Homophonie

vers est supérieur au nombre de syllabes de chacun carrée : le nombre des vers est égal au nombre de syllabes de chaque vers (un huitain d’octosyllabes) B. Comment étudier les rimes ? 1. Définir une rime • La rime est fondée par une homophonie (même son) à la fin de deux vers. • Elle obéit à des règles dans la poésie classique et régulière, qui alterne rimes féminines (le vers s’achève sur un e muet, par exemple : aile/ éternelle ou joue/ loue) et rimes masculines (le vers s’achève sur

être utilisée au lieu de « mon cœur perd la raison ». LA RIME La rime est désigné comme disposition de sons identiques à la finale de mots placés à la fin de deux unités rythmiques; élément de versification, procédé poétique que constitue cette homophonie. La rime poétique constituée par la répétition d'un ou plusieurs phonèmes identiques (parmi lesquels il faut nécessairement au moins une voyelle tonique) à la fin de deux ou plusieurs vers proches. Il y a des différents genres et catégories de rime

typepad.com/poezibao/2011/06/po%C3%A8te-bin-quouipo%C3% A8te-bin-qunon-de-jean-pierre-verheggen-par-jean-pascal-dubost.html (consulté le 17/11/18).] Cette subversion s’exprime par maints calembours, mots-valises, aphorismes, homophonies, contrepèteries, et autres truculences. Les travaux critiques se sont multipliés au sujet de la (vio)langue et du style carnavalesque de Verheggen. Pour n’en citer que quelques-uns: J-M. Klinkenberg[footnoteRef:2] insiste

personnage effrayant Verbe "hurler" : hurlements de souffrance, de désespoir, qui vient des "morsures du ver". "Effroi" "effroyable" Vol d'oiseau de nuit. "Les morsures du ver" : dévoration progressive, sorte de torture qui s'inscrit dans la durée. Homophonie ver/vers : souffrance due au manque d'inspiration? Référence à la mort : "moribond", insistance sur la blancheur avec "farine", "exsangue". Univers cauchemardesque de l'horreur, du fantastique "son spectre (…) nous hante", ses manches blanches

comme « cheval ». 90% des caractères chinois sont des idéophonogrammes. - Les emprunts ont été formés avec la même logique que le rébus. Par exemple le sinogramme « venir » était au départ le pictogramme du blé, il a été emprunté autrefois par homophonie. Aujourd’hui il ne signifie plus « blé » pour lequel il existe un autre caractère. 3- Les sinogrammes sont composés de traits qui doivent se tracer dans un sens donné. Voici les 8 traits de base accompagnés du sens du trait : Appellations

homochromie Fém. homogamie Fém. homogénéisation Fém. homogénéité Fém. homographie Fém. homogreffe Fém. homologation Fém. homologie Fém. homomorphisme Masc. homoncule Masc. homonymie Fém. homoparentalité Fém. homophilie Fém. homophobie Fém. homophonie Fém. homos Masc. homosexualité Fém. homosphère Fém. homothermie Fém. homothétie Fém. homuncule Masc. hongroyage Masc. hongroyeur Masc. honnêteté Fém. honneur Masc. honorabilité Fém. honoraires Masc. honorariat Masc. honte Fém. hooligan

qui trouvent dans la littérature un endroit où peuvent se figurer le mouvement, la dérive, les croisements multiples que l’expérience de l’exil comporte ou qu’ils transportent euxmêmes comme héritage génétique ou culturel. Clément Moisan le dit en homophonie heureuse : « l’encre rend possible un ancrage » (Moisan, 2004: 99). Et le quai de conciliation sert, en dernière instance, pour la rencontre de l’écrivain avec lui-même, où il soulagera son sentiment d’étrangeté et, à posteriori, lorsque ce terrain

9 Walpole op. cit. 27. Christine Berthin 61 le secret transmis sans jamais être dit, détourne le langage de sa fonction de communication et corrompt les règles de la symbolisation. Il fait appel dans le langage à ce qui est sa limite, ici l�’homophonie et la littéralisation. Matilda elle-même donne la clé du principe de transmission transgénérationnelle: « if a parent lets fall a word and wishes it recalled, it is not for a child to utter it. »10 Recall contient à lui seul toute la puissance

1968, une pièce de théâtre du même nom et enfin en 1991, Le Théâtre de l’Amante anglaise. L’intérêt pour ce fait divers persiste donc de 1949 à 1991, avec quelques variations. Le titre L’Amante anglaise est un jeu de mot involontaire fondé sur une homophonie, un calembour. Claire Lannes, qui n’est guère instruite, écrit « la menthe (nom d’une plante), comme amante, un amant, une amante ». Et « anglaise », « en glaise », comme « en terre », « en sable ». Mais c’est Pierre, le mari, qui, au nom d’une

Halévy cite comme exemple illustratif (entre autres) le signe ku, qui représente les signes linguistiques kumu « lieu » ainsi que les synonymes shubtu et duru signifiant « demeure » ; selon Halévy, ce signe représente aussi, par homophonie, su(zu)batu « vêtement » (homophonie / parophonie, les spécialistes en jugeront). Dans les termes de J. Halévy (ibid. : 539), « [p]lusieurs des objets qui se groupent autour de l’idéogramme spécifique ne doivent leur entrée dans cette famille idéale qu’à l’analogie