Homophonie

L’homonymie définit deux signifiants identiques pour des signifiés différents. Il n’existe aucune relation sémantique entre les deux formes identiques. Un livre intéressant/ une livre de beurre . livre est ici un homonyme parfait ,même forme phonique (homophonie)et même forme graphique (homographie). Les deux signifiants proviennent de deux étymons différents liber / libra . l’homonymie s’oppose à la polysémie. La polysémie est le caractère d'un signe qui provient d’un seul étymon mais qui possède plusieurs

|Discours de M.Lieuvain. : le nom du personnage évoque tout à la fois| | « Continuez ! Persévérez ! N’écoutez ni les suggestions de la |la vanité et le monde agricole : jeu  sur les homophonies et les | |routine, ni les conseils trop hâtifs d'un empirisme téméraire ! |paronomases : levain, le vin , lieu vain …. C’est une autre des | |Appliquez-vous surtout à l'amélioration du sol, aux bons engrais, au|caractéristiques du personnage

composantes dramatiques du destin d’Emma se trouvent mises en abyme, à un moment clé du récit, par la scène de l’opéra, cette fameuse représentation de Lucie de Lammermoor, qui ouvre la troisième partie du roman sur la valeur prémonitoire d’une sinistre homophonie (l’amère mort). Des romans de Walter Scott, lus par Emma dans sa jeunesse, à l’œuvre dramatique de Donizetti, vue par Flaubert quelques mois avant la rédaction, et de cet opéra au roman lui même, le mythe de la femme mal mariée atteint avec Madame

même procédé qui, remarquons-le, a permis la naissance des locutions devenues gnomiques traduttore tradittore, sôma sêma. Que la fusion suggérée, en cours ou accomplie de deux signes s'exprime comme ici dans une paronymie, ou qu'elle exploite une homophonie comme dans le cas de résonner/raisonner, elle aboutit en fait à la création plus ou moins stable de ce qu'on pourrait appeler un méta-lexème, par instauration d'un lien logique, d'une connexité, entre les acceptions de deux items lexicaux génétiquement

accéder à la spiritualité , et célébrer la gloire conjointe du poète et de sa dame. Nous remarquons ceci à travers l'importance du système de rapport institué par les rimes : « chandelle / belle » , « nouvelle / immortelle », enrichie par quelques homophonies : « Mes vers / merveille » , « resveil / resveillant », et de plus nous avons une sorte de basse fondamentale , les rimes intérieures nasales, « dévidant » et « filant » , « esmerveillant » , « sommeillant » , « resveillant » : elles permettent

forme et sa couleur, le blason médicéen. On a aussi le laurier qui est représenté trois fois à droite. Il est associé par tous les membres de la famille des Médicis à « Lorenzo » du fait de son équivalent en latin « Laurentius » suggérant par son homophonie un lien avec le laurier. Il est donc directement en lien avec le commanditaire du tableau, Lorenzo di Pierfrancesco. Ce lien est augmenté par le fait que les branches du premier arbre se courbent au-dessus de Chloris puis au-dessus de Flore, en

saule. Et sur la traverse sont représentées deux fleurs : la pivoine et le chrysanthème. La clé pour comprendre la symbolique des motifs floraux chinois est la langue chinoise. Celle-ci se prête au plus haut point aux jeux de mots basés sur une homophonie linguistique qui évoque une association d’un objet particulier - par exemple, une fleur, un animal, un oiseau ou un autre élément naturel - avec un concept abstrait, une idée ou une intention. Les fleurs chinoises, comme motif isolé ou en combinaison

Poème à forme fixe : poèmes possédant une structure rigide et un nombre de vers imposé par la structure même de la forme poétique choisie. Quatrain : Strophe composée de quatre vers. On en trouve à rimes embrassées ou croisées. Rime : Homophonie (répétition d'un son) entre deux ou plusieurs mots, à la fin des vers. Les 3 caractères des rimes sont : la disposition, le genre et la qualité. Sonnet : Poème de quatorze vers composé de deux quatrains et de deux tercets formant un sizain. Chaque

à l’oubli, car c'est vers elle qu’il va après la mort de sa mère : « Pendant que je me rasais, je me suis demandé ce que j’allais faire et j’ai décidé d’aller me baigner »(p34). Il paraît être instinctivement attiré vers elle, de plus avec son homophonie avec le mot « mère » il semble qu’il cherche à retourner dans ce ventre qui représente la sécurité maternelle, et la mer pourrait représenter à ses yeux le liquide amniotique. Dans Noces, comme dans l’Etranger il semble que pour jouir des instants

perroquets criaillent ». Les inégalités sociales sont bien présentes : « Les directeurs les ouvriers et les belles sténodactylographes ». Tout comme la violence : « la sirène gémit », ce qui donne à entendre le râle du mourant et peut faire penser, par homophonie, au chant des dangereuses sirènes des légendes gréco-latines et germaniques ; quant à la cloche, elle est « rageuse » et « aboie » à la manière d’un chien de garde. La promesse d’une ambiance sonore harmonieuse à défaut d’être musicale qui est annoncée