Homophonie

l’idée selon laquelle il est bel et bien le détenteur d’un savoir faire ancestraleIl meurtRime « rôle » «obole »Il se sacrifie , il fait dons de soi V7 et 8Polyptote Pend /reprendElle lui permet de respirer « aéré »Vers 9Comparaisonincise «vois tu »homophonie «ver »→ L’analogie devient clair , ça souligne présence implicite de ce jeune interlocuteur → souligne le caractère humoristique du poème→ Roubaud raconte une histoire auteur simple te humble qui travaille dans la discrétionVers 10Verbe labourechamp

partie : vers interrogatif où se demande où est passé ce que possédait : anaphore ternaire où est Las = profondément élégiaque Fortune // Fortuna déesse du destin = philo antique d'être au dessus des évènements cf Stoïcisme cœur = courage + organe homophonie : cœur vainqueur = dans le passé avait le courage d'affronter les évènements désir d'immortalité = conscience des poètes de renaissance de pouvoir acquérir immortalité grâce à poésie // païen flamme =/ peuple = s'en distingue parce que poète //

de saillance). Dans « corbeau albinos », l’interprétant pour justifier la virtualisation du sème /noir/ et l’actualisation du sème /blanc/ dans ‘corbeau’ est la présence du signifié ‘albinos’. Autre exemple, l'identité des signifiants phoniques (homophonie) permet d'actualiser simultanément les sèmes mésogénériques /religion/ et /sexualité/ dans le «Couvrez ce sein [→ |saint|] que je ne saurais voir» du faux dévot Tartuffe (Molière). Un topos (topoï au pluriel) est un interprétant socionormé, c’est-à-dire

Perec : elle relève de cette même excellence et, ce me semble, reste en exemple ». L`œuvre de Georges Perec apporte un nouveau regard à la littérature du XXe siècle, à travers les divers procédés employés, lipogrammes, palindromes, hétérogrammes, homophonies, et aussi concernant le travail sur la langue, les mots croisés, le travail avec les signes, les principes de la contrainte qui, procédé appris à l`Ouvroir de la Littérature Potentielle, font que l`œuvre de Perec ne soit pas facile à comprendre

s'assombrit ( de nuage, nuée) et  sans présager de la fin, couvre  le corps d'un voile. La pâleur  fait glisser l'immobilité vers  l'isotope de la souffrance ou  plus, le temps est nettement à  la pluie qui est anté position  et nous notons la quasi  homophonie de « pleut » et de  « pleure » la nature est personnifiée et  semble être un témoin du  « sommeil », comme si elle  Les pieds dans les glaïeuls, il  pleurait sur le soldat.L'auteur  ne dit pas mais il suggère en  dort. Souriant comme jouant sur l'homophonie et la 

sous la forme d’une scène dra- matique. S5 Notre héros est-il devenu fou ? La péripétie dans l’intrigue ( p. 79-80 , l. 300-333). Établir le lien entre les temps verbaux et les compléments cir- constanciels. Désigner les valeurs des temps et les homophonies verbales. Relever les hallucinations du personnage principal et les phénomènes surna- turels. Réécrire le passage à la troisième personne, en insérant des interventions du narrateur. S6 Du récit de Bendel au « songe ». Le récit enchâssé ( p. 89-90

brèves). Du point de vue formel, ces textes en général présentent déjà les caractères fondamentaux de ce qui sera la versification française pendant longtemps : les limites du vers sont déterminées par le nombre de syllabes, et soulignées par une homophonie finale. Ils étudient les deux mètres qui vont rester les préférés de la poésie médiévale. Enfin ils ont recours, pour marquer la fin du vers, de préférence à l’assonance, exceptionnellement à la rime. La séquence de Sainte-Eulalie Conservée

de pied». Deuxième temps oppose à l’irréel, le présent : « Werther n’est pas pervers, il est amoureux »  . «  Comme une fête, non des sens, mais du sens  » : jeu homophonie On a une substitution du corporel à l’intellectuel. L’amour n’est affaire corporelle que par accident. Double métaphore : le sens fait « frissonner », mais il brûle aussi. Ce sens se déplace du côté du langage.

trop d’observer.  Explication incomplète. Recherche du sens du poème, de ce que l’auteur a voulu dire.  Appauvrissement de l’explication car un bon poème a souvent plusieurs explications. - Définitions: • Vers: une ligne en poésie • Rimes: homophonie de la dernière voyelle accentuée du vers et de tout ce qui la suit. (ou la précède) • Sonnet: Il se compose de quatre strophes: deux quatrains suivis de deux tercets. • Strophe: Ensemble de vers séparés du suivant par un espace. • Alexandrin:

5 : le mot « écho » qui condense et reprend toute la strophe fait lui-même écho à la sonorité entendue dans « et clair » du premier vers, clôturant cette première strophe sur elle-même, à travers ses effets lexicaux, sa structure métrique et ses homophonies. Le lasso qui caractérise l’instrument viril de saisissement des gros animaux, pourrait exprimer le désir du locuteur de maîtriser sa parole en mouvement continuel. Aussi ce quintil s’achève-t-il sur un paradoxe : alors que le locuteur cherche à