne des conséquences politiques : si un gouvernement veut entendre les critiques de l’impôt, il devrait alors diminuer les réponses données aux droit-créance ou décaler l’imposition vers d’autres acteurs. On a donc des arbitrages politiques qui seront le reflet du juridique. De plus, tout droit subjectif doit être appréhendé dans sa généralisation : si j’accorde un nouveau droit, ce la

(« faire justice de quelque chose »), soit en réfutant un propos ou une idée, en réparant un tort, ou en se vengeant d'une action d'autrui (« se faire justice »). Le terme étant très utilisé, on dénombre de multiples locutions et tournures idiomatiques (l'ensemble des moyens d'expression (langage, modes de pensée) d'une communauté donnée, relatif à un domaine d'activité spécifique de cette communauté ) utilisant le mot « justice », mais comportant des sens et des situations d'usage différents : « faire

L'enfer, c'est les autres, disait Sartre après Hobbes pour qui l'homme est un loup pour l'homme. Mais depuis Aristote jusqu'à Saint-Exupéry, on n'a cessé de louer l'amitié comme expérience irremplaçable. Tout se passe comme si l'homme avait besoin des autres, tout en maintenant à leur égard une méfiance qui peut aller jusqu'à la violence. On peut en conclure avec Kant que l'homme se caractérise par une "insociable sociabilité" qui le maintient dans une perpétuelle tension entre la recherche d'autrui

théorie de la souveraineté : Se dessaisir ou autoriser ? La théorie de la Souveraineté chez Hobbes est originale : ce n’est plus, comme chez ses prédécesseurs, un contrat entre le peuple et le roi qui doit bien gouverner. Le pacte hobbesien n’a rien à voir avec ce contrat de confiance : avec lui, chacun se dessaisit de son droit naturel (la seule chose qu’il « possède »). En adoptant ce dispositif, Hobbes rompt avec tous les penseurs qui ont usé de la notion de contrat pour penser l’origine de

tout Rousseau La vérité est assez différente le Discours médiocre mais brûlant roman pseudo historique sur les origines et le développement de humanité réqui sitoire passionné une âme plébéienne froissée contre la société existante le Discours si se donne la peine de le bien lire apparaît comme une sorte de repoussoir du Contrat déjà annonce le Contrat cette apologie de la société politique légitimement constituée cette exaltation du lien social et de la loi expression de la volonté générale homme Voici

fait du droit naturel passe alors indiscutablement par une redécouverte des philosophes de l’Antiquité. C’est dans cette direction que le philosophe a axé ses recherches aux Etats-Unis où il les a fait connaître : six conférences furent en effet données en octobre 1949, les Charles R. Walgreen Lectures, reprises mécaniquement dans les six chapitres de l’ouvrage. L’étude poussée et complète de la notion de droit naturel, à savoir ses origines, ses sources, son évolution et son application, aurait-elle