Homo sapiens sapiens

des modèles de sectarisme insoutenable. Il n'existe pas de race ou de sexe «supérieur» ou «inférieur». Les différences raciales et sexuelles sont biologiques, et non morales. Il en est de même du spécisme qui affirme que les membres de l'espèce Homo sapiens sont supérieurs à ceux de toutes autres espèces, simplement du fait qu'ils appartiennent à l'espèce, dite «supérieure», de celui qui tient cette opinion. Car il n'existe pas d'espèce «supérieure». Penser le contraire est faire preuve de discrimination

signes, tout système signifiant, toute communication par signes (verbaux ou non verbaux). Le langage désigne aussi la totalité des langues humaines. homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la

fossilisation exceptionnelles de la vallée du Rift Africain. Plusieurs espèces d’homininés ont vécu entre -6 millions d’années et -100 milliers d’années, elles appartiennent essentiellement à deux genres : le genre « Australopithèque » et le genre « Homo ». Les principaux groupes de fossiles d’Homininés que l’on peut distinguer sont : * Les représentants du genre Australopithecus (-5 à –3 MA environ) : * Les plus anciens australopithèques identifiés sont ceux du lac Turkana (Australopithecus

l’éducation, c’est-à-dire la transmission d’une culture par d’autres hommes. En effet sans cette éducation, sans le contact avec d’autres hommes, l’homme demeurerait à l’état animal. Bien sûr, il serait biologiquement un homme, un animal de l’espèce Homo sapiens. Mais ceci ne suffit pas pour être vraiment humain. C’est ce que semble confirmer les quelques cas d’enfants sauvages que l’on a retrouvé. D’une part leur comportement était purement bestial, dénué de toute trace de culture. Et d’autre part, on

polices » : « il tient chacun en bride et s'entend à entraver puissamment le développement de la raison, des désirs, du goût de l'indépendance ». homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la

l’acheteur est a la même place que le poulet Les carricaturiste font appelle aux gens de se libérer et ne pas rester ficelés. 4.Quatrième publicité nous présente le schéma de l’évolution de l’homme, commencée par le singe, puis australopithèque, homo habilis, homo erectus, homosapiens et consommateur-la dernière étape inventée par les publicistes. Le consommateur est obèse, il tient dans sa main du Coca. Interprétation : Cette image nous explique comment le procesus d’évolution si longue et compliqué

d’années : présences d’Australopithèques - 3 millions d’années : premières traces de présences humaine (homo = homme moderne) en Afrique (Lucie) - 600 000 ans : maîtrise du feu - 450 000 ans : homme de Tautavel (crane découvert dans les Pyrénées), premiers habitants probables de la France, chasseurs, pécheurs cueilleurs, nomades) - 20 000 ans : peintures des grottes de Lascaux en Dordogne (homo sapiens) - VIIIème millénaire avant notre ère : naissance et diffusion de l’agriculture en Mésopotamie

l'alliance de la nature et de la société. Rousseau, quoique mal compris à son époque, est l'un des plus grands esprits du siècle des Lumières. • homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des hominidés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la

conséquences et ne pourra plus survivre. Aujourd’hui, alors qu’il ne cesse d’évoluer, et qu’il peut être considéré comme « supérieur », alors qu’il connait les (autres) animaux et la nature, après plus de 7 millions d’années sur Terre, l’Homme, Homo Sapiens, n’a aucune certitude, il doute encore quant à sa propre perception de lui-même.

auraient commencé à émerger il y a 300 000 ans soit entre le temps des lignés d'Homo erectus et Homo neanderthalensis. On parle de généralisation des pratiques funéraires chez Neandertal il y a environ 100 000 ans3. Les premières inhumations ont lieu en Mésopotamie et plus précisément au ProcheOrient. La première sépulture aurait été «inventé» il y a donc 100 000 soit lorsque Homo neanderthalensis et Homo sapiens coexistait déjà ce qui démontre que les rites funéraires font partis d'un héritage entre les