Homicide Involontaire

Monsieur le Président, Voila maintenant plus de vingt ans que mon père a été séparé de moi... Mon père, cet homme que vous avez condamné à mort pour un acte qui, selon vous, aurait valu une telle peine. Je n'avais que trois ans lorsqu'il fût exécuté, ma mère, elle, était morte peu après m'avoir mise au monde. J'ai été recueillie par de braves gens qui m'ont donné tout l'amour qu'ils pouvaient, mais cela ne suffisait point à combler l'absence d'une mère et d'un père. Il y a peu, mes parents

Laurent Gaudé, auteur contemporain, fit une maitrise sur le conflit théâtrale puis se lança dans l’écriture romanesque. Le texte que nous étudierons de « La mort du roi Tsongor « en est l’exemple. Ce texte tirée du chapitre IV met en scène la mort de Liboko. On assiste ici à la démonstration d’un combat épique puis à celle d’une mort tragique. Problématique : En quoi pouvons nous dire qu'un combat épique puis une mort tragique sont présent dans le texte ? Dans un premier temps, nous analyserons

une éducation trop permissive conduit à la catastrophe. Le père a en permanence le droit de corriger et doit contrôler les faits et gestes de son groupe de parenté, c‘est un précepteur de bonne éducation. Il peut également décider de commettre un homicide sur un individu de son groupe de parenté comme dans cet extrait ou ces pères tuent ou torturent leurs enfants. Gédéon Tallemant Des Réaux, à travers ces trois récits anecdotiques montre également que la violence intrafamiliale au XVIIème siècle

« incertitude » sur le point de savoir si le meurtre peut être envisagé sur un enfant à naître. La chambre criminelle parle d’homicide non intentionnel par imprudence par Décision de 1999 confirmée par Ass plénière en 2001. Elle a décidé que cet homicide non intentionnel ne s’étend pas au fœtus et donc il ne serait pas « autrui ». Donc on peut estimer qu’il n’y a pas meurtre à provoquer intentionnellement la mort d’un fœtus. D’un point de vue pénal, on protège l’intégrité physique ou la vie de la

Les personnages d’Andromaque évoluent dans une époque lointaine de la nôtre. ils appartiennent à la civilisation grecque qui est différente de notre société actuelle. Pour que le lecteur puisse se projeter dans l’histoire, il doit avoir les références culturelles historiques de l’époque, connaître le déroulement des événements lors de la guerre de Troie, ce qui crée déjà un écart entre l’intrigue de l’histoire et lui. La majorité des lecteurs d’aujourd’hui ne connaissent plus le mariage forcé ou

Dissertation français : tous les plaisirs sont-ils permis ? Chocolat, détente, plage, amitié, soirée, … que des mots agréables à entendre ! Friandise, soleil, loisirs, sieste, … que des mots relatifs au plaisir. A quoi correspond exactement le plaisir ? Comment le définir ? Le petit Larousse l’explique comme étant une sensation, un sentiment de bien être, comme quelque chose qui plaît, divertit. Dans ce cas, frapper, voler et tuer peuvent également être des plaisirs pour certains individus. Mais

« La peine de mort est illégitime, inutile et dégradante. » Anonyme La personne affirme ici que le gouvernement ne devrait pas s’arroger le droit de condamner à mort un criminel. De plus, cela ne rend pas la société meilleure et nuit à la dignité humaine du malfaiteur. Cette opinion n’est pourtant pas partagée par tout le monde. La peine de mort est un des sujets les plus débattus depuis l’époque des Lumières jusqu’à nos jours, car il ne s’agit pas seulement d’une question de rationalisme :

Résumé Les Justes ( résumé tiré du livre ) Acte I : Dans l'appartement qu'ils occupent en commun, Stepan qui avait été arrêté trois ans plus tôt, rejoint Dora et Annenkov. Celui-ci donne ses instructions en vue de l'attentat qu'ils ont mis au point contre la personne du Grand-duc. Arrivent Voinov, qui a été chargé de reconnaitre le parcours et de lander la deuxième bombe, puis Kaliayev, qui a pour mission de lancer la première. La gaieté primesautière de Kaliayev irrite Stepan, qui demande à lancer

Collège Lionel Groulx Travail d'analyse dramaturgique Travail présenté à Étienne Liblanc par Stéphanie Chaumette 2 novembre 2010 Le jeux de l'amour et du harsard 1- Matrice binaire de l'acte V. Scènes Personnages | Scène 1 | Scène 2 | Scène 3 | Scène 4 | Scène 5 | Scène 6 | Scène 7 | Scène 8 | Valori | Présent | | | | | | | | Sire Maurice | Présent | | | |

État civil : ◊ Laurent, 30 ans (p.43 : « […] qui avait déjà trente ans ») a passé son enfance à Vernon (p.41). Il habitait Rue Saint-Victor, dans un petit cabinet meublé, situé en face du Port aux Vins (p.47). À la fin du roman, il habite avec Thérèse, au passage du Pont Neuf (p.13). ◊ Célibataire au début du roman, Laurent devient ensuite l’amant de Thérèse (p.142). On apprend par la suite, qu’ils vont se marier (p.158 : « Leur mariage était décidé […] »). ◊ Ce jeune homme est employé à la