Hobbes étant Donné

sera vu en effet A) La souveraineté comme nécessaire ; B)La souveraineté existant par le biais des personnes juridiques.A) Le caractère nécessaire de la souveraineté « Il doit y avoir un pouvoir souverain qui est un pouvoir qui donne les normes qui s’applique à tous». Cette citation est extraite des « six livres de la république », qui est un ouvrage paru en 1576, et écrit par Jean Bodin. Dans cet extrait, l’auteur français du XVIe siècle dit qu’il est nécessaire d’avoir un être

et la liberté proprement humaines. Tel est l'examen que nous nous proposons de mener. I. Les sociétés sans État : un paradis perdu ? L'État, c'est d'abord pour les sujets que nous sommes cette organisation de la vie commune qui, sur un territoire donné, institue des lois ainsi qu'un appareil administratif et judiciaire pour permettre une cohabitation harmonieuse de chacun avec tous, protéger nos droits et régler nos litiges. L'État est ainsi cette instance de pouvoir distincte du corps social, qui

L’ETAT I Introduction. . Etat : organe du pouvoir politique, constitué par l’ensemble des institutions : politiques, juridiques, militaires, administratives, économiques, etc , qui organisent une société sur un territoire donné en fonction d’une idée du bien commun. (Communauté juridique) cela suppose : 1- un pouvoir qui dure dans le temps, une permanence de l’institution et du pouvoir qui ne se confond pas avec la personne du chef ou du représentant. Une formule illustrait

l’État a constamment étendu ses interventions dans l’économie, la protection sociale ou la culture, suscitant l’émergence de la notion d’Etat Providence. (L’Etat doit-il prendre en charge notre bonheur, jusqu’où ? Le financement de ces interventions donne lieu au prélèvement de l’impôt.) 3. Fonctions assumées sur le plan extérieur Le trait distinctif de l’État moderne est la souveraineté, autrement dit son indépendance totale, et sa compétence illimitée. Il assure la défense au moyen de l’armée.

est capable de les réfréner et d’agir en fonction d’autres motifs. En ce sens, seule l’action humaine peut être dite libre. On peut néanmoins contester cette différence, c’est-à-dire refuser l’idée d’une liberté de la volonté ; c’est ce que fait Hobbes lorsqu’il affirme que la liberté se définit exclusivement par l’absence d’obstacles. - Liberté politique et liberté individuelle : Les Grecs voyaient dans la liberté une propriété du citoyen en tant qu’il participe à la vie de la cité et réalise

la violence comme usage illégitime de la force, de l’autre le politique comme construction par le discours de l’Etat rendant possible la vie en commun des hommes. C’est le contrat qui fonde la légitimité du pouvoir social et c’est le droit qui lui donne les moyens de s’opposer à la violence. En son sens neutre, « le politique » renvoie à un mode d’existence de l’homme, donc une existence sociale qui suppose des phénomènes de pouvoir. Pour que l’homme ait une existence sociale, il faut qu’il entretienne

Le glaive et le fléau, Généalogie du fanatisme et de la société civile Paris, Grasset, 1992. Chapitre I-III. Séance n° 6 : Le moment machiavélien (9 novembre 2009) Machiavel et l’art de conserver le pouvoir dans le Prince « Mais mon intention étant d’écrire chose utile à qui l’entend, il m’a paru plus pertinent de me conformer à la vérité effective de la chose qu’aux imaginations qu’on s’en fait. Et beaucoup se sont imaginé des républiques et monarchies qui n’ont jamais été vues ni connues pour

l'éducation. La philosophie politique de Rousseau se situe dans la perspective dite contractualiste des philosophes britanniques des XVIIe et XVIIIe siècles, et son fameux Discours sur l'inégalité se conçoit aisément comme un dialogue avec l'œuvre de Thomas Hobbes. Rousseau était, comme le montre les Confessions, doté d'une grande sensibilité. Discours sur l'origine et les fondements de l'inégalité parmi les hommes Titre original de l'œuvre parfois également publiée comme De l'Inégalité parmi les hommes

Introduction à l’Histoire du Droit But : Comprendre pourquoi en 2008, telle ou telle solution prévaut. Le Droit étant une matière historique, la quasi-totalité de nos solutions actuelles s’expliquent par des raisons historiques plus ou moins lointaines. Une multitude de règles remontent au droit romain. Une règle de droit a ainsi une existence souvent extrêmement ancienne. Pourquoi est-elle apparue ? Comme a-t-elle changé ? Pourquoi a-t-elle changé ? Section préliminaire : Genèse du Code Civil

points ne valent que pour les citoyens (donc pas les femmes, les esclaves, les étrangers) Isonomie (politique est l’œuvre essentielle de Clisthène qui la met en place par les réformes en 508 et 507 av. J.-C-régime qui garantit la non domination=> donne la domination au peuple) les opposants (Aristocratie=> Elites gouvernent car peuples trop cons) à l’Isonomie vont l’appeler la Démocratie car peuples qui est censé être con domine donc il y a domination de la masse. Démos (peuple) Cratos (pouvoir)