Homophonie

pour berceau » | Expressions soulignant le parallélismeTerme associé aux deux éléments (sous forme substantivée) puis les qualifie individuellementVerbe possédant deux significationsLà encore, terme polysémiqueAllusion mythologiqueCL de la parenté, homophonie | 1er point commun : la souffrance, les moments désagréablesAmer qualifie une saveur désagréable ou un état pénible(sens propre/sens figuré)2e point commun : l’absence de calme, de tranquilité« s’abîmer signifie :- se détériorer- se perdre, se noyer

mélancolie dans ce poème apparaît de deux manières : la description du sentiment a l’ « état pur » et le lien avec le « je » du poète. III Musique et peinture mêlées 1) Musicalité _Cette musicalité du poème repose en premier lieu sur le jeu des homophonies : « bercer » et « verser », « couchants » et « deux chants », « chants » et « champs ». _La constance du vers pentasyllabe apporte un rythme au poème. _Syntaxe simple : sujet – verbe - complément _Les assonances en « l » créent une impression

librement, la ponctuation disparaître : J’étais à 16000 lieues du lieu de ma naissance. L’unité du vers reste marquée par le retour à la ligne : sa cohésion repose alors soit sur une nouvelle perception du rythme, soit sur le jeu des sonorités (homophonies : lieues-lieu), soit sur la syntaxe. La poésie moderne peut enfin s’écarter de la typographie et de la mise en page habituelle pour proposer d’autres dispositifs : calligrammes, innovations typographiques, exploitation des blancs. Entre les mots

=> dévalorisation de la mie. ·    Dernier paragraphe viendrait interrompe l’exposé => « … » + « Mais » => rupture. ·    Chute du poème : envolée poétique des trois premiers paragraphes est « brisée » par le dernier paragraphe. ·    Syllepse, homophonie : « Brisons-la » => on s’arrête, cassons la croûte, le pain se rompt. II) Le pain en représentation du monde. ·    Juxtaposition du micro (petit à pain) au macro (grand à monde). ·    Antithèse + comparaison + accumulation en gradation : « comme

laissée à l'auteur de se saisir d'un terme plus proche ou plus lointain pour faire coïncider les verbes, les noms ou les adjectifs. Une anthologie de textes oulipiens vient de paraître, qui devrait inspirer les joueurs littéraires. Ou lipogrammes, homophonies, palindromes... sont sources infinies d'amusement. Structure oeuvre et lien avec l'objet d'étude: La présence d'une deuxième contrainte (chaque version de l'histoire doit illustrer un genre stylistique bien particulier) apparaît à la lecture des

«clic-clac, merci Kodak.», «Kodak un déclic d'avance.» cette allitération est accentuée par l'usage du K et du D, deux consonantes très percutantes. b. L'assonance: «l'ami du petit déjeuner, l'ami ricoré.» c. Paranosme: «Dior, j'adore !» d. Homophonie: «phetasalacis au bon lait de brebis !» V. La créativité langagière. 1. La créativité lexicale: la publicité adore les néologismes (exemple: «l'élégantissime», «soldissimes», «rowentez-vous la vie»

modulation des lignes : « encoignures dentelées »3 > « trilles chevrotantes », « frisson modulé », « voix tremblante »33-5. . Voiles visibles et audibles : pureté ne se montre que voilée (suggestion / pudeur) — « voix » = « voilée » (27-8), homophonie suggérant liaison essentielle > comparaison (≠ simplt. exemple, mais analogie de nature avec paysage) : « filles de ce pays brumeux » (28-9). — > se réalise ds décor : « hâle » de Sylv. (14-5)[détail le plus sensiblesensuel / description physique

Lyrisme de la plainte 9 Mais non, - ma jeunesse est finie… « Mais » : Pessimisme ; conj de coordi à valeur adversative cad opposition forte à ce qui précède ; + renforcement avec l’adverbe « non » 10 Adieu, doux rayon qui m’a lui, Néologisme ; homophonie : « qui m’a lui » // qui m’a fui ; effet magique de la jeune fille sur lui ; // de la jf avec la lumière qui donne vie et jeunesse « Adieu » : Lyrisme de la plainte ; les exclamations ; v9 Expression de la plainte : rythme heurté par ponctuation

extrait, le hêtre se transforme il n’est plus un arbre comme l’indique le narrateur « il n’était vraiment pas un arbre », il est personnifié d’où la présence de verbes d’actions qui lui sont associés (« fumait, éclaboussait). De plus il y a une homophonie entre hêtre et être cequi accentue cette personnification. Il devient alors un « personnage » paradoxal, présentant différents aspects, différentes faces. Au départ, nous sommes attirés par la magnificence de cet arbre. La narration nous le

rêves + polysyndète "et" x11 qui relie tout à elle comme si c'était le centre du poème c)Une femme idéale Amour réciproque -> palilogie du verbe aimer + conjonction de coordination "et" x2 qui met en évidence l'amour+ rime riche "même" "m'aime" -> homophonie Une femme compréhensive 2x "elle me comprend" + son coeur est "transparent" avec un contre-rejet "pour elle seule"+ conjonction de coordination "car" -> importance qui montre le côté unique Une femme attentionnée -> elle"rafraichit"les moiteurs