Hommes Soyez Humains C Est Votre Premier Devoir

vie des hommes hors de toute société et de toute loi dans ce qu’on appelle l’état de nature. L’état de nature est nécessairement un état de guerre de tous contre tous parce que tous les hommes veulent réaliser leur désir et sont donc en compétition. L’état de nature est donc un état misérable et instable où les hommes sont dans une guerre incessante. Par conséquent les hommes préfèrent s’organiser en un état civil, de société, où ils renoncent à leur liberté illimitée au profit de devoirs garantis

La République. Elle met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une demeure souterraine qui tournent le dos à l'entrée et ne voient que leurs ombres et celles projetées d'objets au loin derrière eux. Elle expose en termes imagés la pénible accession des hommes à la connaissance de la réalité, ainsi que la non moins difficile transmission de cette connaissance. Sommaire[masquer] * 1 L'allégorie de la caverne * 1.1 Résumé * 1.2 Un premier décryptage * 1.3 Contexte et rôle

est resté sans succès jusqu’en 1958. Il a été écrit le 10 janvier 1946. Il sert d’épigraphe (indique l’esprit d’un livre). Il a été traduit de l’italien par Martine Schrusffeneger. I – L’adresse au lecteur II – L’évocation des camps III – Le devoir de mémoire I – L’adresse au lecteur 1) Texte ancré dans la situation d’énonciation : L’auteur montre sa présence (contraire du texte coupé de la situation d’énonciation). Le « je » est implicite. Les « vous » qui désignent les lecteurs au début

5 : L’ENFANT Extraits du Livre premier de l’EMILE, OU DE L’EDUCATION, Jean-Jacques ROUSSEAU, 1762. Nous naissons faibles, nous avons besoin de force ; nous naissons dépourvus de tout, nous avons besoin d'assistance ; nous naissons stupides, nous avons besoin de jugement. Tout ce que nous n'avons pas à notre naissance et dont nous avons besoin étant grands, nous est donné par l'éducation. Cette éducation nous vient de la nature, ou des hommes ou des choses. Le développement interne

employées : elles sont commentées et utilisées de façon non doxographique : il ne s'agit pas d'un relevé d'opinion mais bien d'un développement conceptuel. Introduction. I – Y a-t-il une ou des espèces inhumaines ? II- Y a-t-il des êtres humains inhumains ? III- La réalité de la barbarie et donc de l’inhumanité. Conclusion. Introduction. Alors que les guerres, la violence et la cruauté font malheureusement partie de notre quotidien, nous sommes souvent amenés à penser qu’il

bonne loi ? Est-il moral d'obéir à cette loi ? S'il est illégal (contraire à la loi écrite, au droit "positif") de ne pas y obéir, il est peut-être moral de ne pas y obéir (car conforme à la déclaration des droits de l'homme, qui stipule que "tous les hommes sont égaux en droit"). La morale correspond plus à une idée, à un idéal, qui se trouve dans une "conscience morale". Elle se veut également absolue, non relative. Mais si l'action bonne moralement est donc celle qui n'est pas strictement conforme

générale. A. Le statut de la femme au XVII: l'infériorité féminine Dans les deux premiers §: Femmes opposées/comparées aux hommes à l'aide, notamment, de nombreux comparatifs d'infériorité: ex: Leur corps aussi bien que leur esprit est moins fort et moins robuste que celui des hommes (l. 14-15), ou de comparatifs de supériorité: Ex: Les femmes ont d’ordinaire l’esprit encore plus faible et plus curieux que les hommes (l. 7-8) ↔ En usant de ces comparatifs, Fénelon montre que la femme est considérée

(Ethique à Nicomaque, X,7). Sérénité de l'âme et du corps L'épicurisme : Épicure place le bonheur dans les plaisirs simples et la fuite des souffrances :« le plaisir est le commencement et la fin de la vie heureuse. » Comme les actions humaines amènent souvent des plaisirs et des souffrances, la philosophie d'Épicure le conduit à une casuistique des plaisirs et à un comportement qui favorise l'équilibre psychique et corporel − contrairement à ce que croient de nombreuses personnes qui font

 » de Thoreau, nous passerons par ces trois articulations : en premier lieu, l’auteur prône la supériorité de la conscience morale par rapport à la conscience politique (« je crois que nous devrions... » à « les commis de l’injustice » l.1 à 6), avant d’aborder le thème du droit à la révolte et le besoin d’en faire usage (« tous les hommes reconnaissent » à « notoires et intolérables » l.7 à 9), puis conclut par le devoir d’agir pour faire évoluer les choses lorsqu’elles sont injustes (« il

les moyens sont au contraire quelque chose d’extérieur, de phénoménal, qui occupe toute la scène immédiatement visible de l’histoire. Or la première image que nous offre l’histoire est celle des actions humaines telles qu’elles dérivent des besoins, des passions, des intérêts, de l’idée que les hommes s’en font, des buts qu’ils s’assignent, de leur caractère et de leurs qualités. Si bien que, dans ce spectacle de l’activité, ce sont ces besoins, ces passions, ces inté­rêts, etc., qui apparaissent comme