Homophonie

masculine dans les autres cas. Exercice d’application: Analysez pour les trois poèmes ci-dessus l’agencement des rimes en relation avec le sens des vers (liens de son et de sens qui s’établissent sur le plan vertical). IV. Les sonorités : homophonie, assonances et allitérations Observons de nouveau le poème de Robert Desnos, étudié dans la séance précédente : Et pour qui sont ces six soucis ? Ces six soucis sont pour mémoire. Ne froncez donc pas les sourcils, Ne faites donc pas une histoire

dans les autres cas. Exercice d’application: Analysez pour les trois poèmes ci-dessus l’agencement des rimes en relation avec le sens des vers (liens de son et de sens qui s’établissent sur le plan vertical). IV. Les sonorités : homophonie, assonances et allitérations Observons de nouveau le poème de Robert Desnos, étudié dans la séance précédente : Et pour qui sont ces six soucis ? Ces six soucis sont pour mémoire.

l’homonymie, on considère qu’il s’agit de deux signes distincts, caractérisés par le partage d’un même signifiant. Dans le cas de la polysémie, on considère qu’on a affaire à un signe unique, prenant des valeurs de sens nuancées. ( Homonymie (ou homophonie) Il s’agit presque d’un calembour, qui rapproche deux mots identiques par le son et parfois même la graphie, mais de sens clairement différents. • Les deux homonymes sont présents dans le même énoncé : Publicité pour “ronron”

traduttore, traditore). Comme la ressemblance n'est pas qualifiée précisément, c'est l'homonymie, plus ou moins (incomp lète, qui est prise en considération au départ. Cette homonymie est ensuite considérée sous l'angle phonique, c'est donc une homophonie, mais il n'empêche que c'est dans une perspective lexématique que la sonorité est saisie et non d'un point de vue proprement phonétique. L'équivalence des sons, prise en considération sous la dénomination imprécise de paronomase, est en fait la

suggérant dans le même mouvement une opposition entre « joie » et « tristesse ». Ces mêmes procédés sont repris – toujours fondés sur la répétition du son [wa] – avec « ouïr » à la troisième personne « il oit » et l’animal « l’oie » : « l’oie oit ». Une homophonie reprise sous la forme « ouah ! ouah ! », l’aboiement du chien. C’est en fait un interminable fil que tisse Devos ouvrant – avec un débit oral rapide à souhait – la porte à toutes les confusions possibles. Ouïr = j’ois ➞ j’ois = joie ? il oit = l’oie

existe aussi des homonymies partielles : les homophonies (uniquement phonétiques) et les homographies (uniquement graphiques). L’homophonie. Exemple : mère, mer, maire. Dans la communication, en général, le contexte lève l’ambiguïté (« Je suis maire de la ville »). L’homographie. Exemple : « couvent » qui se prononce [kUvB] ou [kUv] suivant qu’il s’agit du nom ou du verbe. |Homonymie |Homophonie |Homographie

rap de Casey Or ces phénomènes d’échos sonores ne sont pas réguliers sur le plan de la fréquence : la variation est au moins aussi marquante que la répétition. En fait, c’est le rythme fluide généré par le jeu des changements de fréquence d’une homophonie et par le jeu des transformations qui donne au texte sa souplesse et sa vivacité. §15 Il commence par une sorte de syncope dans la mesure où, au début, il y a alternance entre les mots où le /m/ est avant la voyelle d’appui et ceux où il est

de 8 Il y a un phénomène de tension-distension, ni des pôles d’attraction Chaque mode a son éthos, c’est qqch de purement vocal (à cappella) et ne doit pas masquer l’intelligibilité du texte divin. La musique va être exécutée à l’unisson (homophonie, monodie) Le rythme va être basé sur celui du mot ou de la phrase. Qqch de très complexe. Il n’y a pas la possibilité de trouver des accents réguliers, un tempo régulier… Arsis : monté de la voix et thésis : descente de la voix. Le chantre

a aussi constitué des groupes de rencontre et de protestation. L’aspect le plus visible de leur contestation a été la marche nationale gaie du 4 avril 1981 qui a rassemblé plus de 10 000 personnes (27) . Leur périodique, Homophonie, a pris place à côté d’autres revues comme Masques (littéraire, homosexuelle) ou le Gai-Pied Hebdo, né en 1979 (28) . Associations nationales, groupes locaux, université d’été, réseaux, revues militaires… ; on le voit :

nombre de vers est supérieur au nombre de syllabes de chacuncarrée : le nombre des vers est égal au nombre de syllabes de chaque vers (un huitain d’octosyllabes) B. Comment étudier les rimes ? 1. Définir une rime La rime est fondée par une homophonie (même son) à la fin de deux vers. Elle obéit à des règles dans la poésie classique et régulière, qui alterne rimes féminines (le vers s’achève sur un e muet, par exemple : aile/ éternelle ou joue/ loue) et rimes masculines (le vers s’achève sur